Nos articles d'actualité et d'analyse sur les principales campagnes lancées par des actionnaires activistes (Elliott, Amber, Third Point, Trian Partners, Cevian, TCI etc.) sur des entreprises cotées en Bourse.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur le secteur de la pharmacie et des biotechnologies, ses évolutions et grandes tendances à l’oeuvre, ses principales entreprises françaises (Sanofi, Ipsen, Biomérieux...) et étrangères (Pfizer, Roche, Novartis, GSK, AstraZeneca etc.)
L’an dernier les levées en capital-risque ou lors de cotations des sociétés américaines et européennes ont été divisées par deux, selon le panorama France Biotech.
Les biopharmaceutiques Erytech et Pherecydes ont annoncé jeudi leur projet de rapprochement stratégique en vue de créer un leader mondial de la phagothérapie. La visibilité financière de la nouvelle entité issue de la fusion s'étendrait jusqu’au troisième trimestre 2024, avec une position de trésorerie consolidée d’environ 41 millions d’euros au 31 décembre 2022, et permettrait de financer de multiples étapes cliniques de ses programmes existants et futurs. L’opération, soutenue par les principaux actionnaires des deux sociétés, permettra aux actionnaires historiques de Pherecydes de détenir environ 49% de l’entité combinée.
Les biopharmaceutiques Erytech et Pherecydes annoncent leur projet de rapprochement stratégique en vue de créer un leader mondial de la phagothérapie. La visibilité financière de la nouvelle entité issue de la fusion s'étendrait jusqu’au troisième trimestre 2024, avec une position de trésorerie consolidée d’environ 41 millions d’euros au 31 décembre 2022, et permettrait de financer de multiples étapes cliniques de ses programmes existants et futurs. L’opération, soutenue par les principaux actionnaires des deux sociétés, permettra aux actionnaires historiques de Pherecydes de détenir environ 49% de l’entité combinée.
Le laboratoire britannique a fait état jeudi d’un chiffre d’affaire en baisse de 7% à 11,21 milliards de dollars (10,41 milliards d’euros) au quatrième trimestre 2022, mais en hausse de 17% si l’on exclut son vaccin Vaxzevria contre le Covid-19. AstraZeneca anticipe pour cette année un bénéfice ajusté par action en hausse de 9% à 10% et un chiffre d’affaires en progression de 1% à 5%. En 2022, son bénéfice ajusté par action était en hausse de 26% à 6,66 dollars pour un chiffre d’affaires en croissance de 19% à 44,35 milliards de dollars. Les prévisions du groupe ont permis d’apaiser les inquiétudes de certains analystes, qui craignaient que ses bénéfices ne soient érodés par des dépenses plus élevées, alors qu’il se prépare à un grand nombre d’essais cliniques et de lancements de médicaments.
Le laboratoire pharmaceutique britannique a fait état jeudi d’un chiffre d’affaire en baisse de 7% à 11,21 milliards de dollars (10,41 milliards d’euros) au quatrième trimestre 2022, mais en hausse de 17% si l’on exclut son vaccin Vaxzevria contre le Covid-19. AstraZeneca anticipe pour cette année un bénéfice ajusté par action en hausse de 9% à 10% et un chiffre d’affaires en progression de 1% à 5%. En 2022, son bénéfice ajusté par action était en hausse de 26% à 6,66 dollars pour un chiffre d’affaires en croissance de 19% à 44,35 milliards de dollars.
Le spécialiste de l’imagerie médicale DMS Group acquiert l’intégralité de la participation de la famille Ansel représentant 12,89% de son capital. DMS Group a convenu d’échanger 2.077.539 actions DMS Group détenues par le groupe familial Ansel, contre 46.536.395 actions Hybrigenics détenues par DMS Group, représentant 17% du capital de la biopharmaceutique Hybrigenics. Cette opération n’entraîne aucun décaissement financier par DMS Group. Ce dernier conserve une part une participation résiduelle de 24,77% au capital d’Hybrigenics. Parallèlement, les parties ont conclu un pacte d’actionnaires au sein d’Hybrigenics visant à organiser sa gouvernance. Hybrigenics et son président, Jean-Paul Ansel, se sont engagés à valoriser au mieux les actifs de la société Hybrigenics. La créance en compte-courant détenue par DMS Group à l’égard d’Hybrigenics, d’un montant de 2,2 millions d’euros sera remboursée de manière échelonnée.
La biotech belge BioSenic, issue du rapprochement en octobre dernier de Medsenic et de Bone Therapeutics, vient d’obtenir le feu vert de la FSMA, le régulateur belge des marchés financiers pour sa cotation sur Euronext Bruxelles et Euronext Paris avant la fin de la semaine. 90,7 millions actions nouvelles et de 24,5 millions de nouveaux droits de souscription émis dans le cadre de l’augmentation de capital par apport en nature de la participation de 51% de Medsenic seront ainsi admis en Bourse. Le Prospectus couvre également l’admission à la négociation sur Euronext Bruxelles et Euronext Paris d’un maximum de 24,5 millions d’actions nouvelles si et quand les droits de souscription susmentionnés sont exercés, à condition que ces actions nouvelles supplémentaires soient émises et admises à la cote avant le 7 février 2024. BioSenic continuera de solliciter des financements complémentaires pour la poursuite de ses opérations à plus long terme, car il ne dispose pas actuellement d’un fonds de roulement suffisant pour répondre à ses besoins actuels et pour couvrir les besoins en fonds de roulement pendant une période d’au moins 12 mois à compter de la date du prospectus, ajoute le communiqué.
Le spécialiste de l’imagerie médicale DMS Group acquiert l’intégralité de la participation de la famille Ansel représentant 12,89% de son capital. DMS Group a convenu d’échanger 2.077.539 actions DMS Group détenues par le groupe familial Ansel, contre 46.536.395 actions Hybrigenics détenues par DMS Group, représentant 17% du capital de la biopharmaceutique Hybrigenics. Cette opération n’entraîne aucun décaissement financier par DMS Group. Ce dernier conserve une part une participation résiduelle de 24,77% au capital d’Hybrigenics.
La biotech belge BioSenic, issue du rapprochement en octobre dernier de Medsenic et de Bone Therapeutics, vient d’obtenir le feu vert de la FSMA, le régulateur belge des marchés financiers pour sa cotation sur Euronext Bruxelles et Euronext Paris avant la fin de la semaine. 90,7 millions actions nouvelles et de 24,5 millions de nouveaux droits de souscription émis dans le cadre de l’augmentation de capital par apport en nature de la participation de 51% de Medsenic seront ainsi admis en Bourse. Le Prospectus couvre également l’admission à la négociation sur Euronext Bruxelles et Euronext Paris d’un maximum de 24,5 millions d’actions nouvelles si et quand les droits de souscription susmentionnés sont exercés, à condition que ces actions nouvelles supplémentaires soient émises et admises à la cote avant le 7 février 2024.
Roche a prévenu jeudi d’une baisse de ses résultats en 2023, alors que la croissance du chiffre d’affaires des médicaments tels que le traitement de l’hémophilie Hemlibra et celui contre la sclérose en plaques Ocrevus ne compensera pas la baisse de la demande pour des produits liés au COVID-19 et les tests de diagnostic. Le groupe pharmaceutique suisse prévoit un recul du chiffre d’affaires consolidé à taux de change constants et du bénéfice par action rapporté aux activités de base pouvant aller jusqu'à 5%. Il a également annoncé la nomination de Teresa Graham au poste de directrice générale de sa division pharmaceutique.
Roche cédait plus de 1% en Bourse jeudi en fin de matinée, après avoir annoncé que son chiffre d’affaires consolidé reculerait « dans la partie basse de la plage à un chiffre », soit de 2% à 3% à changes constants cette année, en raison de la « forte diminution » des ventes de produits liés au Covid-19. Hors produits Covid, le laboratoire suisse table sur une « solide croissance » sous-jacente dans ses deux divisions, pharma et diagnostics. Le bénéfice par action devrait aussi évoluer parallèlement à la baisse des ventes.
Pfizer a indiqué mardi qu’il anticipait un recul de son chiffre d’affaires dans une fourchette de 67 milliards à 71 milliards de dollars (entre 61,7 milliards et 65,4 milliards d’euros) cette année, contre 100,3 milliards de dollars atteints en 2022. Les revenus du vaccin Comirnaty contre le Covid-19 devraient chuter de 64% et ceux du Paxlovid, un traitement du Covid, de 58%. Hors produits liés au Covid, son chiffre d’affaires devrait augmenter de 7% à 9%. Le laboratoire pharmaceutique américain table en outre sur un bénéfice par action (BPA) hors éléments exceptionnels compris entre 3,25 dollars et 3,45 dollars, un niveau inférieur au consensus FactSet de 4,34 dollars. Au quatrième trimestre 2022, son BPA ajusté a atteint 1,14 dollar, dépassant le consensus qui tablait sur 1,05 dollar.
Pfizer a indiqué mardi qu’il anticipait un recul de son chiffre d’affaires dans une fourchette de 67 milliards à 71 milliards de dollars (entre 61,7 milliards et 65,4 milliards d’euros) cette année, contre 100,3 milliards de dollars atteints en 2022. Les revenus du vaccin Comirnaty contre le Covid-19 devraient chuter de 64% et ceux du Paxlovid, un traitement du Covid, de 58%. Hors produits liés au Covid, son chiffre d’affaires devrait augmenter de 7% à 9%. Le laboratoire pharmaceutique américain table en outre sur un bénéfice par action (BPA) hors éléments exceptionnels compris entre 3,25 dollars et 3,45 dollars, un niveau inférieur au consensus FactSet de 4,34 dollars.
Le laboratoire pharmaceutique Ipsen a annoncé vendredi que le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne du médicament (AEM) avait recommandé de ne pas accorder d’autorisation de mise sur le marché au palovarotène expérimental comme traitement de la fibrodysplasie ossifiante progressive (FOP) dans l’Union européenne. La FOP est une maladie génétique ultra-rare, progressive et invalidante, qui se caractérise par la formation d’os en dehors du squelette normal. «Nous allons continuer de travailler étroitement avec l’AEM pour répondre aux préoccupations en suspens qui ont mené à la décision d’aujourd’hui, dans le but de proposer ce médicament expérimental aux patients concernés qui vivent avec cette maladie invalidante, en l’absence d’autre option thérapeutique disponible», a indiqué le directeur de la R&D d’Ipsen, Howard Mayer.
Le laboratoire pharmaceutique Ipsen a annoncé vendredi que le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne du médicament (AEM) avait recommandé de ne pas accorder d’autorisation de mise sur le marché au palovarotène expérimental comme traitement de la fibrodysplasie ossifiante progressive (FOP) dans l’Union européenne (UE).
Le titre Sartorius Stedim Biotech gagnait plus de 6% jeudi en fin de matinée, alors que le fournisseur de l’industrie pharmaceutique a relevé sa prévision de chiffre d’affaires pour 2025 à environ 4,4 milliards d’euros, contre 4 milliards d’euros auparavant.
En raison d’une baisse des ventes de son vaccin contre le Covid-19, Johnson & Johnson a annoncé mardi un recul de 25,7% de son bénéfice net à 3,52 milliards de dollars (3,24 milliards d’euros) au quatrième trimestre 2022 en rythme annuel. Son bénéfice ajusté est néanmoins ressorti à 2,35 dollars par action sur la période, dépassant le consensus qui s’établissait à 2,23 dollars.
Pour la première fois, le concepteur et développeur du cœur artificiel total Carmat a dévoilé lundi des objectifs financiers. Il vise un chiffre d’affaires de 10 à 13 millions d’euros cette année, grâce à la reprise graduelle des implantations de cœur artificiel Aeson. La société a un objectif de 30 centres opérationnels en Europe, majoritairement en Allemagne et en Italie, d’ici à la fin de l’année 2023. La montée en cadence de la production sera progressive et devrait permettre la production de plus de 100 cœurs artificiels en 2023. Carmat vise la rentabilité en 2027, échéance à laquelle il prévoit une capacité de production de 1.000 prothèses, contre 500 en 2024.
La biotech française AdipoPharma, développant un nouveau médicament contre le diabète de type 2, vient d’obtenir un financement de série A auprès de Newton Biocapital II (NBC II). Dès cette année, elle devrait débuter les essais cliniques. Contrairement aux médicaments qui se concentrent sur les symptômes de la maladie, le médicament d’AdipoPharma, Patas, traite la résistance à l’insuline, la cause fondamentale du diabète de type 2. AdipoPharma est basé à Strasbourg et ouvrira un bureau aux États-Unis, à Pittsburgh.