Toute l'actualité du secteur de la construction, du BTP, des concessions d'infrastructures et des grandes entreprises actives dans le domaine (Vinci, Eiffage, LafargeHolcim etc.)
En octobre dernier, Cyrille Carrière et Cyril de Vanssay, qui géraient plus de 4 milliards d’euros au sein de Groupama Asset Management, ont lancé leur société de gestion avec un ex-collègue et des anciens d’Amiral Gestion. Alors que Lonvia Capital vient de franchir les 100 millions d'euros d'encours, Cyrille Carrière, président et directeur de la gestion, et Jean-Baptiste Barenton, le directeur général, expliquent pourquoi ils ont choisi l’aventure entrepreneuriale. Ils ne se limiteront pas, par ailleurs, aux petites et moyennes valeurs européennes.
Sonia Fasolo a rejoint en septembre dernier Eleva Capital, la société de gestion fondée par Eric Bendahan, pour être gérante de fonds actions européennes ISR, après plusieurs années passées au sein de La Financière de l’Echiquier. Elle raconte à NewsManagers les étapes de son parcours professionnel qui l'ont conduite à devenir une spécialiste de l'investissement durable en France.
L'émergence de nouvelles valeurs chez les investisseurs, comme l'ESG ou la révolte des petits actionnaires lors de l'épisode Gamestop, conforte le hedge fund Quantology Capital dans son analyse comportementaliste des marchés. Julien Messias, cofondateur et responsable de la recherche, décrit comment les marchés sont de plus en plus influencés par la psychologie de ses constituants, et détaille des ambitions commerciales tous azimuts.
Geoffrey Baudeux, le responsable de la practice Financial Services au sein du cabinet de recrutement Lincoln, détaille les évolutions du marché du travail de la gestion d'actifs en France. Hausse de la demande pour les fonds passifs et actifs réels, continuité de l'effet Brexit, émergence du télétravail... les transformations sont nombreuses.
Marc Renaud, fondateur et président-directeur général de Mandarine Gestion, explique ce qui l'a motivé à déléguer ses fonctions de directeur de la gestion et la façon dont la société de gestion compte renouer avec la croissance de ses encours.
En septembre 2020, l’Association de la gestion financière (AFG) publiait sa première étude sur la mixité dans les sociétés de gestion. On y apprenait entre autres que les femmes accèdent peu souvent à des postes à responsabilité et que les trois quarts des plus hautes rémunérations sont attribuées aux hommes. Dominique de Préneuf, le directeur général de l’AFG, et Marine Palies, inclusion & diversity leader chez Allianz Global Investors, tous les deux membres du groupe de travail de l’AFG sur la diversité, reviennent sur ces sujets pour NewsManagers.
Marco Morelli est de ces hommes qui mènent de front plusieurs vies à la fois. La plus prenante en ce moment ? La direction d’Axa IM, la société de gestion du géant de l’assurance Axa dont il a pris la tête il y a à peine six mois. Les autres? Pêle-mêle, écrivain-essayiste, professeur, coach, administrateur, vice-président d’une fondation, sans oublier époux et père de 4 enfants… Et par le passé? On l’a surtout connu pour avoir dirigé pendant 4 ans la plus ancienne banque du monde, la noble Monte dei Paschi di Siena fondée en 1472. Lorsqu’il est contacté en 2016 par le ministre italien des Finances de l'époque et par les actionnaires de MPS (dont Axa), il est alors vice-président Europe, Moyen-Orient et Afrique et directeur général Italie de la banque d’investissement de Bank of America Merrill Lynch. A compter de ce mois de septembre 2016, il aura la lourde tâche de redonner confiance aux employés, clients et investisseurs de MPS, qui n’est alors plus que l’ombre d’elle-même, emportée par la crise de la dette européenne et finalement nationalisée en 2017. «C’était un moment très difficile pour la banque, se rappelle-t-il. Il fallait ouvrir des discussions avec la Commission européenne, la BCE et le gouvernement italien pour mettre en place le plan de restructuration et de sauvetage de MPS». Mais il estime avoir «bien travaillé», compte tenu de la situation à son arrivée, en proposant différentes solutions pour que l’Etat puisse, in fine, sortir convenablement du capital de MPS avant la fin du plan de sauvetage prévue pour fin 2021. Une échéance à laquelle l’Italien n’assistera pas, n’ayant pas souhaité prolonger son mandat de quatre ans. «C’était une expérience très prenante, tant sur le plan professionnel que personnel. J’ai pour habitude de dire qu’un an passé chez MPS durant cette période, c’est l’équivalent de sept années d’une situation normale!» Le monde anglo-saxon a une façon de travailler qui est très carrée, très organisée et où le mérite compte beaucoup. En début de carrière, cela donne des références, une base solide Agé aujourd’hui de 59 ans, il regarde avec amusement ses débuts dans la finance, lui qui n’avait au départ «aucune idée claire sur ce que pouvait être une trajectoire professionnelle». Romain d’origine, il part très rapidement à Londres, son diplôme de l’Université Luiss obtenu suivi d’une brève expérience bruxelloise chez KPMG. Il entre à la fin des années 80 chez l’ex-Samuel Montagu. «Quand je suis arrivé à la City, on était quatre ou cinq Italiens maximum. La finance, c’est traditionnellement un métier d’anglo-saxons», s’amuse-t-il. Il détonne donc un peu dans cet environnement, mais il comprend très vite les codes du métier. «Le monde anglo-saxon a une façon de travailler qui est très carrée, très organisée et où le mérite compte beaucoup. En début de carrière, cela donne des références, une base solide. C’était pour moi une formation extraordinaire à la fois sur le plan technique mais aussi sur le leadership, sur la façon de se comporter en entreprise, et sur la communication». Il apprend alors à gérer les priorités, être factuel, communiquer de la façon la plus lisible possible, s’inspirant de tous ceux qui l’entourent, qu’ils soient ses supérieurs hiérarchiques, ses pairs ou les membres de ses équipes au sein de tous les pays qu’il traverse. Cette «formation» l’entrainera ensuite à gravir rapidement les échelons chez UBS, JP Morgan, ou encore Intesa SanPaolo (dont il sera le directeur général adjoint pendant deux ans) . Retour à l’université Elle explique aussi aujourd’hui son appétence à donner des conseils sur le développement professionnel et personnel à ses étudiants. Depuis huit ans, il est en effet professeur adjoint à la faculté d'économie et de finance de l’université Luiss à Rome. S’il y délivre avant tout des cours en «Equity markets and alternative investments» devant uneclassede 120 élèves, il se réserve toujours 2 ou 3 cours à la fin de l’année pour parler des sujets de carrière en entreprise. «Il s’agit de parler des choses qu’il faut avoir en tête quand on commence à travailler. En Italie, les universités sont très bien sur les outils et le contenu, mais elles manquent parfois encore un peu d’instruction envers les jeunes sur les compétences relationnelles», explique-t-il. Septembre 2017 : Marco Morelli reçoit le prix de l’Alumni de l’année par l’Université LUISS.Ce partage d’expérience il le transmet aussi à travers ses livres, deux à son actif. Le premier, intitulé «Capi, colleghi, carriere. Questi sconosciuti», ou autrement dit «Patron, collègues, carrière. Ces étrangers» traite avec un ton humoristique, voire parfois sarcastique, desprototypes de chefs et collègues que l’on peut rencontrer parfois et de la façon de maitriser ou gérer sa carrière professionnelle. Le second, consiste en des commentaires avec une vue manageriale du célèbre traité de stratégie militaire chinois, «L’Art de la guerre» de Sun Tzu. Vendu dès sa parution à plusieurs milliers d’exemplaires, une seconde édition est en cours. Outre les cours et les bouquins, il consacre aussi son temps libre à une fondation. Tout a commencé il y a environ 10 ans. Marco Morelli est alors entre deux «jobs». Il sort de la direction générale adjointe d’Intesa San Paolo et a quelques mois de libre avant de rentrer de nouveau dans un métier où on manipule les milliards, chez Bank of America. Il veut se consacrer à des œuvres caritatives. Il entre alors en contact avec un prêtre responsable d’une prison pour jeunes à Milan auprès de qui il commence à «travailler». Quelques années plus tard, le dirigeant s’est pris au jeu et franchit un pas supplémentaire. Les deux hommes créent une fondation afin de solliciter des investisseurs pour les aider à financer leurs projets. Marco Morelli en prend la vice-présidence et la fondation utilise l’argent levé pour aider les jeunes à se réinsérer dans la société et financer des centres de désintoxication. Il lui reste alors peu de temps pour se consacrer à sa famille «sa bouffée d’oxygène où on ne parle jamais finance», ou au ski, dont il est un fervent adepte. Peut-être le verrez-vous revenir dans les bureaux d’Axa IM d’un footing le matin qu’il aura entamé vers 6h30, «le seul moment où le téléphone ne sonne pas et les mails n’arrivent pas»…
Le suédois MFEX, qui a vu le fonds Nordic Capital entrer à son capital en 2018, a multiplié depuis les acquisitions. Le français Jean Devambez, qui a été nommé récemment directeur général de MFEX, explique à NewsManagers ses projets et sa vision du marché. Celui-ci pilote les opérations depuis Paris où le groupe a ouvert un bureau il y a quelques années.
L'équipe française de Sagard analyse l'impact de la crise du Covid-19 tant sur le marché du private equity hexagonal, que sur ses relations avec ses participations, et ses nouveaux réflexes lors des due diligences. Elle esquisse également sa stratégie pour l'année à venir.
Anne-Laure Frischlander-Jacobson, directrice générale de BNY Mellon Investment Management en France, fait pour NewsManagers le bilan de 2020 et évoque les projets pour cette année. La société mise sur trois nouvelles franchises : gestion thématique, gestion ESG et « efficient beta ».
Dans un entretien à NewsManagers, Christophe Boulanger, directeur général de Richelieu Gestion, évoque les dernières réorganisations de la société, suite à son changement d'actionnaire en 2017.
Tobias C. Pross, CEO d’Allianz Global Investors, détaille ses projets de développement pour le groupe, placés sous le double sceau de la soutenabilité et de la rentabilité.
Christian Staub et Jean-Denis Bachot, respectivement managing director Europe et directeur France de Fidelity International ont dévoilé les plans de la société de gestion pour 2021 et les dernières tendances de l'industrie de la gestion d'actifs dans un entetien publié originellement sur Asset News.
Médecin devenue investisseuse, elle finance les avancées thérapeutiques qui feront les médicaments de demain. Elle dirige aujourd’hui Jeito Capital, un fonds de private equity consacré aux biotechnologies. Un parcours loin d’être aseptisé.
Mirela Agache-Durand, directrice générale de Groupama AM (108 milliards d'euros d'actifs gérés à fin octobre dont 25,5 milliards pour compte de tiers) et par ailleurs vice-présidente de l'AFG (Association française de la gestion financière), fait le point sur les enjeux soulevés en 2020 par la crise pour la société dont elle a pris la tête en début d'année et sur le secteur.
La société de gestion finlandaise Evli a connu une année 2020 mouvementée, avec la crise du coronavirus. Son directeur général, Maunu Lehtimäki a fait le point pour NewsManagers sur les 12 mois qui viennent de s’écouler. Il évoque aussi le développement international de la société nordique.
Crise sanitaire, approche du Brexit, séparation avec Prudential… les obstacles ont été nombreux pour M&G cette année. Son patron pour la France revient sur sa nouvelle offre de mandats pour family offices et ses ambitions auprès des CGP.
Les sociétés de gestion traditionnelles sans valeur ajoutée, sont aujourd'hui confrontées à des difficultés pour survivre, constate le head of business development and M&A chez Generali Investments, Asset & Wealth Management.
Johan Cras, managing director en charge du business development chez Kempen, revient sur le départ de huit personnes (dont six gérants) et explique comment la société de gestion néerlandaise a géré la suite. Après une année 2020 atypique, il présente les axes de développement avec notamment la montée en puissance du "subadvisory".
Bérengère Blaszczyk, head of distribution France & Benelux, Franklin Templeton, fait le point pour NewsManagers sur l'acquisition de Legg Mason et sur ses conséquences pour le marché français.
Bruno Piffeteau, responsable d’Allfunds pour la France, et Stéphane Corsaletti, directeur des investissements, expliquent pourquoi ils ont récemment rejoint la société. Et ils présentent les projets d’Allfunds, qui vient de boucler son accord stratégique avec BNP Paribas.
Sébastien Canton, avocat au Barreau de Paris, et partner chez BMH Avocats, analyse la situation juridique que pourrait provoquer l'adoption par l'Assemblée nationale de l'amendement relatif à la révision des tarifs des principaux contrats de production photovoltaïque d'électricité des années 2006-2010. Un amendement qui avait notamment provoqué la colère des sociétés de gestion spécialisées.
Les cofondateurs de la société suisse WS Partners, Hervé Croset et Antonio Carballo, décrivent les enjeux actuels de la sélection de fonds pour compte de tiers, entre foisonnement à l'extrême de l'offre, chute de H2O AM, et apparition des gérants américains sur le segment de l'ESG.
Lorsque Stéphane Vidal, le président de Primonial, a voulu recruter un nouveau patron pour La Financière de l’Echiquier (LFDE), une société de gestion bien connue sur le stock-picking et rachetée progressivement à partir de 2017 à son célèbrefondateur Didier Le Menestrel, ses idées étaient claires: trouver quelqu’un capable d’accélérer le développement international de la société et donner une connotation d’innovation à la marque. Cela a été chose faite en juillet dernier avec l’arrivée de Bettina Ducat comme nouvelle directrice générale. Stéphane Vidal est allé piocher chez Axa IM, une société de gestion qui avait déjà fourni en quelque sorte un ancien directeur général de LFDE, Dominique Carrel-Billard entre 2014 et 2016. «Mais cela n’a aucun rapport, c’est un hasard total», affirme Bettina Ducat. Certes cette dernière a pris soin de consulter l’avis de Dominique Carrel-Billard, devenu responsable notamment du développement international d’Amundi, mais pas de contacts avant la proposition de Stéphane Vidal. «Chez Axa IM, Dominique était mon patron et une des personnes qui m’a beaucoup inspirée avec la DRH du groupe à l’époque,Bénédicte Chrétien (aujourd’hui directrice des ressources humaines du Crédit Agricole SA, ndlr), qui reste un exemple pour moi », relate-t-elle. Au comex d’Axa IM à 34 ans L’expérience internationale et de développement de la jeune dirigeante est donc un atout clef dans son recrutement. Lorsqu’elle rejoint Axa IM en 2006, où elle restera près de 14 ans, elle aborde tout juste la trentaine et sort d’une expérience dans le conseil en stratégie chez Accenture. Pour cette alsacienne pure souche, diplômée de l’EM Lyon, commence alors une nouvelle étape dans l’asset management. Un secteur choisi pour son «environnement évolutif, dynamique et stimulant», affirme-t-elle. «Je n’ai pas été déçue car dès 2007, les effets de la crise se sont manifestés assez durement chez Axa IM et partout sur le marché », se rappelle-t-elle. La société de gestion fait en effet partie des gestionnaires français qui doivent annoncer des suspensions de fonds en 2007. Elle monte ensuite régulièrement dans la hiérarchie d’Axa IM jusqu’à accéder au comité exécutif du groupe en 2011, à l’âge de 34 ans. Elle est alors responsable du développement sur la France et l’Europe du Sud. «Cela a été le début pour moi de l’ouverture aux problématiques des clients étrangers dans différents pays», explique-t-elle. J’aime la valeur travail qui se retrouve très ancrée chez LFDE L’aventure tourne plutôt bien puisqu’en 2014, elle accède au poste de responsable global du développement d’Axa IM, auquel s’ajoutent les activités de marketing et de vente. Axa IM est alors présent dans 24 pays. «Il a fallu fixer les priorités du développement. Aller là où il y avait une rencontre entre l’appétence des clients et les solutions qu’Axa IM pouvait apporter». La dirigeante parie en particulier sur le Japon et l’Italie, avec succès commercial à la clé. De ses différents voyages, elle reconnait que le Japon a été le pays le plus dépaysant. «Il était important de bien se familiariser avec les codes du pays avant les RDV clients, de ne pas se laisser surprendre», indique-t-elle. Reste à savoir si elle saura aussi bien maitriser le choc des cultures entre deux nations différentes, qu’entre deux groupes aussi différents qu’Axa IM et LFDE. «Je ne pense pas au choc des cultures, non. J’ai ressenti tout de suite les qualités humaines des dirigeants de Primonial. J’ai quitté des gens très bien chez Axa IM pour retrouver des gens très bien chez LFDE dont les valeurs résonnent avec les miennes. J’aime l’agilité de cette entreprise, l’engagement de ses équipes. J’aime la valeur travail qui se retrouve très ancrée ici avec des collaborateurs qui sont tous actionnaires de l’entreprise et regardent dans la même direction», assure-t-elle. Elle se veut d’autant plus confiante qu’elle assure avoir évolué au sein d’une famille de chef d’entreprises, où la culture entrepreneuriale est très présente. Elle juge aujourd’hui LFDE comme une entreprise redevenue très stable après le rachat de Primonial, et a des projets plein la tête. Pêle-mêle: faire de LFDE un acteur européen de référence (en accroissant encore les 35% de la collecte venue de l’étranger), renforcer l’équipe actions globales «car il y a un fort potentiel de croissance» et lancer de nouveaux produits innovants.
Gilles Guez, directeur général de BFT IM, revient pour NewsManagers sur les axes de diversification engagés par la filiale d'Amundi. Spécialisée à l'origine sur les fonds de trésorerie, elle compte accélérer sur la gestion en actions françaises avec le label "Relance" et revendique par ailleurs la place de première ManCo de France.
Philippe Uzan, le CIO Asset Management d’iM Global Partner, fait le point sur la refonte de la gamme Oyster, acquise en février dernier. La gestion de plusieurs fonds a été confiée à de nouvelles sociétés de gestion, dont certaines font partie de la galaxie iM Global Partner. La stratégie de fonds ouverts Ucits passe dorénavant par la Sicav Oyster.
Dans un entretien à NewsManagers, David Abitbol, directeur du Métier Titres de Société Générale (SGSS), fait le point sur l’activité de la société cette année. Il présente aussi ses projets.
Nicolas Deblauwe a pris la suite de Pietro Grassano, en tant que directeur général du bureau français de J.P. Morgan AM il y a tout juste un an. Une nomination qui permet aux marchés français et du Benelux de travailler plus étroitement. Le dirigeant revient sur l'activité du groupe dans un contexte difficile.
Jean-Christophe Benzo, directeur général de Groupama Epargne salariale (1,4 milliard d'euros d'encours), explique les dernières évolutions stratégiques du groupe dans cette activité, encouragées notamment par la mise en place de la loi Pacte.