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Indosuez Wealth Management, l’entité de gestion de fortune du Crédit Agricole, a annoncé hier le lancement d’Azqore, nouvelle marque de Crédit Agricole Private Banking Services (CA-PBS). Jusque-là intégrée au Crédit Agricole en Suisse, cette plate-forme informatique est désormais filialisée, comme l’avait révélé L’Agefien mars. Créé en 1992, la plate-forme travaille actuellement pour 30 clients situés dans 11 pays. L’entité sert 150 milliards de francs suisses (129 milliards d’euros) d’actifs à fin 2017 (+30% sur un an), à la fois en mode Saas (logiciel en tant que service) et en BPO (sous-traitance)
Indosuez Wealth Management, l’entité gestion de fortune du Crédit Agricole, a annoncé ce matin le lancement d’Azqore, nouvelle marque de Crédit Agricole Private Banking Services (CA-PBS). Jusque-là intégrée au Crédit Agricole en Suisse, cette plate-forme informatique est désormais filialisée, comme l’avait révélé L’Agefien mars, pour accélérer son activité au services des banques privées du groupe et de banques tierces. En mars, Indosuez avait annoncé vouloir développer l’activité de CA-PBS avec l’aide de Capgemini, qui pourrait entrer au capital de la nouvelle filiale.
Le ministère de l’Economie et des Finances a annoncé ce jeudi la remise du rapport sur les crypto-actifs confié à Jean-Pierre Landau, ancien sous-gouverneur de la Banque de France. Le rapport, disponible en ligne, «dresse un panorama du développement et des potentialités des crypto-monnaies», explique le ministère, qui précise qu’il «constituera une base précieuse pour les travaux que mène le gouvernement à l’échelle nationale». Ses propositions «seront examinées et pourront faire l’objet de mesures complémentaires, dans le cadre de la loi Pacte ou du projet de loi de finances», ajoute Bercy.
La Banque d’Angleterre (BoE), la Prudential Regulation Authority (PRA) et la Financial Conduct Authority (FCA) ont publié jeudi un ensemble de recommandations et de questions portant sur la résilience des institutions financières à des disruptions électroniques. Les sociétés concernées sont appelées à commenter ce «discussion paper» d’ici au 5 octobre prochain. Les régulateurs souhaitent encourager les sociétés à renforcer leurs protocoles opérationnels de gestion du risque cyber, et de développer des capacités de résilience quantifiées face à des disruptions «quelle que soit leur origine».
Gras Savoye a annoncé hier la signature avec la start-up +Simple d’un partenariat qui permettra aux 5.000 agences de voyage en France, adhérentes de l’APST (Association professionnelle de solidarité du tourisme), de disposer d’une expérience de souscription globale simplifiée et entièrement digitalisée. Les clients professionnels du secteur du voyage de Gras Savoye, premier courtier d’assurances en France, auront à leur disposition un site dédié permettant une gestion sur-mesure de leurs besoins. La plate-forme digitale +Simple a été conçue pour permettre aux professionnels indépendants et aux TPE d’accéder à des offres d’assurance complètes et adaptées à leurs besoins opérationnels et métiers.
Assystem a annoncé vendredi qu’il renonçait à son objectif d’une hausse d’au moins 10% de son résultat opérationnel d’activité pour 2018 en raison notamment de coûts plus élevés que prévu. La société d’ingénierie et de conseil en innovation prévoit désormais une stabilité en valeur, avec un recul au premier semestre avant une progression en deuxième partie d’année.
Fastbooking, filiale d’AccorHotels spécialisée dans les services numériques aux hôteliers, a confirmé à l’AFP avoir été victime d’un piratage au cours duquel des données de réservations de particuliers, en France et au Japon notamment, ont été dérobées. «Nous avons été victimes le 14 juin, d’un hacking informatique malveillant, que nous avons détecté le 19 juin et qui a été contrôlé en quelques heures», a indiqué à l’AFP une porte-parole, confirmant une information du magazine Frenchweb.fr. Mardi au Japon, la chaîne hôtelière japonaise Prince Hotel a présenté ses excuses, après que plus de 120.000 informations personnelles de clients ont été volées suite au piratage de ses données de réservations confiées à Fastbooking.
Fastbooking, filiale d’AccorHotels spécialisée dans les services numériques aux hôteliers, a confirmé à l’AFP avoir été victime d’un piratage au cours duquel des données de réservations de particuliers, en France et au Japon notamment, ont été dérobées. «Nous avons été victimes le 14 juin, d’un hacking informatique malveillant, que nous avons détecté le 19 juin et qui a été contrôlé en quelques heures», a indiqué à l’AFP une porte-parole, confirmant une information du magazine Frenchweb.fr. «L’ensemble des marchés ont été touchés mais cela représente une minorité de nos clients», a affirmé la porte-parole de Fastbooking, qui n’a pas souhaité préciser le nombre d’hôtels concernés parmi les 4.000 établissements servis par Fastbooking dans 40 pays.
La Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme des marchés financiers américains, a donné un coup de pouce aux cryptomonnaies en fin de semaine dernière. «Selon ma compréhension de l’ether, du réseau Ethereum et de sa structure décentralisée, les offres et ventes actuelles d’ether ne représentent pas des transactions de titres financiers», a déclaré William Hinman, en charge de la finance d’entreprise au sein de la SEC, la sortant de fait du champ réglementaire de l’agence. L’ether a gagné 10% à 518 dollars suite à ses propos, entraînant avec lui le bitcoin qui a repris près de 6% à plus de 6.600 dollars. Le patron du Cboe s’est réjoui de la position de la SEC, qui pourrait ouvrir la voie à l’introduction prochaine de contrats à terme sur la cryptomonnaie.
Les technologies actuelles ne se prêtent pas à une adoption par le grand public de ces monnaies alternatives, juge la Banque des règlements internationaux.
Primé à L’Agefi AM Tech Day 2017, l’éditeur de logiciels répond aux toutes dernières contraintes réglementaires comme la directive distribution d’assurances (DDA).
La Banque Royale du Canada (RBC), deuxième groupe bancaire du pays en termes d’actifs, met l’accent sur le numérique afin d’inciter une nouvelle clientèle à essayer ses nouvelles offres. Lors d’une journée investisseurs tenue hier à Toronto, RBC a indiqué qu’elle prévoyait de consacrer 3,2 milliards de dollars canadiens (2,1 milliards d’euros) à des investissements dans la technologie, incluant l’intelligence artificielle, les produits numériques et les médias sociaux. La banque compte ainsi attirer plus de 2,5 millions de nouveaux clients canadiens d’ici à 2023.