Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
Quelle bonne blague a bien pu déclencher l’hilarité de Deirdre Somers et Stéphane Boujnah le 27 mars dernier à Dublin, à l’occasion de la finalisation du rachat de l’Irish Stock Exchange par Euronext, dont ils sont les directeurs généraux respectifs ? Une histoire irlandaise de mouton à cinq pattes ou de trèfle à quatre feuilles ? Peut-être les dirigeants ont-ils rappelé que les comptes du désormais Euronext Dublin seront intégrés à ceux du groupe à compter du 1er avril ? En Irlande, où le poisson pourtant abonde, on parle ce jour-là d’« April fool’s day ». Souhaitons que la bonne ambiance perdure au sein du nouvel Euronext. Au moins jusqu’au 1er avril prochain.
Le New York Stock Exchange a engagé des négociations sur un rachat du Chicago Stock Exchange, après l'échec du projet de cession de la Bourse de Chicago à un consortium conduit par des investisseurs chinois, ont indiqué des sources proches du dossier à l’agence Dow Jones. Une acquisition par le NYSE mettrait fin à l’indépendance du Chicago Stock Exchange, l’un des derniers marchés boursiers régionaux aux Etats-Unis, qui traite moins de 1% des volumes d'échanges en actions dans le pays. Le NYSE envisage de débourser 70 millions de dollars pour acquérir CHX, ont indiqué les personnes proches du dossier. Ce montant représente plus du triple des 20 millions de dollars que devait payer le consortium.
Le New York Stock Exchange a engagé des négociations sur un rachat du Chicago Stock Exchange, après l'échec du projet de cession de la Bourse de Chicago à un consortium conduit par des investisseurs chinois, ont indiqué des sources proches du dossier à l’agence Dow Jones. Une acquisition par le NYSE mettrait fin à l’indépendance du Chicago Stock Exchange, l’un des derniers marchés boursiers régionaux aux Etats-Unis, qui traite moins de 1% des volumes d'échanges en actions dans le pays.
L’opérateur de marché Euronext a annoncé mardi avoir bouclé l’acquisition de l’Irish Stock Exchange (ISE), après obtention des autorisations réglementaires. La Bourse irlandaise «opérera sous le nom commercial Euronext Dublin», a indiqué Euronext dans un communiqué, qui opère déjà les Bourses de Paris, Lisbonne, Amsterdam et Bruxelles. Directrice générale de l’ISE avant son achat par Euronext, Deirdre Somers intégrera le comité exécutif d’Euronext. Euronext a confirmé que cette transaction, annoncée en novembre pour 137 millions d’euros, permettrait de dégager des synergies de coûts opérationnels de 6 millions d’euros par an avant impôt, à compter de 2020.
L’opérateur boursier paneuropéen Euronext a annoncé mardi avoir finalisé l’acquisition de l’Irish Stock Exchange. Après obtention des autorisations réglementaires nécessaires, l’opérateur des Bourses de Paris, Lisbonne, Amsterdam et Bruxelles détient désormais 100% des droits de vote et du capital de la Bourse de Dublin.
Saisonnalité. L’Autorité des marchés européens (Esma) a enfin publié le 7 mars les statistiques de janvier et février résultant du double plafonnement (DVC) de la directive MIF 2 qui limite les exemptions à la transparence « pre-trade » sur le trading actions pour prix négocié ou prix importé : jusqu’à hauteur de 4 % des volumes échangés sur un titre pendant les douze mois précédents pour un « dark pool » donné, jusqu’à 8 % des volumes échangés sur un titre pendant les douze mois précédents pour l’ensemble des plates-formes. En combinant les deux seuils, ce sont pas moins de 755 titres qui sont concernés par la remise en cause de leur exemption à la transparence entre janvier et février (au moins 727 juste pour le deuxième seuil). Les régulateurs vont désormais suspendre, chaque mois, les exemptions dans de tels cas pendant les six mois suivants : l’idée de faire revenir au maximum le trading des actions liquides sur les plates-formes transparentes – sauf pour les ordres de grande taille – se concrétise, mais le processus choisi par le législateur aurait pu être plus direct...
Le régulateur boursier américain, la Securities and Exchange Commission (SEC), a voté hier en faveur d’un programme pilote visant à tester les effets d’une réduction des frais de transactions sur les Bourses américaines. L’objectif de l’expérimentation est de déterminer si les brokers ont tendance à privilégier les Bourses offrant des rabais conséquents sur ces frais de transactions plutôt que celles offrant les meilleurs prix pour leurs clients. La SEC va donc expérimenter en réduisant les frais de transactions, et donc les rabais offerts, et dans certains cas en supprimant entièrement ces frais.
Le London Stock Exchange (LSE) a publié vendredi un bénéfice d’exploitation en hausse de 47% en 2017, gonflé par les solides performances de sa chambre de compensation LCH (+58% à 194 millions d’euros) et les introductions en Bourse (106 opérations pour 15 milliards de livres, à un pic de trois ans). La Bourse de Londres a toutefois déçu sur son Ebit qui est ressorti inférieur aux attentes, de même que sur sa base de coûts, supérieure de 4% aux attentes. Le titre a cédé jusqu’à 3,5% à 3.801 pence en matinée, avant de se reprendre pour abandonner 2,66% à 3.837 pence.
Le London Stock Exchange (LSE) a publié ce vendredi un bénéfice d’exploitation en hausse de 47% en 2017, gonflé par les solides performances de sa chambre de compensation LCH (+58% à 194 millions d’euros) et les introductions en Bourse (106 opérations pour 15 milliards de livres, à un pic de trois ans). Le bénéfice d’exploitation s’est établi à 626 millions de livres (703 millions d’euros) et le chiffre d’affaires global ressort en hausse de 18%, à 1,96 milliard de livres. Ce dernier est légèrement supérieur au consensus de 14 analystes, qui tablaient en moyenne sur 1,94 milliard de livres, suivant leurs estimations compilées par le LSE lui-même.
Deutsche Börse a pour objectif de ravir à Londres un quart du marché lucratif de la compensation en euros après la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, a déclaré hier le nouveau directeur général de l’opérateur, Theodor Weimer, après la publication de ses résultats annuels. Deutsche Börse passe en revue ses coûts et sa stratégie et donnera de plus amples précisions à ce sujet en mai, a-t-il par ailleurs indiqué, laissant entendre que des acquisitions n'étaient pas exclues.
Deutsche Börse a pour objectif de ravir à Londres un quart du marché lucratif de la compensation en euros après la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, a déclaré mercredi le nouveau directeur général de l’opérateur de marchés, Theodor Weimer, après la publication de ses résultats annuels. Ces déclarations, faites lors d’une conférence sur les résultats annuels du groupe, sont les plus précises à ce jour concernant la stratégie du nouveau dirigeant depuis son arrivée au début de l’année.
Deutsche Börse a publié hier un bénéfice net du quatrième trimestre meilleur que prévu et a dit prévoir une nouvelle progression cette année. L’opérateur boursier allemand a fait état d’un résultat net de 213,6 millions d’euros pour le quatrième trimestre, en hausse de 26% et supérieur au consensus de 192 millions établi par Reuters. Le chiffre d’affaires annuel a progressé de 3% à 2,462 milliards d’euros, dont 639 millions au dernier trimestre. Les résultats publiés mardi sont les premiers depuis que Theodor Weimer a pris la tête du directoire début janvier et il s’est dit optimiste pour 2018, déclarant prévoir une croissance d’au moins 5% du chiffre d’affaires et de 10% du bénéfice net.
La Securities and Exchange Commission (SEC), l’autorité des marchés financiers aux Etats-Unis, a refusé jeudi soir la vente du Chicago Stock Exchange à un consortium comprenant des investisseurs chinois, mettant fin à une bataille de deux ans autour d’une opération qui a suscité une levée de boucliers au Congrès. Dans le document rejetant ce projet, la SEC affirme que l’opérateur boursier n’a pas réussi à prouver sa capacité à se conformer à la réglementation qui limite le contrôle que peut exercer un actionnaire sur une place financière.
L’action CBOE a perdu jusqu'à 12,90% dans les premiers échanges vendredi à Wall Street avant de terminé en baisse de 3,63%. La Bourse de Chicago a publié des résultats légèrement inférieurs aux attentes pour le quatrième trimestre 2017 et n’a pas relevé son objectif de réductions de coûts. Après un parcours exceptionnel en 2017 et en début d’année, l’action a perdu jusqu'à 26% de sa valeur depuis le 25 janvier. L’opérateur boursier traite notamment les ETF et produits structurés liés au VIX, qui ont été totalement pris à revers cette semaine par le brusque rebond de la volatilité le 5 février.
L’action CBOE a perdu jusqu'à 12,90% dans les premiers échanges vendredi à Wall Street. La Bourse de Chicago a publié des résultats légèrement inférieurs aux attentes pour le quatrième trimestre 2017, et n’a pas relevé son objectif de réductions de coûts. Après un parcours exceptionnel en 2017 et en début d’année, l’action a perdu jusqu'à 26% de sa valeur depuis le 25 janvier. L’opérateur boursier traite notamment les ETF et produits structurés liés au VIX, qui ont été totalement pris à revers cette semaine par le brusque rebond de la volatilité le 5 février.
Deutsche Börse, l’opérateur de la Bourse de Francfort, a annoncé hier un investissement de 18,5 millions d’euros d’ici 2020 pour la rénovation de son bâtiment historique « pour devenir le point de référence du centre financier ». Un centre de conférence et un espace interactif d’exposition ouvert au grand public seront notamment créés, alors que le bail avec la Chambre d’industrie de Francfort, propriétaire des lieux, a été renouvelé jusqu’en 2048. «Le bâtiment historique en plein centre de Francfort est le cœur de Deutsche Börse», a déclaré Theodor Weimar, le patron de la bourse, dans un communiqué. «Cela participe à l’attractivité du centre financier et de l’Allemagne en tant qu’espace économique».
La plate-forme d’échange de dérivés, filiale de Deutsche Börse, va aussi fermer sa structure en Suisse mais étendre ses horaires de fonctionnement à Francfort.
La plate-forme d'échanges Coincheck a annoncé qu’elle allait rembourser à ses clients 46,3 milliards de yens (342 millions d’euros) qui ont disparu vendredi lors de l’un des plus importants vols d’actifs en crypto-monnaie. Cela équivaut à près de 90% des 58 milliards de yens d’avoirs en crypto-monnaie NEM dérobés. Le piratage de Coincheck n’a pas perturbé longtemps les cours des cybermonnaies, régulièrement affectées par des événements similaire. Après une chute généralisée suite à l’annonce de l’attaque, elles étaient pour la plupart de nouveau en hausse dimanche.