Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
Premiers résultats prometteurs pour la première foncière européenne, depuis l’acquisition de l’australien Westfield pour 25 milliards de dollars. Intégrant Westfield sur le seul mois de juin, Unibail-Rodamco-Westfield (URW) enregistre une hausse de 7,3% de son résultat net récurrent par action, son indicateur clé, à 6,61 euros. Un résultat au-delà de l’objectif annuel de 6 à 7% donné en début d’année, mais le premier semestre sera meilleur que le second prévient le groupe.
La croissance des bénéfices des entreprises industrielles chinoises a ralenti pour le troisième mois consécutif en juillet, montrent les statistiques officielles publiées ce lundi, qui soulignent le ralentissement de la demande interne en pleine tensions commerciales entre Washington et Pékin. Le Bureau national de la statistique a fait état d’une hausse de 16,2% des bénéfices du secteur industriel le mois dernier, à 515,12 milliards de yuans (64,5 milliards d’euros), alors que leur croissance avait atteint 20% en juin.
La croissance des bénéfices des entreprises industrielles chinoises a ralenti pour le troisième mois consécutif en juillet, montrent les statistiques officielles publiées ce lundi, qui soulignent le ralentissement de la demande interne en pleine tensions commerciales entre Washington et Pékin. Le Bureau national de la statistique a fait état d’une hausse de 16,2% des bénéfices du secteur industriel le mois dernier à 515,12 milliards de yuans (64,5 milliards d’euros), alors que leur croissance avait atteint 20% en juin.
Le groupe de spiritueux pourrait annoncer une progression organique de 5,8% de ses ventes et de 6,4% de son résultat opérationnel courant, selon Raymond James.
La banque basée à Toronto a annoncé hier pour le troisième trimestre, clos le 31 juillet, de son exercice 2017-2018, un bénéfice net de 1,37 milliard de dollars canadiens (907 millions d’euros), en progression de 24,5% par rapport à la même période de l’an dernier. Hors éléments non récurrents, le bénéfice ajusté par action a été de 3,08 dollars canadiens, contre 2,77 dollars un an plus tôt et 2,94 dollars anticipés en moyenne par les analystes. La banque a précisé que 16% de son bénéfice émanait des Etats-Unis, contre un objectif de 17% fixé à l’horizon 2020. Cette progression rapide est liée à la bonne performance de ses activités américaines à la suite de l’acquisition de PrivateBancorp en juin 2017.
Le groupe chinois a publié hier un chiffre d’affaires trimestriel légèrement supérieur aux attentes grâce à la croissance de ses activités principales de commerce en ligne. Il a progressé de 61%, à 80,9 milliards de yuans (10,16 milliards d’euros), sur la période avril-juin, contre un consensus à 80,7 milliards. Son bénéfice net a toutefois chuté de 41%, à 8,7 milliards de yuans, soit 3,3 yuans par action, du fait d’une charge exceptionnelle liée la récente levée de fonds d’Ant Financial, filiale d’Alibaba. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice ressort à 8,04 yuans par action, en dessous des attentes du consensus, qui étaient de 8,15 yuans.
Le secteur bancaire américain a dégagé des profits records de 60,2 milliards de dollars (52,04 milliards d’euros) au deuxième trimestre, en hausse de 25,1% par rapport à la même période de 2017, en grande partie grâce aux baisses d’impôts, montrent des données publiées hier par la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC). L’organisme en charge de l’assurance des dépôts bancaires aux Etats-Unis a précisé qu’un peu plus de la moitié de la hausse des profits s’expliquait par une baisse du taux d’imposition effectif et l’autre moitié par une hausse de la marge nette d’intérêt. Seules 3,8% des banques ont fait état de pertes sur la période. Les banques américaines avaient déjà enregistré des profits historiquement élevés au premier trimestre, à 56 milliards de dollars, à la faveur des baisses d’impôts votées par le Congrès fin 2017.
Gap a fait état hier soir de résultats trimestriels supérieurs aux attentes, grâce à une hausse de la demande pour ses marques Old Navy et Banana Republic. Mais les performances de la marque homnyme du groupe de prêt-à-porter ont déçu, d’où un plongeon de 7% du titre dans des échanges d’après-Bourse. Le bénéfice net sur les trois mois au 4 août, deuxième trimestre de l’exercice 2018-2019, s’est établi à 297 millions de dollars (257 millions d’euros), soit 0,76 dollar par action, contre 271 millions (0,68 dollar par action) il y a un an. Le chiffre d’affaires a augmenté de 7,5%, à 4,09 milliards. Le consensus anticipait un bénéfice par action de 0,72 dollar et des ventes de 4,01 milliards.
Plastivaloire a fait état hier d’une activité solide au titre de son troisième trimestre 2017-2018, avec un chiffre d’affaires de 162 millions d’euros, en hausse de +1,4% par rapport à celui de la période équivalente de l’an dernier. Son chiffre d’affaires sur neuf mois s’établit ainsi à 502,5 millions, en croissance organique de +6,7%, en ligne avec l’objectif d’un chiffre d’affaires annuel compris entre 660 et 670 millions. L’équipementier automobile confirme en outre son objectif d’une marge brute d’exploitation comprise entre 12,0% et 12,5% pour l’ensemble de son exercice.
La hausse de 12,9% des distributions au deuxième trimestre a dépassé les attentes de Janus Henderson, avec des records en France, au Japon et aux Etats-Unis.
Estee Lauder a publié hier une prévision de bénéfice inférieure aux attentes de Wall Street pour le trimestre en cours, en raison de la vigueur du dollar et d’une baisse de la fréquentation dans les magasins. Le fabricant américain de cosmétiques anticipe un bénéfice par action compris entre 1,18 et 1,22 dollar pour le premier trimestre de son exercice décalé, contre une prévision moyenne des analystes de 1,32 dollar. Hors éléments exceptionnels, Estee Lauder a réalisé sur son trimestre clos le 30 juin un bénéfice par action de 61 cents, supérieur à la prévision moyenne des analystes, qui était de 56 cents par action.
En Europe, au deuxième trimestre, la croissance du chiffre d'affaires ressort à 8% pour les groupes du Stoxx 600. Aux Etats-Unis, la réforme fiscale dope les bénéfices.
Le PDG de la SNCF Guillaume Pepy assure que le groupe, qui doit négocier dès septembre une nouvelle convention collective dans le cadre de la réforme du ferroviaire, ne prévoit aucun plan social et que sa dette, partiellement reprise par l’Etat, ne se creusera plus, dans un entretien au Figaro samedi. La SNCF a annoncé vendredi une perte nette, part du groupe, de 762 millions d’euros au premier semestre, pénalisé par la grève des cheminots contre la réforme du secteur ferroviaire et un chiffre d’affaires en recul de 3,3%, à 16,08 milliards d’euros.