Les actualités et l’analyse du secteur pétrolier, son marché, ses prix (Brent, WTI), ses acteurs institutionnels (OPEP, AIE, EIA) et ses entreprises (BP, Chevron, Eni, Exxonmobil, Shell, TotalEnergies). De l’exploration-production de pétrole (onshore, offshore, schiste) à la distribution en passant par le raffinage.
Les sociétés américaines de forage Ensco et Rowan ont annoncé hier une prochaine fusion dans le cadre d’une transaction libellée en actions, présentant une valeur d’entreprise de 12 milliards de dollars (10,4 milliards d’euros). Selon les termes de l’accord, les actionnaires de Rowan recevront 2,215 actions Ensco par titre détenu. L’entité combinée réalisera environ 150 millions de dollars de synergies annuelles avant impôts. La transaction, qui devrait être bouclée au premier semestre 2019, devrait améliorer le flux de trésorerie par action en 2020. Le directeur général de Rowan, Tom Burke, prendra les rênes de la nouvelle entité qui sera un acteur majeur des services de forage offshore.
Les sociétés américaines de forage Ensco et Rowan ont annoncé ce lundi avoir conclu un accord en vue de fusionner dans le cadre d’une transaction libellée en actions présentant une valeur d’entreprise de 12 milliards de dollars (10,4 milliards d’euros). Selon les termes de l’accord, les actionnaires de Rowan recevront 2,215 actions Ensco par titre détenu. L’entité combinée réalisera environ 150 millions de dollars de synergies annuelles avant impôts. La transaction, qui devrait être bouclée au premier semestre 2019, devrait améliorer le flux de trésorerie par action en 2020. Le directeur général de Rowan, Tom Burke, prendra les rênes de la nouvelle entité qui sera un acteur majeur des services de forage offshore.
Total a annoncé hier son intention de racheter pour 1,5 milliard de dollars (1,27 milliard d’euros) d’actions sur 2018, dans le cadre de son programme de 5 milliards de dollars sur la période 2018-2020, et a confirmé ses principaux objectifs pour les années à venir. Lors d’une journée investisseurs à New York, le pétrolier a rappelé son objectif de croissance de production de l’ordre de 6% à 7% par an en moyenne sur la période 2017-2020 et sa prévision d’investissements nets de 15 à 17 milliards de dollars sur cette période. Il continue en outre de viser des réductions de coûts de 5 milliards de dollars en 2020 (en cumulé par rapport à 2014).
Total a annoncé aujourd’hui son intention de racheter pour 1,5 milliard de dollars (1,27 milliard d’euros) d’actions sur l’ensemble de 2018 dans le cadre de son programme de 5 milliards de dollars sur la période 2018-2020 et il a confirmé ses principaux objectifs pour les années à venir.
Le président américain, Donald Trump, a de nouveau appelé l’Opep à faire baisser les cours du pétrole hier, en évoquant un lien entre le soutien apporté par les Etats-Unis aux pays du Moyen-Orient et le prix du baril. «Nous protégeons les pays du Moyen-Orient, ils ne seraient pas en sécurité très longtemps sans nous, et pourtant ils continuent à faire monter et monter encore les prix du pétrole! Nous nous en souviendrons. Le monopole qu’est l’Opep doit faire baisser les cours maintenant!», a-t-il écrit sur Twitter. Le Brent a terminé en baisse de 0,88% à 78,70 dollars le baril, le brut léger américain (WTI) a cédé quant à lui 0,45% à 70,80 dollars.
Le président américain, Donald Trump, a de nouveau appelé l’Opep à faire baisser les cours du pétrole jeudi, en évoquant un lien entre le soutien apporté par les Etats-Unis aux pays du Moyen-Orient et le prix du baril.
L'actionnaire de contrôle du groupe pétrolier depuis 2011, le fonds souverain d'Abou Dhabi, a lancé le processus d'IPO hier. Il pourrait récupérer 2,5 milliards d'euros.
L’Opep a de nouveau baissé sa prévision de croissance de la demande pétrolière mondiale pour 2019, en soulignant que les risques entourant les perspectives économiques étaient orientés à la baisse, un facteur qui va à l’encontre de la stratégie du cartel visant à soutenir les cours. Dans son rapport mensuel, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole prévoit désormais une augmentation de 1,4 million de barils par jour (bpj) de la demande mondiale l’an prochain, soit 20.000 bpj de moins que prévu le mois dernier. Il s’agit de la deuxième réduction consécutive de sa prévision.
L’Opep a de nouveau abaissé sa prévision de croissance de la demande pétrolière mondiale pour 2019 en soulignant que les risques entourant les perspectives économiques étaient orientés à la baisse, un facteur qui va à l’encontre de la stratégie du cartel visant à soutenir les cours. Dans son rapport mensuel, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole prévoit désormais une augmentation de 1,4 million de barils par jour (bpj) de la demande mondiale l’an prochain, soit 20.000 bpj de moins que prévu le mois dernier. Il s’agit de la deuxième réduction consécutive de sa prévision.
La demande mondiale de pétrole atteindra 100 millions de barils par jour (bpj) dans le courant de l’année, soit nettement plus tôt que prévu, a déclaré hier le secrétaire général de l’Opep. S’exprimant lors d’une conférence au Cap, en Afrique du Sud, Mohammed Barkindo a jugé qu’un environnement stable était nécessaire pour encourager les investissements dans le secteur pétrolier afin de répondre à cette demande croissante. Il a ajouté que les tensions commerciales à travers le monde pourraient affecter la demande d'énergie, tout en espérant que les incertitudes soient rapidement levées.
La demande mondiale de pétrole atteindra 100 millions de barils par jour (bpj) dans le courant de l’année, soit nettement plus tôt que prévu, a déclaré mercredi le secrétaire général de l’Opep. S’exprimant lors d’une conférence au Cap, en Afrique du Sud, Mohammed Barkindo a jugé qu’un environnement stable était nécessaire pour encourager les investissements dans le secteur pétrolier afin de répondre à cette demande croissante. Il a ajouté que les tensions commerciales à travers le monde pourraient affecter la demande d'énergie à l’avenir, tout en espérant que les incertitudes soient rapidement levées.
Total a annoncé vendredi avoir cédé avec ses partenaires le projet Joslyn de sables bitumineux, situé dans l’Alberta au Canada, à Canadian Natural Resources Limited (CNRL) pour un montant total de 225 millions de dollars canadiens (148 millions d’euros). Les partenaires du projet Joslyn, gelé depuis 2014, incluent Total (opérateur, 38,25%), Suncor Energy Joslyn Partnership (36,75%), Joslyn Partnership (15%) et Inpex Canada Ltd (10%).
Total a annoncé avoir cédé avec ses partenaires le projet Joslyn de sables bitumineux, situé dans l’Alberta au Canada, à Canadian Natural Resources Limited (CNRL) pour un montant total de 225 millions de dollars canadiens (148 millions d’euros). Les partenaires du projet Joslyn incluent Total (opérateur, 38,25%), Suncor Energy Joslyn Partnership (36,75%), Joslyn Partnership (15%) et Inpex Canada Ltd (10%).
L’Opep et ses alliés comptent formaliser d’ici à la fin de l’année une coopération sur le long terme par l’adoption d’une charte ouvrant la voie à de nouvelles actions conjointes sur leur production de pétrole. Cette charte vise notamment à une meilleure compréhension des fondamentaux du marché et à la promotion des hydrocarbures dans le mix énergétique mondial à long terme. Elle prône une réunion par an au niveau ministériel tandis que les experts des pays participants se rencontreraient deux fois par an. Le secrétariat de cette instance se trouverait au siège de l’Opep à Vienne mais serait indépendant.
L’Opep et ses alliés comptent formaliser d’ici à la fin de l’année une coopération sur le long terme par l’adoption d’une charte ouvrant la voie à de nouvelles actions conjointes sur leur production de pétrole. Cette charte vise notamment à une meilleure compréhension des fondamentaux du marché et à la promotion des hydrocarbures dans le mix énergétique mondial à long terme. Elle prône une réunion par an au niveau ministériel tandis que les experts des pays participants se rencontreraient deux fois par an. Le secrétariat de cette instance se trouverait au siège de l’Opep à Vienne mais serait indépendant.
L’Opep et ses alliés ont encore réduit en juillet leur production de pétrole au-delà des objectifs de leur accord d’encadrement du marché en vigueur depuis début 2017, mais moins que les mois précédents, ont déclaré hier à l’agence Reuters deux sources proches du comité de suivi de cet accord. Le taux de conformité avec l’accord a été de 109% selon elles, contre 120% en juin et 147% en mai. En juin, l’Opep et les autres pays signataires de l’accord, Russie en tête, s’étaient accordés pour revenir à un respect à 100% de leurs engagements dès le mois de juillet.
Total n’est pas intéressé par des investissements dans le pétrole de schiste aux Etats-Unis, a déclaré hier le PDG du groupe français, Patrick Pouyanné, réagissant à une question sur l’attractivité du secteur. Le britannique BP a annoncé en juillet le rachat des actifs dans le pétrole et le gaz de schiste aux Etats-Unis du groupe minier BHP Billiton, pour 10,5 milliards de dollars (8,9 milliards d’euros). «C’est d’abord assez cher, ensuite on n’a pas les ressources humaines», contrairement à BP, a précisé le PDG de Total.
Le groupe pétrolier et gazier norvégien Equinor a relevé aujourd’hui son estimation des réserves de pétrole du gisement Johan Sverdrup, la plus importante découverte en mer du Nord depuis plus de 30 ans, tout en abaissant ses prévisions du coût de développement. Le gisement pourrait renfermer 2,2 milliards à 3,2 milliards de barils d'équivalent pétrole, contre 2,1 milliards à 3,1 milliards de barils précédemment estimés.