La Chine envisage d’émettre sa première obligation en euros depuis 2004, selon des sources gouvernementales citées par Bloomberg. Le pays veut profiter du niveau bas actuel des taux. Il a déjà émis, il a deux ans, des obligations en dollars, treize ans après sa dernière émission dans cette monnaie, opération renouvelée l’an dernier.
Pour sa première émission obligataire internationale depuis les attaques de drones sur des installations pétrolières en septembre, l’Arabie saoudite a opté pour des obligations islamiques d’un montant de 2,5 milliards de dollars à 10 ans et un spread compris entre 145 et 150 points de base au-dessus des midswaps. L’obligation à 10 ans actuellement en circulation se traite avec un spread de 125 pb. JPMorgan, Standard Chartered et Aljazira Capital ont été mandatés pour cette opération qui devrait être bouclée ce mardi, selon Bloomberg.
Terna Energy, leader grec de l’éolien, a placé un green bond de 150 millions d’euros auquel la Berd (Banque européenne pour la reconstruction et le développement) a participé à hauteur de 18 millions. L’opération a attiré 684 millions d’euros de demande, selon un communiqué. Cette obligation verte à 7 ans, avec des souches retail de 1.000 euros, a été placée avec un taux d’intérêt de 2,6%. Les investisseurs particuliers ont souscrit à 65% et les institutionnels à 35%, dont la Berd. Cet investissement relève de son programme Greek Corporate Bonds Framework, lancé en 2017 et renouvelé en 2018, destiné à développer le marché obligataire crédit en Grèce.
Terna Energy, leader grec de l’éolien, a placé un green bond de 150 millions d’euros auquel la BERD (Banque européenne pour la reconstruction et le développement) a participé à hauteur de 18 millions. L’opération a attiré 684 millions d’euros de demande, selon un communiqué de la société. Cette obligation verte à 7 ans, avec des souches retail de 1.000 euros, a été placée avec un taux d’intérêt de 2,6%, dans le bas de la fourchette proposée lors du road-show auprès des investisseurs. Les investisseurs particuliers ont souscrit à 65% et les institutionnels à 35%, dont la BERD.
C’est la première émission obligataire internationale de l’Arabie saoudite depuis les attaques de drones sur des installations pétrolières en septembre dernier et une semaine après le nouveau report de l’IPO d’Aramco. Le royaume a opté pour des obligations islamiques d’un montant de 2,5 milliards de dollars à 10 ans et un spread compris entre 145 et 150 points de base au-dessus des midswaps. L’obligation à 10 ans actuellement en circulation se traite avec un spread de 125 pb. JP Morgan, Standard Chartered et Aljazira Capital ont été mandatés pour cette opération qui devrait être finalisée ce mardi, selon Bloomberg.
Pernod Ricard a procédé lundi à sa première émission de dette depuis 2016 sur le marché primaire, trois jours après le relèvement d’un cran de sa note par les agences S&P, à BBB+, et Moody’s, à Baa1. Le groupe de vins et spiritueux, qui a annoncé début octobre une réorganisation en France, a placé trois tranches d’obligations de 500 millions d’euros chacune sur des maturités de 4 ans, 8 ans et 12 ans. Le livre d’ordres cumulé a dépassé les 10 milliards d’euros, dont 4,5 milliards pour l'émission à 12 ans. Cela a permis à Pernod Ricard de resserrer fortement les spreads offerts. BNP Paribas a dirigé le placement avec Crédit Agricole CIB.
Pernod Ricard a procédé lundi à sa première émission de dette depuis 2016 sur le marché primaire, trois jours après le relèvement d’un cran de sa note par les agences S&P, à BBB+, et Moody’s, à Baa1. Le groupe de vins et spiritueux, qui a annoncé début octobre une réorganisation en France, a placé trois tranches d’obligations de 500 millions d’euros chacune sur des maturités de 4 ans, 8 ans et 12 ans. Le livre d’ordres cumulé a dépassé les 10 milliards d’euros, dont 4,5 milliards pour l'émission à 12 ans.
Le Réseau des superviseurs et des banques centrales pour le verdissement du système financier (NGFS) a publié un premier guide d’investissement responsable pour la gestion de portefeuille des banques centrales. Il s’appuie sur une enquête auprès de 27 membres et 8 études de cas des premières expériences ISR. Exclusion et investissements en obligations vertes sont les plus simples à mettre en œuvre. Certaines banques centrales commencent à appliquer des approches «best-in-class» ou d’intégration des critères ESG, et seule la Banque de France a déjà des stratégies d’investissement à impact.
Le Réseau des superviseurs et des banques centrales pour le verdissement du système financier (NGFS) a publié un premier guide d’investissement responsable pour la gestion de portefeuille des banques centrales, afin de les encourager «à donner l’exemple et à prendre en compte la durabilité dans la gestion de leur portefeuille, sans porter préjudice à leur mandat principal», sachant qu’elles gèrent de très vastes portefeuilles, avec des mandats différents, et que le maintien de la liquidité doit s’accorder avec cet objectif «politique».
Acheter la rumeur et vendre la nouvelle, préconise le dicton boursier. Les marchés actions, qui avaient rebondi la semaine dernière avec la reprise des discussions entre Washington et Pékin et l’espoir d’un compromis, se replient ce matin en Europe après l’annonce d’un accord entre les Etats-Unis et la Chine. L’indice Euro Stoxx 50 recule de 1%. Les futures sur S&P 500 anticipent une ouverture également en repli à Wall Street.
Dans un entretien à Reuters, Davide Iacovoni, le responsable de l’agence d’émission au sein du Trésor italien, a indiqué que l’Italie souhaitait revenir sur le marché avec de nouvelles émissions en dollars l’an prochain mais aussi au travers de placements privés en yens et dans d’autres devises. Mercredi, l’Italie a émis 7 milliards de dollars d’obligations à 5, 10 et 30 ans, pour son retour sur ce marché après dix ans d’absence. La tranche à 5 ans, de 2,5 milliards de dollars, offrant un coupon de 2,375% s’est négociée sur la base d’un spread de 105 points de base (pb) au-dessus de midswap. Celle à 10 ans, de 2 milliards, avec un coupon de 2,875%, avec un spread de 150 pb. Les tranches à 5 et 10 ans ont été majoritairement placées auprès d’asset managers en EMEA et Amériques celle à 30 ans auprès d’assureurs et de fonds de pension.
L’Italie, qui vient de placer avec succès 7 milliards de dollars de dette souveraine, envisage d’émettre encore plus d’obligations en monnaies étrangères. Dans un entretien à Reuters, Davide Iacovoni, le responsable de l’agence d’émission au sein du Trésor italien, a indiqué que l’Italie souhaitait revenir sur le marché avec de nouvelles émissions en dollars l’an prochain mais aussi au travers de placements privés en yens et dans d’autres devises. L’objectif est de devenir un émetteur régulier sur le marché en dollars.
La réouverture par l’Irlande de sa ligne de green bond attire les investisseurs. La demande a dépassé 7 milliards d’euros. Le pays, qui a émis ce green bond il y a un an, espère lever 2 milliards d’euros supplémentaires, portant à 5 milliards son montant total. Il offre un coupon de 1,35% avec une échéance au 18 mars 2031. L’opération devrait être bouclée ce jeudi.