Les porteurs d’obligations Areva arrivant à échéance entre 2017 et 2024 ont approuvé le transfert de leurs financements vers la nouvelle entité, NewCo, qui regroupera les actifs et passifs du groupe liés au combustible nucléaire dans le cadre de sa restructuration. Ces obligations représentent un montant global de 4,85 milliards d’euros. «La demande de consentement du porteur unique de la souche 2018, libellée en yen, est en cours, conformément au calendrier, et fait l’objet d’un processus bilatéral», a précisé Areva. L’accord des obligataires était nécessaire pour permettre la scission du groupe de nucléaire puis sa recapitalisation.
Les porteurs d’obligations Areva arrivant à échéance entre 2017 et 2024 ont approuvé le transfert de leurs financements vers la nouvelle entité, NewCo, qui regroupera les actifs et passifs du groupe liés au combustible nucléaire dans le cadre de sa restructuration. Ces obligations représentent un montant global de 4,85 milliards d’euros. « La demande de consentement du porteur unique de la souche 2018, libellée en yen, est en cours, conformément au calendrier, et fait l’objet d’un processus bilatéral », a précisé Areva.
Le Trésor italien préparerait le premier emprunt à 50 ans de son histoire et aurait sondé l’intérêt de plusieurs grands investisseurs à cet effet, indique le Wall Street Journal. La syndication de cet emprunt pourrait intervenir soit cette semaine, soit celle du 19 septembre. En juin, Maria Cannata, qui dirige l’agence de la dette italienne, avait évoqué la possibilité de lancer une émission sur cette maturité. La faiblesse des taux explique l’attrait des Etats et des investisseurs pour les maturités très longues. En mai, l’Espagne avait syndiqué un emprunt à 50 ans de 3 milliards d’euros. La demande avait dépassé les 10 milliards.
Le Trésor italien préparerait le premier emprunt à 50 ans de son histoire et aurait sondé l’intérêt de plusieurs grands investisseurs à cet effet, indique le Wall Street Journal. La syndication de cet emprunt pourrait intervenir soit cette semaine, soit celle du 19 septembre. En juin, Maria Cannata, qui dirige l’agence de la dette italienne, avait indiqué que le pays étudiait la possibilité de lancer une émission sur cette maturité.
Après Deutsche Bahn en juillet, les souches à 3 ans et 2 ans émises hier par Sanofi et Henkel ont chacune été placées à un rendement négatif de -0,05%.
La France compte émettre la première obligation verte souveraine. Le président de la République François Hollande avait laissé entendre au printemps que Paris pourrait se lancer sur ce marché. Le gouvernement a confirmé ce matin son intention de réaliser une opération « de plusieurs milliards d’euros » et ce, « dès l’année prochaine, sous réserve des conditions de marché ».