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Le site internet de la Banque d’Espagne a été victime dimanche d’une cyberattaque qui a perturbé temporairement l’accès à son site internet, a déclaré hier un porte-parole de la banque centrale. La cyberattaque n’a pas eu de conséquences pour les services de la banque, pas plus que pour ses communications avec la Banque centrale européenne ou d’autres institutions, et il n’y a pas eu de risque d’intrusion dans ses données, a-t-il précisé.
Le groupe BPCE (Banque Populaire Caisse d’Epargne) aurait demandé au cabinet de conseil Oliver Wyman de travailler sur une nouvelle stratégie de développement en Europe pour sa banque en ligne Fidor, selon l’édition du 24 août du Monde. La banque numérique allemande Fidor, rachetée en 2016 par BPCE pour 142 millions d’euros, «multiplie les accidents de parcours et a déjà coûté 230 millions d’euros au groupe», écrit le quotidien. Interrogé par L’Agefi, BPCE s’est refusé à tout commentaire. Annoncé fin janvier comme imminent, le lancement grand public de la néobanque dans l’Hexagone n'était intervenu que le 5 juin. «Nous voulons développer Fidor en Europe mais, en France, nous avons des marques qui se digitalisent à marche forcée, si bien que nous devons trouver une complémentarité entre celles-ci et Fidor», avait déclaré Yves Tyrode, directeur général en charge du digital chez BPCE, en marge d’une conférence de presse à Orléans le 14 juin. En clair, il faut éviter toute risque de cannibalisation entre la néobanque, d’une part, et les Banques Populaires et les Caisses d’Epargne d’autre part.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; } Nikolaj Holdt Mikkelsen, the former head of Morningstar in Denmark, and Christian Øhlers, director of the brokerage firm Wealth Management, are launching an investment consulting firm, the Danish website AMWatch reports, citing Finans. Dannebrog Invest will concentrate on consulting services to companies and high net worth investors. The firm, which aism to be an independent alternative to banks, will focus on low-cost products. However, the portfolios will not be composed only of tracker funds and ETFs, but also of illiquid products.
Bitcoin, Ripple, Litecoin… Les cryptomonnaies pourront-elles un jour concurrencer les monnaies émises par les Banques centrales ? Et ainsi influer sur la politique monétaire et sa transmission ? La question se pose avec une acuité particulière avec l’émergence de la blockchain et de la technologie de registre décentralisé (decentralised ledger technology, DLT).
Le think tank Bruegel a exploré l’hypothèse d’une coexistence entre cryptomonnaies et monnaies banques centrales et ses conséquences sur la politique monétaire.
Les sociétés américaines de private equity ont prélevé 400 milliards de dollars de commissions et autres frais auprès des investisseurs depuis 2006 (jusqu’à fin 2015) mais n’ont pas réussi, en moyenne, à battre les rendements d’un fonds indiciel du S&P 500, selon une nouvelle étude de Oxford Saïd Business School basée sur les données de Burgiss, citée par le Financial Times fund management. L’estimation des coûts est bien plus élevée que les autres estimations. « Nous ne connaissons pas le montant total des frais et dépenses payées par les investisseurs parce que les sociétés de private equity déploient beaucoup d’énergie à s’assurer que cette information reste confidentielle comme la recette du Coca-Cola », commente Ludovic Phalippou, professeur de finance de Saïd.
La filiale de banque en ligne de la Société Générale a gagné 242.000 clients au premier semestre, portant leur nombre total à 1,5 million en juillet, a indiqué le groupe bancaire jeudi, lors de la présentation de ses résultats du deuxième trimestre. Ce chiffre représente une part de marché de 30%, confortant le leadership de Boursorama en France, selon une étude de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution portant sur 12 banques en ligne et néobanques, citée par la Société Générale. Le groupe financier estime que sa filiale pourrait atteindre dès 2019 son objectif de 2 millions de clients, initialement fixé pour 2020.
L’éditeur allemand de logiciels professionnels a annoncé hier un bénéfice opérationnel trimestriel en hausse de 12% à taux de changes constants, à 1,64 milliard d’euros et un bénéfice par action de 0,98 euro, globalement conformes aux attentes. Son chiffre d’affaires a progressé de 10% à taux de changes constants à 6,01 milliards, contre un consensus de 5,92 milliards. SAP table sur un chiffre d’affaires à devises constantes en hausse de 6,0% à 7,5% et un bénéfice opérationnel en progression de 9% à 11% pour l’ensemble de 2018 à la faveur d’une accélération de sa croissance dans l’informatique dématérialisée.
IBM a publié hier soir des résultats trimestriels supérieurs aux attentes et confirmé ses prévisions annuelles grâce aux bonnes performances de ses activités à forte marge dans la cybersécurité et l’informatique dématérialisée. Le chiffre d’affaires a augmenté de près de 4% à 20 milliards de dollars contre 19,85 milliards attendu par le consensus. Le bénéfice net s’est élevé à 2,4 milliards de dollars, soit 2,61 dollars par action, contre 2,33 milliards de dollars (2,48 dollars) un an plus tôt. Hors exceptionnels, il ressort à 3,08 dollars par action, également supérieur au consensus de 3,04 dollars. L’action progressait de 1% dans les échanges d’après-Bourse.
Le cours de l’action Econocom plonge de 26% ce matin à la Bourse de Paris à la suite de l’avertissement sur résultats lancé par le groupe de services informatiques. Le résultat opérationnel courant (ROC) semestriel ne s'établira qu'à 33 millions d’euros contre 58 millions d’euros l’an dernier à pareille époque. Compte tenu de ce retard, le ROC annuel sera également inférieur à celui de 2017: 120 millions d’euros environ, contre 154 millions d’euros.