Médias
Toute l’actualité du secteur des médias (télévision, édition, streaming, presse, communication), les grandes tendances à l'œuvre, les principales entreprises actives dans le domaine (TF1, M6, Netflix, Disney, Spotify, Deezer, Vivendi etc.).
L'Arcom a écarté C8 et NRJ12 des réattributions de fréquence, au profit des projets de chaîne de CMI et Ouest France. CNews, autre chaîne du groupe Bolloré, conserve en revanche sa fréquence. Sans conséquences pour l'action Vivendi.
Le géant suédois du streaming musical se rapproche de ses plus hauts historiques en Bourse après la publication d'un profit net supérieur aux attentes au deuxième trimestre.
Dans le cadre de son projet de scission, le conglomérat pourrait se séparer en quatre entreprises cotées en Bourse, dont deux à l'étranger. La participation dans Lagardère et 100% de Prisma Media seraient regroupés dans Louis Hachette Group et introduit sur Euronext Growth.
Avec un gain de plusieurs millions d'abonnés pour le troisième trimestre consécutif, Netflix reste très prudent sur ses perspectives publicitaires, sur lesquelles il comptait pour accroître ses revenus.
L'éditeur de jeux vidéo a publié un chiffre d'affaires en hausse de 8% mais inférieur aux attentes des analystes au titre du premier trimestre de son exercice décalé.
Le géant des médias réfléchirait à séparer ses activités de production de films et de streaming de ses chaînes de télévision. Des opérations de fusions-acquisitions avec d’autres acteurs sont aussi envisagées.
Le géant de la publicité vise désormais une hausse de son chiffre d'affaires comprise entre 5% et 6% cette année après une progression de 5,4% au premier semestre. Son action en profite.
Dans le cadre de son projet de scission, Vivendi pourrait coter Canal+ à Londres, voire à Amsterdam. Ce qui confirmerait les ambitions internationales du groupe de médias.
Cinq ans après avoir été sorti de la Bourse par KKR et le milliardaire Mathias Doepfner, le propriétaire de Bild et de Politico envisage de séparer ses activités dans les médias de celles spécialisées dans les petites annonces.
Le temps n’est pas encore à la surpondération des actions françaises, dans l’attente de clarification sur la coalition qui sera au gouvernement. Cependant, cette assemblée, qui aura du mal à mettre en place des mesures clivantes, est favorable aux secteurs qui avaient été pénalisés par l’éventualité d’une majorité absolue issue des extrêmes.
Skydance, dirigée par David Ellison, fils de Larry Ellison, paiera dans un premier temps 2,4 milliards de dollars pour National Amusements, qui détient 77% des actions avec droit de vote de Paramount.
A eux seuls, Netflix, Facebook, Google, Amazon et Akamai représentent 53% du trafic tricolore, indique l'Autorité de régulation des télécoms dans son rapport annuel sur l'état de l'internet en France, publié jeudi 4 juillet.
Le géant Paramount, qui inclut notamment un studio de cinéma, les chaînes CBS et Nickelodeon, peine à prendre le virage du streaming vidéo. Il est lesté d'une dette de plus de 15 milliards de dollars.
L’armateur reprend l’ensemble des médias du groupe de Patrick Drahi, dont les marques BFM et RMC, et devient un poids lourd du secteur.
Le CFA Society France a décerné à L'Agefi, jeudi 20 juin, ses Media Awards de la meilleure publication et du meilleur article, dans la catégorie presse professionnelle.
La perspective d'une privatisation de l'audiovisuel public par le Rassemblement national fait chuter TF1 et M6 en Bourse. Le scénario bouleverserait l'équilibre du paysage audiovisuel français et l'ensemble du secteur des médias. Les deux groupes, déjà fragilisés par l'arrivée des géants du streaming sur le marché publicitaire, seraient les premiers touchés.
Renforcé par son rachat de l’éditeur de jeux Activision, le géant américain de l'informatique a dévoilé sa stratégie dans l'industrie du jeu vidéo, dimanche 9 juin, lors de son événement annuel.
La filiale de Vivendi devrait débourser 1,5 milliard d'euros dans cette opération qui lui permettra de renforcer sa présence à l'international.
Le groupe a pris les mesures juridiques nécessaires pour que le produit de ses cessions d’actifs échappe à ses créanciers, comme il l’avait laissé entendre en mars. Le prix des obligations baisse.
Le groupe contrôlé par la famille Guillemot estime être «en bonne voie» pour atteindre son objectif de 200 millions d'euros d'économies à l'horizon 2025-2026.