Toute l’actualité de l’Union européenne (élections, lois, réglementations) et l’impact des décisions de la Commission européenne, du Parlement ou du Conseil sur l'économie, les marchés et l'écosystème financier.
Les gouvernement hongrois et polonais ont annoncé jeudi saisir la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) afin de contester la base légale du nouveau règlement liant l’octroi de fonds européens au respect de l’État de droit. Le texte autorise, depuis le 1er janvier, la Commission européenne (CE) à suspendre les financements, issus du budget communautaire ou du fonds de relance européen, destinés aux États membres où elle constate une violation de l’Etat de droit, sous réserve d’un vote à la majorité qualifiée du Conseil. L’opposition de Budapest et Varsovie à ce mécanisme de conditionnalité avait constitué un obstacle majeur dans les négociations sur le paquet de relance de l’UE en fin d’année dernière.
Les gouvernement hongrois et polonais ont annoncé jeudi saisir la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) afin de contester la base légale du nouveau règlement liant l’octroi de fonds européens au respect de l’État de droit. Le texte autorise, depuis le 1er janvier, la Commission européenne (CE) à suspendre les financements, issus du budget communautaire ou du fonds de relance européen, destinés aux États membres où elle constate une violation de l’Etat de droit, sous réserve d’un vote à la majorité qualifiée du Conseil.
La vision de la Commission européenne sur la stratégie à adopter pour accompagner la reprise reste à expliciter. Avec de possibles divergences entre pays.
Au vu des prévisions économiques actuelles, la clause dérogatoire du pacte de stabilité devrait rester active l’année prochaine », a annoncé mercredi midi le vice-président de la Commission européenne (CE), Valdis Dombrovskis.
Les banques centrales ne veulent pas se substituer à l’action des pouvoirs politiques en matière de lutte contre le changement climatique ou le creusement des inégalités.
Selon un document interne datant du 26 janvier consulté par Reuters, la Commission européenne compte imposer au gouvernement de Viktor Orban la réforme du code des marchés publics hongrois qu’elle lui réclame de longue date, à laquelle serait conditionné le versement des près de 6,3 milliards d’euros d’aides directes dont Budapest doit bénéficier au titre du plan de relance européen. Dénonçant une «concurrence dans les marchés publics insuffisante en pratique» responsable «d’irrégularités systémiques», le document qui appelle à l’établissement de normes de transparence insiste aussi sur les multiples «lacunes» au sein de la législation hongroise relative aux conflits d’intérêts.
La Commission européenne (CE) entend décidément faire plein usage du pouvoir que lui confère son rôle central dans le processus d’approbation des plans de relance nationaux dans le cadre du fonds de relance européen. Selon un document interne datant du 26 janvier consulté par Reuters, la CE compte imposer au gouvernement de Viktor Orban la réforme du code des marchés publics hongrois qu’elle lui réclame de longue date, à laquelle serait conditionnée le versement des près de 6,3 milliards d’euros d’aides directes dont Budapest doit bénéficier au titre du plan de relance européen.
Autonomie stratégique, digital, Chine... Dans un entretien à L'Agefi Hebdo, la vice-présidente de la Commission européenne dévoile ses sujets prioritaires pour 2021.
La Commission européenne a annoncé la prolongation jusqu’au 31 décembre 2021 de l’encadrement temporaire des aides d'État adopté le 19 mars 2020 pour permettre aux gouvernements de soutenir l'économie face à la pandémie, ainsi que plusieurs mesures d’assouplissement. Les nouveaux plafonds seront dorénavant de 1,8 million d’euros par entreprise pour la plupart des secteurs. La limite appliquée aux aides contribuant aux coûts fixes et structurels non couverts par des recettes passe de 3 millions à 10 millions d’euros par entreprise. Ces aides sont autorisées depuis mi-octobre pour les entreprises dont le chiffre d’affaires a diminué de 30% par rapport à la même période en 2019.
La Commission européenne (CE) a annoncé la prolongation jusqu’au 31 décembre 2021 de l’encadrement temporaire des aides d'État adopté le 19 mars 2020 pour permettre aux gouvernements de soutenir l'économie face à la pandémie, ainsi que plusieurs mesures d’assouplissement.
Si l’accord conclu entre la Chine et la Commission européenne était ratifié, il bénéficierait à l’ensemble des pays membres de l’Organisation mondiale du Commerce.
Le Royaume-Uni et la Suisse vont continuer de travailler à la conclusion d’un accord sur les services financiers, a déclaré mercredi le ministre britannique des Finances, Rishi Sunak, en amont d’un entretien avec son homologue suisse. Les deux pays veulent parvenir à un accord de reconnaissance mutuelle pour leurs réglementations financières respectives, le type d’arrangement que Londres a échoué à obtenir de Bruxelles post-Brexit, et que l’Union européenne (UE) n’accorde pas non plus à la Suisse depuis mi-2019 dans le cadre d’un contentieux commercial et réglementaire plus large.
La Commission européenne (CE) a proposé jeudi soir tardivement aux chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne (UE) d’identifier en «rouge foncé» les régions des plus importants foyers épidémiques du coronavirus. Les personnes voyageant depuis ces régions pourront devoir présenter un test avant leur départ, et se soumettre à une quarantaine à leur arrivée, a dit la présidente de la CE Ursula von der Leyen, ajoutant que l’ensemble des voyages non-essentiels depuis ces régions devraient être déconseillés. La plupart de l’Europe se situe à l’heure actuelle en zone «rouge».