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Nos articles d’actualité et d’analyse sur les économies et marchés (croissance, politique monétaire, indices boursiers) des pays dits émergents, soit la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, et des pays en voie de développement.
Réélu à la tête de la Turquie, Recep Tayyip Erdogan a donné peu d’indices d’un changement de trajectoire politique. Les investisseurs jugent nécessaire l’ajustement de la devise et des taux.
Le pays, qui a fait défaut fin 2022, a reçu l’aval pour l’aide du FMI. Il doit désormais restructurer 20 milliards de dollars de dette externe dans le cadre commun du G20.
Un comité de créanciers demande à l’opposition vénézuélienne de soutenir une proposition du président Nicolas Maduro pour éviter une multiplication de litiges.
L’actuel président turc Recep Tayyip Erdogan est en ballotage favorable pour le second tour de l’élection. De quoi éloigner la perspective d'un retour à une politique économique et monétaire plus orthodoxe.
Le président sortant, Recep Tayyip Erdogan, a obtenu un score meilleur qu’attendu alors que les investisseurs misaient sur une victoire de l’opposition.
Ayant largement anticipé leur resserrement monétaire, les banques centrales, notamment d’Amérique latine, commencent à baisser leur taux, aidées par la désinflation et la pause de la Fed.
Les cinq pays s'érigent en alternative aux pays occidentaux et développent leur propre infrastructure financière. Pour autant, la coalition des Brics ne peut se targuer de beaucoup de réalisations concrètes.
Recep Tayyip Erdogan n’a jamais été aussi menacé que lors des élections de ce dimanche 14 mai. Les investisseurs plaident pour un changement de politique économique, nécessaire.
La France n'est pas seule à voir sa notation financière remise en cause. De l'autre côté de la Méditerranée, la Tunisie, l'Egypte et, dans une moindre mesure, le Maroc, font face aux doutes des agences. Les pays vont devoir parachever de profondes réformes structurelles pour bénéficier de l'aide du FMI.
Les pays développés veulent réformer l'institution pour lui permettre de mieux exploiter ses ressources actuelles en vue d'investir davantage dans la transition verte. Le sujet sera au cœur d’un sommet international organisé par l’Elysée, fin juin à Paris.
Les devises asiatiques peinent à retrouver le dynamisme insufflé par la reprise chinoise et sont plus sensibles aux évolutions du dollar et de la Fed. L’Amérique latine offre davantage de coussin de sécurité.
Le scrutin présidentiel et législatif a été avancé au 14 mai. Recep Tayyip Erdogan se représente mais devra faire évoluer sa politique économique s’il est réélu.
Les banques centrales émergentes ont anticipé leur resserrement monétaire et sont parmi les premières à marquer une pause alors que l’inflation diminue. Mais les baisses de taux attendront.