
La Russie coûte 17 milliards de dollars aux clients de BlackRock

BlackRock a enregistré plus de 17 milliards de dollars de pertes sur les encours gérés pour le compte de ses clients et investis en Russie. Le premier gérant d’actifs mondial affichait 18,2 milliards d’actifs russes fin janvier, mais a ramené leur valeur à un milliard le 28 février, après l’effondrement des marchés locaux et l’annonce des sanctions occidentales contre Moscou, a révélé le Financial Times en citant un porte-parole. Aussi impressionnants soient-ils, ces montants restent une goutte d’eau par rapport aux plus de 10.000 milliards de dollars d’encours que BlackRock gérait avant le début de la crise. «BlackRock consultera les régulateurs, les fournisseurs d’indices et les autres participants du marché pour s’assurer que nos clients pourront solder leurs positions en titres russes, chaque fois que les conditions réglementaires et de marché le permettent», a indiqué Larry Fink, le directeur général du gérant américain, dans un message sur LinkedIn.
Plus d'articles du même thème
-
Jims test article Part 2
jims test sub headline with some extra info -
Le Jour de la Libération rebat les cartes
Retrouvez comme chaque semaine le coup d’œil de DeftHedge sur le marché des changes.
Sujets d'actualité
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions