Toute l’actualité de l’Union européenne (élections, lois, réglementations) et l’impact des décisions de la Commission européenne, du Parlement ou du Conseil sur l'économie, les marchés et l'écosystème financier.
La nouvelle Commission européenne présidée par l’Allemande Ursula von der Leyen a remporté mercredi le vote de confirmation du Parlement européen, et sera finalement investie dimanche prochain, avec un mois de retard sur le calendrier initial. Dans son discours préalable au vote de confirmation, Ursula von der Leyen a déclaré mercredi devant les députés européens que le combat contre le changement climatique était un défi «existentiel» pour l’humanité, et qu’elle garantirait suffisamment de ressources budgétaires pour aider les Etats membres à s’adapter aux mutations nécessaires, notamment la réduction des émissions de gaz à effet de serre et de la consommation d'énergies fossiles.
La proposition de l’Union européenne (UE) visant à établir une taxe carbone à ses frontières va nuire aux tentatives de constitution d’un front mondial contre le changement climatique, a estimé mercredi la Chine. Elle souligne en outre qu’une telle taxe irait à l’encontre d’un des principes de l’Accord de Paris de 2015. Le futur commissaire européen au Climat, Frans Timmermans, a présenté début octobre un «Green Deal» européen sur lequel la nouvelle Commission travaillera dès le 1er décembre, avec notamment la possible mise en place d’une taxe carbone aux frontières, afin de protéger les entreprises européennes de la concurrence jugée déloyale en provenance de pays ne respectant pas les mêmes exigences en matière de lutte contre le changement climatique.
La nouvelle Commission européenne présidée par l’Allemande Ursula von der Leyen a remporté mercredi le vote de confirmation du Parlement européen, et sera finalement investie dimanche prochain, avec un mois de retard sur le calendrier initial. Les députés européens ont approuvé le nouvel exécutif européen par 461 voix contre 157. Il y a eu 89 abstentions.
La proposition de l’Union européenne (UE) visant à établir une taxe carbone à ses frontières va nuire aux tentatives de constitution d’un front mondial contre le changement climatique, a estimé mercredi la Chine. Le futur commissaire européen au Climat, Frans Timmermans, a présenté début octobre un «Green Deal» européen sur lequel la nouvelle Commission travaillera dès le 1er décembre, avec notamment la possible mise en place d’une taxe carbone aux frontières afin de protéger les entreprises européennes de la concurrence jugée déloyale en provenance de pays ne respectant pas les mêmes exigences en matière de lutte contre le changement climatique.
Les députés européens ont approuvé la candidature du Hongrois Oliver Varhelyi au poste de commissaire européen à l'élargissement, ce qui devrait permettre un vote d’investiture de l'équipe d’Ursula von der Leyen le 27 novembre au Parlement européen. Oliver Varhelyi, actuel ambassadeur de la Hongrie auprès de l’UE, était le dernier des 27 candidats à la Commission à être approuvé par les députés européens, qui lui avaient adressé des questions écrites. L’entrée en fonction de la nouvelle Commission est prévue pour le 1er décembre.
Les députés européens ont approuvé la candidature du Hongrois Oliver Varhelyi au poste de commissaire européen à l'élargissement, ce qui devrait permettre un vote d’investiture de l'équipe d’Ursula von der Leyen le 27 novembre au Parlement européen.
Londres a écrit à l’Union européenne «pour confirmer que la règle, avant les élections, veut que le Royaume-Uni, normalement, ne procède à aucune nomination à des postes internationaux durant cette période», selon Reuters. Le report de cette nomination au-delà du 12 décembre risque de mettre les 27 dans l’embarras, puisqu’ils avaient fixé au 1er décembre la date d’entrée en fonctions de l'équipe de l’Allemande Ursula von der Leyen. Dans l’attente d’un possible Brexit au 31 janvier, l’UE pourrait décider d’ignorer la règle stipulant que chaque Etat membre doit être représenté au sein de la Commission.
Après une audition nourrie, au cours de laquelle l'ex-PDG d'Atos a dû se défendre de risques de conflits d'intérêts, les députés européens ont approuvé sa candidature.
Thierry Breton a passé l’obstacle du Parlement européen. Auditionné cet après-midi par les députés européens, le candidat de la France à la Commission européenne a obtenu la majorité requise des deux-tiers.
Londres a écrit à l’Union européenne «pour confirmer que la règle, avant les élections, veut que le Royaume-Uni, normalement, ne procède à aucune nomination à des postes internationaux durant cette période», a expliqué un haut responsable britannique cité par Reuters. Le report de cette nomination au-delà du 12 décembre risque de mettre les 27 dans l’embarras, puisqu’ils avaient fixé au 1er décembre la date d’entrée en fonctions de l'équipe de l’Allemande Ursula von der Leyen, appelée à remplacer celle de Jean-Claude Juncker à la Commission européenne. Dans l’attente d’un possible Brexit au 31 janvier, l’UE pourrait décider d’ignorer la règle stipulant que chaque Etat membre doit être représenté au sein de la Commission, mais cette solution n’est pas sans risques juridiques, avancent des sources européennes.
Le candidat français à la Commission européenne, Thierry Breton, a franchi mardi de justesse une première étape face aux eurodéputés, à 12 voix contre 11, qui ont estimé que son profil ne présentait pas de risques de conflit d’intérêts. La commission des Affaires juridiques (Juri), chargée d’examiner la déclaration d’intérêt de l’ex-ministre français de l’Economie - qui a été ensuite PDG du groupe de services informatiques Atos pendant 11 ans -, a décidé qu’aucune question ni audition supplémentaire n'était nécessaire le concernant. Thierry Breton doit passer une audition jeudi après-midi au Parlement européen. Mardi, les eurodéputés ont également approuvé le candidat hongrois, Oliver Varhelyi (Voisinage et élargissement), et la Roumaine Adina Valean (Transports).
Le candidat français à la Commission européenne, Thierry Breton, a franchi mardi de justesse une première étape face aux eurodéputés, qui ont estimé lors d’un vote que son profil ne présentait pas de risques de conflit d’intérêt.
Thierry Breton, désigné par la France après le rejet de la candidature de Sylvie Goulard, et les deux autres commissaires proposés par la Hongrie et la Roumanie, seront auditionnés le 14 novembre, a annoncé le Parlement européen. Chaque audition durera trois heures. La commission des affaires juridiques du Parlement se réunira le 12 novembre pour évaluer les déclarations d’intérêts financiers des candidats, précise le Parlement. La Conférence des présidents des commissions évaluera le résultat des auditions le 14 novembre. Un vote en plénière est prévu le 27 novembre. La nouvelle Commission européenne présidée par l’Allemande Ursula von der Leyen prendra ses fonctions le 1er décembre.
Thierry Breton, désigné par la France après le rejet de la candidature de Sylvie Goulard, et les deux autres commissaires proposés par la Hongrie et la Roumanie, seront auditionnés le 14 novembre, a annoncé le Parlement européen. Chaque audition durera trois heures.
La Commission européenne a annoncé jeudi avoir revu à la baisse ses prévisions de croissance dans la zone euro, avec désormais une croissance du PIB des 19 pays à 1,1% en 2019 et 1,2% en 2020 puis en 2021, contre plutôt 1,2% cette année et de 1,4% l’an prochain annoncés en juillet. Le PIB de l’ensemble de l’Union européenne devrait progresser de 1,4% en 2019, 2020 et 2021, la prévision pour 2020 ayant été réduite de 0,2 point de pourcentage. Elle a revu à la baisse ses prévisions de croissance 2020 pour les trois principales économies de la zone euro : à 1,0% pour l’Allemagne (contre 1,4% prévu en juillet), à 1,3% pour la France (contre 1,4%) et à 0,4% pour l’Italie (contre 0,7%).
La Commission européenne a annoncé jeudi avoir revu à la baisse ses prévisions de croissance dans la zone euro, avec désormais une croissance du PIB des 19 pays à 1,1% en 2019 et 1,2% en 2020 puis en 2021, contre plutôt 1,2% cette année et de 1,4% l’an prochain annoncés en juillet. Le PIB de l’ensemble de l’Union européenne devrait progresser de 1,4% en 2019, 2020 et 2021, la prévision pour 2020 ayant été réduite de 0,2 point de pourcentage. L’exécutif communautaire explique s’attendre à une période difficile pour les prochaines années : «L’environnement extérieur est devenu beaucoup moins favorable et les incertitudes sont grandes (…). L'économie européenne semble donc aller vers une période prolongée de moindre croissance et de très faible inflation.»