Nos articles d'actualité et d'analyse sur toutes les grandes évolutions réglementaires aux niveaux français, européens, américains et internationaux susceptibles d'affecter les acteurs de la finance (banques, assureurs, fonds, gestionnaires d'actifs etc.)
Nos articles d’actualité et d’analyse sur les évolutions des différents marchés de matières premières (blé, maïs, gaz, charbon, cuivre, fer, terres rares etc.) et sur les principaux acteurs internationaux du secteur.
Les investissements sur le cuivre, l’aluminium, l’or et le pétrole devraient connaître les meilleurs rendements. Certains, comme chez Goldman Sachs, parlent à nouveau de «supercycle».
Le groupe minier et métallurgique mondial qui opère dans un secteur soumis à une intense volatilité des prix des matières premières, vient de transformer des dettes en quasi-capital pour améliorer son profil financier.
La hausse du prix du cacao, lié à un déficit de l’offre, tient à la fois de facteurs conjoncturels et structurels. Ces problèmes pourraient conduire, à terme, à une baisse de la demande.
Les prix de vente locaux sont bien inférieurs à ceux des marchés internationaux, au plus haut depuis 60 ans. Les deux leaders mondiaux, la Côte d'Ivoire et le Ghana, affichent des trajectoires économiques divergentes.
Elliott Management est en train de créer une société pour investir au moins 1 milliard de dollars dans l’acquisition d’actifs miniers à l’échelle mondiale, rapporte le Financial Times, citant des sources proches du dossier. La nouvelle entreprise, Hyperion, sera dirigée par Sandeep Biswas, l’ancien directeur général du groupe minier Newcrest Mining, et par un ancien du secteur, selon ces sources. Son mandat consiste à acquérir tout type d’actifs, dont les métaux de base et les métaux précieux, en plus des matières premières nécessaires à la production de véhicules électriques.
En l’espace d’un an, les prix du cacao ont doublé pour atteindre des niveaux historiques. Dans ce contexte, les hedge funds sont bien décidés à en tirer profite, au point qu’ils n’ont jamais autant spéculé sur « l’or brun », selon Les Echos. Selon les données de la Commodity Futures Trading Commission, ils ont accumulé plus de 8,7 milliards de dollars de positions sur les marchés à terme de Londres et de New York.
La Russie continue d'exporter son blé de façon assez agressive, et laisse l’Ukraine faire de même. Le marché «souffre» plus globalement d’une abondante récolte de maïs.
Le groupe anglo-suisse cherche un investisseur industriel pour reprendre sa part de 49% dans la société Koniambo Nickel. La production du site sera mise en sommeil.
Le riz a atteint un prix record de 650 dollars la tonne en 2023, notamment à cause de la baisse des exportations indiennes. Ces cours élevés devraient perdurer en 2024.
Le scénario de soft landing a favorisé les actifs risqués. Le pétrole grimpe du fait des attaques en mer Rouge. Les taux restent volatils avec les banques centrales.
Les Etats-Unis sont parvenus à préserver la compétitivité des prix de gros de leur électricité, alors qu’en Europe, ceux-ci restent deux fois supérieurs à leur niveau de 2019.