Les actualités et l’analyse du secteur pétrolier, son marché, ses prix (Brent, WTI), ses acteurs institutionnels (OPEP, AIE, EIA) et ses entreprises (BP, Chevron, Eni, Exxonmobil, Shell, TotalEnergies). De l’exploration-production de pétrole (onshore, offshore, schiste) à la distribution en passant par le raffinage.
Le fonds souverain norvégien a généré un gain record de 180 milliards de dollars (1.690 milliards de couronnes norvégienne) et affiché un rendement de 19,9% grâce à la reprise des marchés boursiers en 2019. Ses encours ont augmenté de 26% sur les actions, de 7,6% sur les obligations et de 6,8% sur l’immobilier. Son allocation se répartissait entre 70,8% en actions, 26,5% en produits de taux et et 2,7% en propriétés immobilières en fin d’année. Pour le fonds le plus important au monde, 2019 est l’année où il a obtenu le feu vert pour réduire son exposition aux combustibles fossiles et a commencé la recherche d’un nouveau directeur général.
Les cours du pétrole ont continué leur plongeon jeudi face à la propagation de l'épidémie de coronavirus, tombant à leur plus bas niveaux en plus d’un an après avoir chuté de plus de 10% depuis le début de la semaine. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril a lâché 2,3% pour clôturer à 52,18 dollars, un niveau plus vu depuis fin 2018. A New York, le baril américain de WTI pour avril a abandonné 3,4% pour terminer à 47,09 dollars, au plus bas depuis début janvier 2019. Le Brent a lâché 10,8% depuis le début de la semaine et le WTI 11,8%. Les ministres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de leurs alliés se réunissent dans une semaine à Vienne.
Le fonds souverain norvégien a généré un gain record de 180 milliards de dollars (1.690 milliards de couronnes norvégienne) et affiché un rendement de 19,9% grâce à la reprise des marchés boursiers en 2019. Ses encours ont augmenté de 26% sur les actions, de 7,6% sur les obligations et de 6,8% sur l’immobilier. Son allocation se répartissait entre 70,8% en actions, 26,5% en produits de taux et et 2,7% en propriétés immobilières en fin d’année.
UBS n’aura pas tardé à trouver le remplaçant de son directeur général alors que des rumeurs de presse indiquaient il y a quelques jours que Sergio Ermotti, son directeur général depuis moins de 10 ans souhaitait quitter le groupe. La banque suisse a annoncé la nomination de Ralph Hamers en tant que directeur général pour le remplacer. Ralph Hamers est l’actuel patron d’ING. Sa nomination sera effective au 1er novembre 2020. Ralph Hamers rejoindra UBS en tant que membre du comité exécutif du groupe le 1er septembre 2020 «afin d’assurer une transition en douceur de la direction», explique un communiqué. «Ralph est le bon directeur général pour conduire notre entreprise vers son prochain chapitre. Banquier chevronné et respecté, doté d’une expertise éprouvée en matière de transformation numérique, Ralph a un parcours impressionnant à la tête du groupe ING depuis plus de six ans. Alors que le secteur subit des changements fondamentaux, Ralph est la personne qu’il faut pour diriger la transformation continue d’UBS et s’appuyer sur sa stratégie réussie de premier et unique gestionnaire de fortune véritablement mondial et de première banque universelle en Suisse, renforcée par sa banque d’investissement et sa gestion d’actifs». a commenté le président du conseil d’administration Axel Weber. Il ajoute : «Le conseil d’administration remercie sincèrement Sergio pour son engagement exceptionnel et sa contribution au succès de l’entreprise depuis son entrée en fonction il y a près de neuf ans. Je tiens à remercier personnellement Sergio pour notre collaboration pendant toute cette période et pour sa collaboration constructive pendant le processus de succession».
Les prix du pétrole ont fini quasiment inchangés mardi, dans un marché toujours préoccupé par l'épidémie de coronavirus et ses conséquences économiques Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril s’est établi 57,75 dollars à Londres, en hausse de 0,1%, par rapport à la clôture de lundi. Le pétrole termine la semaine en hausse pour la première fois depuis le début de l’année. A New York, le baril américain de WTI pour mars a fini à 52,05 dollars, au même niveau que vendredi. Plusieurs analystes ont souligné la crainte de voir la demande en or noir reculer en raison de l'épidémie de Covid-19.
L’Opep a annoncé mercredi avoir revu à la baisse sa prévision de croissance de la demande pétrolière mondiale en raison de l'épidémie de coronavirus en Chine. Elle a précisé avoir nettement réduit sa production en janvier avec la mise en oeuvre du nouvel accord d’encadrement de l’offre conclu l’an dernier. La demande mondiale de brut devrait augmenter de 990.000 barils par jour (bpj) en 2020, estime l’Organisation des pays exportateurs de pétrole dans son rapport mensuel. Ce chiffre est inférieur de 230.000, soit de 19%, à celui prévu le mois dernier.
L’Opep a annoncé aujourd’hui avoir revu à la baisse sa prévision de croissance de la demande pétrolière mondiale en raison de l'épidémie de coronavirus en Chine. Elle a précisé avoir nettement réduit sa production en janvier avec la mise en oeuvre du nouvel accord d’encadrement de l’offre conclu l’an dernier. La demande mondiale de brut devrait augmenter de 990.000 barils par jour (bpj) en 2020, estime l’Organisation des pays exportateurs de pétrole dans son rapport mensuel. Ce chiffre est inférieur de 230.000, soit de 19%, à celui prévu le mois dernier.
Les cours du baril de brut ont terminé en baisse lundi à New York, retombant sous la barre des 50 dollars le baril, alors que la crainte d’une propagation du coronavirus, qui ralentirait l'économie et réduirait la demande d’or noir, continue d’agiter les marchés. En clôture, le contrat de mars sur le baril de brut WTI a perdu 75 cents, soit 1,5% à 49,57 dollars, sur le New York Mercantile Exchange. Il s’agit de la clôture la plus basse du contrat mensuel depuis le 7 janvier, selon FactSet.
Le ministre russe de l’Energie, Alexandre Novak, a annoncé vendredi que son pays, allié de l’Opep, prendrait position sur une éventuelle réduction supplémentaire de production de pétrole «dans les prochains jours». Selon plusieurs médias, la Russie s’est opposée jeudi à la recommandation du comité technique de l’Opep+, qui réunit le cartel ainsi que dix autres pays producteurs comme la Russie, de baisser la production de 600.000 barils supplémentaires par jour pour enrayer la chute des cours provoquée par l'épidémie de coronavirus en Chine.
Le ministre russe de l’Energie, Alexandre Novak, a annoncé vendredi que son pays, allié de l’Opep, prendrait position sur une éventuelle réduction supplémentaire de production de pétrole « dans les prochains jours ».
Total a annoncé jeudi avoir dégagé au quatrième trimestre 2019 un cash-flow de 7,4 milliards de dollars, en hausse de 21% par rapport au dernier trimestre 2018. Son résultat net ajusté ressort à 3,17 milliards de dollars, et le résultat net part du groupe à 2,60 milliards. Le résultat net ajusté dilué par action a progressé de 1% à 1,19 dollar. Pour l’ensemble de l’année 2019, Total a dégagé un résultat annuel ajusté de 11,8 milliards de dollars, en baisse de 13%. Le bénéfice net part du groupe s’est élevé à 11,267 milliards de dollars, en baisse de 2%. La rentabilité des capitaux propres s'élève à 10,4% fin décembre 2019. Le point mort cash organique avant dividende est en baisse sous les 25 dollars le baril. Total vise pour 2020 5 milliards d'économies cumulées, et environ 18 milliards d’investissements nets.
Total ne dévie pas de sa trajectoire malgré des cours des hydrocarbures sous pression. La major a annoncé jeudi avoir dégagé au quatrième trimestre 2019 un cash-flow de 7,4 milliards de dollars, en hausse de 21% par rapport à la période correspondante de 2018. Son résultat net ajusté ressort à 3,17 milliards de dollars, un niveau identique à celui du quatrième trimestre 2018.
Halliburton a annoncé 2,2 milliards de dollars de dépréciations d’actifs à la suite de la dégradation de ses activités dans le pétrole de schiste nord-américain. Ces charges exceptionnelles concernent ses activités de fracturation hydraulique et ses équipements de forage. Le groupe américain supprimera également environ 8% de ses effectifs nord-américains et réduira de 20% ses investissements. La semaine dernière, Schlumberger avait également annoncé la mise en place de mesures d'économies dans ses activités de schiste américain.
Halliburton a annoncé 2,2 milliards de dollars de dépréciations d’actifs à la suite de la dégradation de ses activités dans le pétrole de schiste nord-américain. Ces charges exceptionnelles concernent ses activités de fracturation hydraulique et ses équipements de forage. Le groupe américain supprimera également environ 8% de ses effectifs nord-américains et réduira de 20% ses investissements.