McDonald’s prévoit de comptabiliser une charge de 80 à 90 millions de dollars (68 à 76 millions d’euros) au cours du deuxième trimestre dans le cadre d’un plan de restructuration de ses activités aux Etats-Unis. Le leader mondial de la restauration rapide précise qu’il supprimera sa structure régionale pour se concentrer sur les bureaux locaux. Les provisions seront affectées essentiellement aux charges de licenciement et à la fermeture des bureaux locaux, a indiqué le groupe, ajoutant que la transition vers la nouvelle structure serait achevée au troisième trimestre 2018.
McDonald’s prévoit de comptabiliser une charge de 80 à 90 millions de dollars (68 à 76 millions d’euros) au cours du deuxième trimestre dans le cadre d’un plan de restructuration de ses activités aux Etats-Unis comprenant notamment des licenciements. Le numéro un mondial de la restauration rapide précise qu’il supprimera sa structure régionale pour se concentrer sur les bureaux locaux.
Deutsche Post a présenté vendredi un plan de restructuration de sa division de lettres et colis afin de mieux faire face à la hausse des coûts de personnel et de transport, ce qui l’a amené à abaisser de près de 25% à 3,2 milliards d’euros sa prévision de bénéfice d’exploitation pour 2018. Il consacrera 500 millions d’euros à sa restructuration cette année, pour financer des départs en pré-retraite et réduire sa base de coûts. Il dépensera en outre environ 150 millions d’euros pour améliorer la productivité de cette division via l’automatisation et la numérisation.
Deutsche Post a présenté aujourd’hui un plan de restructuration de sa division de lettres et colis afin de mieux faire face à la hausse des coûts de personnel et de transport, ce qui l’a amené à abaisser de près de 25% à 3,2 milliards d’euros sa prévision de bénéfice d’exploitation pour 2018. Il consacrera 500 millions d’euros à cette restructuration cette année, pour financer essentiellement des départs en pré-retraite et réduire sa base de coûts. Il dépensera en outre environ 150 millions d’euros pour améliorer la productivité de cette division via l’automatisation et la numérisation.
McDonald’s prévoit une nouvelle vague de suppressions de postes afin de réduire la taille de sa structure administrative aux Etats-Unis, alors que la chaîne de restauration rapide continue de chercher des moyens d’améliorer ses performances sur le sol américain. Le président de McDonald’s USA, Chris Kempczinski, a révélé dans courriel envoyé mercredi aux employés américains, aux fournisseurs et aux franchisés de la marque et consulté par le Wall Street Journal que le groupe était en train de restructurer ses sièges régionaux à travers tout le pays. Chris Kempczinski n’a pas communiqué le nombre de suppressions de postes envisagé, mais il a indiqué qu’il fournirait des précisions lors d’une réunion au siège prévue le 12 juin.
Deutsche Bank veut compter moins de 93.000 employés d’ici la fin de l’année et atteindre l’année prochaine un rendement des fonds propres retraités des survaleurs supérieur à 4%, a annoncé la banque allemande dans des documents rédigés pour une conférence organisée hier. «Notre manque de rentabilité continue de nous freiner», a reconnu le directeur financier James von Moltke, lors de cette conférence. Après trois années consécutives de pertes, Deutsche Bank a annoncé le mois dernier son intention de ramener ses effectifs mondiaux bien en dessous de 90.000 personnes, contre 97.000 actuellement, avec le quart des emplois de vente et de trading d’actions détruits, lesquels sont essentiellement situés à Londres et à New York.
Deutsche Bank veut compter moins de 93.000 employés d’ici la fin de l’année et atteindre l’année prochaine un rendement des fonds propres retraités des survaleurs supérieur à 4%, annonce la banque allemande dans des documents rédigés pour une conférence organisée mercredi.
Le groupe de prêt-à-porter a encore cassé le covenant de son crédit renouvelable. Sa génération d'Ebitda n'est plus suffisante pour faire face à toutes ses charges.
LafargeHolcim a officialisé ce matin la fermeture de ses bureaux de Paris et de Zurich, ce qui entrainera la suppression d’environ 200 emplois dans les fonctions centrales, dont 97 à Paris. Aucun autre site en France ne sera concerné, assure le cimentier. Les postes restants en Suisse seront transférés vers le site de l’entreprise à Holderbank et vers un nouveau bureau à Zoug. A Paris, les postes restants seront transférés à Clamart, en banlieue parisienne. Ce projet devrait être intégralement mis en œuvre d’ici la fin de l’année 2018.
LafargeHolcim est près de remanier en profondeur ses sièges sociaux de Paris et de Zurich, ce qui pourrait se traduire par des centaines de pertes d’emploi, ont déclaré hier à Reuters deux sources au fait du dossier. Cette refonte doit être annoncée dans les jours qui viennent et elle s’inscrit dans un programme de réduction des coûts du cimentier franco-suisse. LafargeHolcim pourrait ainsi fermer son siège parisien à la suite d’un réexamen de ses opérations, ont précisé les sources, ajoutant que des suppressions de postes seraient également en jeu à Zurich.
L’entreprise japonaise de produits électroniques Ricoh Industrie a annoncé hier la suppression de 248 emplois, sur un total de 850, dans son usine de Wettolsheim (Haut-Rhin), dédiée aux produits d’impression bureautique. La direction, qui a fait cette annonce lors d’un comité d’entreprise extraordinaire, estime pouvoir limiter le nombre de licenciements à 143 par le jeu des réaffectations internes. Les suppressions de postes interviendront à la fin de l’année, avec l’arrêt de l’activité toner et de la réalisation des modes d’emploi des imprimantes et photocopieurs.
L’entreprise japonaise de produits électroniques Ricoh Industrie a annoncé aujourd’hui la suppression de 248 emplois, sur un total de 850, dans son usine de Wettolsheim (Haut-Rhin), dédiée aux produits d’impression bureautique. La direction, qui a fait cette annonce lors d’un comité d’entreprise extraordinaire, estime pouvoir limiter le nombre de licenciements à 143 par le jeu des réaffectations internes.
L'équipementier automobile sud-coréen Hyundai Mobis a annoncé hier avoir renoncé à son projet de réorganisation, n'étant pas sûr d’obtenir l’aval des actionnaires au regard de l’opposition du fonds activiste américain Elliott Management et d’autres investisseurs. Cette décision constitue un revers pour la société-mère Hyundai Motor, qui entendait s’appuyer sur cette proposition pour assurer la relève générationnelle et réduire le risque réglementaire. Hyundai Mobis a annulé l’assemblée générale du 29 mai au cours de laquelle le projet aurait dû être soumis au vote des actionnaires.
Les membres de l’Association des investisseurs en retournement (AIR) ont adopté une charte d’engagements, «conscients de l’impact de leurs interventions dans le domaine économique, social et environnemental», indique-t-ils dans un communiqué. Ses signataires s’engagent sur plusieurs objectifs. Ils se disent ainsi prêts à «investir l’épargne qui leur est confiée pour faciliter le retour à l’autonomie financière des entreprises de leur portefeuille (...), à agir en partenaire attentif et actif de dirigeant ou d’équipes pleinement responsables de la gestion de leur entreprise (...), à ne prélever que des frais (management fees) correspondants aux dépenses engagées pour la gestion, l’animation et le développement de l’entreprise (...), à traiter les flux financiers intra groupe dans le cadre de conventions réglementées, et motivées, dans le respect du droit local applicable à la filiale».
Telecom Italia a demandé au gouvernement italien d’approuver la mise au chômage partiel de 4.000 employés dans le cadre de son plan stratégique 2018-2020 dévoilé en mars, rapportait hier Reuters de source proche du dossier. Ce dispositif s’appuyant sur des fonds publics permet à une entreprise de réduire provisoirement ses effectifs sans licenciement pour les adapter à sa stratégie ou à un environnement économique plus difficile. Le groupe a déclaré hier que l’impasse des négociations avec les syndicats rendaient le recours au chômage partiel inévitable. «Ce projet sera analysé et discuté avec les organisations syndicales avec la perspective souhaitable de parvenir rapidement à un accord», écrit TIM dans un communiqué, confirmant la demande adressée au gouvernement sans en fournir les détails.
Telecom Italia a demandé au gouvernement italien d’approuver la mise au chômage partiel de 4.000 employés dans le cadre de son plan stratégique 2018-2020 dévoilé en mars, rapporte jeudi Reuters de source proche du dossier. Ce dispositif s’appuyant sur des fonds publics permet à une entreprise de réduire provisoirement ses effectifs sans licenciement pour les adapter à sa stratégie ou à un environnement économique plus difficile.
Le fonds activiste Elliott Management a indiqué ce matin qu’il votera contre le plan de réorganisation du sud-coréen Hyundai Motor lors de l’assemblée générale du 29 mai prochain, en invitant les autres actionnaires à faire de même. Elliott, qui détient quelque 1,5% du capital de la filiale Hyundai Mobis, spécialisée dans les pièces détachées automobiles, estime notamment que les rachats d’actions annoncés ne permettront pas d’augmenter suffisamment la création de valeur au sein du groupe. Le conglomérat a également l’intention de scinder l’activité domestique et les services d’après-vente de Hyundai Mobis en vue de les fusionner avec la société de logistique Hyundai Glovis.