Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Assets in Swiss funds, based on statistics from Swiss Fund Data SA and Morningstar, totalled CHF1.1293trn in March 2019, an increase of CHF7.8bn (+0.7%). The Swiss franc rose against the euro by 1.55%, and rose against the US dollar by 0.32%. International equity markets rose only slightly in the month under review. As a result, inflows to the Swiss fund market were lower than at the beginning of the year. Investors were more cautious. “Divestments affected equity funds, and only bond funds were able to bring in new money,” Markus Fuchs, CEO of the Swiss Funds & Asset Management Association (SFAMA) explains. Net treasury inflows represented CHF1.6bn in March 2019. Most of the new money was invested in bond funds (CHF5.3bn). However, other categories of funds saw divestments, with equity funds seeing the heaviest (-CHF3.1bn), followed by alternative investment funds (-CHF343.2m) and money markets (-CHF198.7m). The rankings for the most popular fund categories were unchanged, with equity funds at 42.13%, bond funds at 31.12%, strategic investment funds on 11.33%, and money market funds at 8.69%.
La société de gestion Inocap Gestion lance ce mardi 23 avril une nouvelle offre de gestion sous mandat baptisée «le Cercle». Dédiée aux conseillers en gestion de patrimoine, l’offre estune solution clef en main disposant de 27 profilsen OPC ou en OPC et actions en direct. Le Cercle estdisponible dansquatreenveloppes fiscales : comptes titres, PEA, contrats d’assurance-vie et capitalisation. «Le Cercle permettra aussi de préparer l’arrivée prochaine du PER, qui va offrir un relai de croissance formidable pour la profession des CGP et donner la possibilité aux sociétés de gestion de gérer ce type d’enveloppe grâce à la loi PACTE», précise la société dans un communiqué. Développé depuis 2015, la gestion pour compte de tiers, représente aujourd’hui 200 millions des 650 millions d’euros d’actifs gérés par Inocap Gestion.L'équipe dédiée à cette activité est composée de six personnes.
SIX and Shanghai Stock Exchange on 23 April renewed their agreement, and are planning to reinforce their cooperation, initiated in 2015. A Swiss delegation visited the Shanghai Stock Exchange today, where the two parties signed the document in the presence of the Confederation president, Ueli Maurer. Under the updated agreement, SIX and Shanghai Stock Exchange will extend the long and close collaboration betweeen China and Switzerland, which has intensified since a free trade agreement was signed between the two countries in 2013, and a monetary agreement between the Swiss national bank and the popular bank of China in 2014. The renewed agreement will strengthen cooperation between the two financial centres and evaluate the feasibility of listing stocks (including deposit certificates in particular) on the respective markets in the near future, so as to allow companies listed on one of the stock markets to use liquidity pools from the other. Additionally, the protocol includes a potential collaboration on other matters of mutual interest, including areas such as the digital transition and other areas.
SIX et Shanghai Stock Exchange ont renouvelé leur protocole d’accord ce mardi 23 avril, avec l’intention de renforcer la collaboration lancée en 2015. Une délégation suisse s’est rendue à la Shanghai Stock Exchange aujourd’hui, où les deux parties ont signé le document en présence du président de la Confédération Ueli Maurer. Par le biais de ce protocole d’accord actualisé, SIX et Shanghai Stock Exchange étayent la relation longue et étroite entre la Chine et la Suisse, qui s’est intensifiée depuis la signature de l’accord de libre-échange conclu entre les deuxpays en 2013, ainsi que l’accord monétaire entre la Banque nationale suisse et la Banque populaire de Chine en 2014. Ce renouvellementvise à renforcer la coopération entre les deuxcentres financiers et évaluer la faisabilité de la cotation de titres (notamment les certificats de dépôt) sur les marchés respectifs dans un avenir proche, permettant ainsi aux sociétés cotées sur une des bourses d’utiliser les pools de liquidité de l’autre. De plus, le protocoleinclut l’étude d’une collaboration sur d’autres questions présentant un intérêt mutuel, notamment des domaines comme la numérisation et d’autres intérêts partagés.
Les deux tiers de la population britanniquen’envisageraient pas d’accepter un travail dans les services financiers, principalement parce qu’ils jugent la finance «ennuyeuse», montre une étude de KPMG UK. Cela n’empêche pas les salariés du secteur de la finance d’être plus heureux que la moyenne: 87 % des employés de la banque, l’assurance ou la gestion d’actifs indiquent qu’ils aiment leur emploi, contre 82 % des travailleurs des autres secteurs. Leur principal motif de satisfaction est la rémunération. Interrogés sur leur motivation, les salariés de la finance sont plus d’un tiers (31 %) à citer la rémunération. L’intérêt et les opportunités de promotion arrivent deuxième et troisième. Dans les autres secteurs, la rémunération est mentionnée par 16 % des salariés. KPMG montre aussi que 41 % des employés des services financiers ont des parents qui ont travaillé dans le même secteur, contre 12 % pour les autres secteurs. Cela illustre un manque de mobilité sociale. «Il y a clairement un fossé entre ce que le public pense et la réalité de travailler dans les services financiers», commente Tim Howarth, responsable du conseil dans les services financiers de KPMG. «C’est un sujet qu’il faut affronter si nous voulons attirer un ensemble varié de compétences et d’expériences dont le secteur a besoin pour braver les changements qui se produisent dans les services financiers et la société. La technologie et l’engagement clients sont une priorité pour la plupart de mes clients, donc les gens qui travaillent dans le retail, les loisirs ou les technologies de l’information pourraient avoir beaucoup de choses à offrir. Mais le secteur a un problème d’image qui rebute ces talents».
Les hedge funds ont subi des rachats nets de 14,92 milliards de dollars au premier trimestre 2019, rapporte evestment. Il s’agit du quatrième trimestre consécutif de décollecte, ce qui n’était pas arrivé depuis 2015-2016. Les encours sont ressortis à 3.258 milliards de dollars. Les fonds macro, long/short equity et de managed futures ont accusé les plus fortes sorties nettes, avec respectivement 6,15 milliards de dollars, 9,8 milliards et 5,6 milliards. L’explication tient aux performances décevantes de ces fonds en 2018, note evestment. Les fonds privilégiés par les investisseurs sont les multi-stratégies (+3,9 milliards de dollars), les fonds event driven (+2,4 milliards) et les fonds crédit directionnels (+2,2 milliards).
The best PIR-eligible fund has gained around 20% since the beginning of the year, Il Sole – 24 Ore reports. This is the Credit Suisse IF 11 Italian Equity, with returns of 19.4%. The worst fund still posted gains of 3.6%. The newspaper expresses regret that investors were not able to take advantage, as it has become impossible to buy into a PIR fund since January (it is possible, but brings no tax advantage). It is not certain that inflows to PIR funds are continuing with the same strength as previously. Many managers preceive the new regulations negatively. In first quarter, PIR-eligible funds had inflows of €6m, less than the €2bn which flowed into PIR funds in the first three months of 2018.
Le meilleur fonds éligible au PIR a gagné près de 20 % depuis le début de l’année, rapporte Il Sole – 24 Ore. Il s’agit du Credit Suisse IF 11 Italian Equity, qui réalise une performance de 19,4 %. Le fonds le moins bon a tout de même gagné 3,6 %. Le quotidien déplore que les investisseurs n’aient pu en profiter, puisqu’il est devenu impossible d’acquérir un PIR depuis janvier (cela est possible, mais sans avantage fiscal). Il n’est pas sûr que la collecte des PIR reparte avec la même vigueur qu’avant. Nombre de gestionnaires ne voient pas d’un bon œil la nouvelle réglementation. Au premier trimestre, les PIR ont ainsi collecté 6 millions d’euros, soit bien moins que les 2 milliards encaissés sur les trois premiers mois de 2018.
Les investisseurs devront décortiquer la semaine prochaine de nombreuses publications d’entreprises, tout en restant attentifs aux nouvelles sur le commerce et à la parution de plusieurs indicateurs économiques de premier plan.
Ces liquidités pourraient se diriger vers les marchés actions, ce qui tendrait à nourrir leur hausse, si l’amélioration de la conjoncture se confirmait.
A la demande de CPR AM, le cabinet Deloitte (avec OpinionWay et Spoking Polls) a mené, auprès d’un échantillon représentatif d’épargnants français et de conseillers financiers, une étude pour mettre en lumière leur appréciation de l’investissement durable (IR) sous plusieurs angles. Si l’étude invite à l’optimisme avec 66% des épargnants qui considèrent que les produits IR sont de nature à renforcer leur confiance, elle souligne l’écart qui existe entre leurs aspirations et la conversion en terme d’investissements. Ainsi plus de la moitié des épargnants (57%) souhaitent que leur épargne soit obligatoirement inclus dans les produits d'épargne, mais seulement 21% ont déjà investi dans ce domaine. Seulement 12% des particuliers conseillés se sont vus proposer des produits IR par leurs conseillers. En outre, 38% des épargnants estiment que le principal frein à l’IR est le manque d’information. Un constat partagé par 46% des conseillers financiers. Deloitte souligne aussi un phénomène paradoxal. Les particuliers jugent comme prioritaires la thématique du respect et de la protection de l’environnement à 56%, celle de l’emploi arrivant en second à 50%. La première thématique est aussi soulignée par les conseillers, mais la seconde l’est beaucoup moins. Ainsi seulement 12% des conseillers pensent que leurs clients sont sensibles au thème de l’emploi dans l’IR. Une différence d’appréciation qui peut sans doute expliquer le faible taux de passage à l’acte d’achat. Deloitte pointe ainsi le rôle essentiel des conseillers pour aider au développement de l’IR dans l’épargne. Ce baromètre CPR AM - Deloitte, sera publié chaque année pour suivre les évolutions. Pour la partie concernant les épargnants, ce sondage a été réalisé sur la base de 1001 personnes interrogées par Opinion Way possédant une assurance vie, un PEA ou un compte titres et/ou ayant une épargne de plus de 10 000 euros, et sur un échantillon de 1541 personnes représentatif de la population française. Pour les conseillers: étude réalisée sur la base de 415 personnes, interrogées par Spoking Polls, dont 72 conseillers en banque privée et 343 sociétés CGP; sur un échantillon de PDG, gérant, directeurs généraux, responsables en charge des produits financiers ISR.
Le journal espagnol El Independiente révèle les fonds qui ont été les plus rentables en Espagne durant le premier trimestre 2019. Selon le média, Augustus Capital, société de gestion d’actifs de la famille Alierta, a enregistré un rendement moyen pondéré de 13,83% sur l’ensemble de ses produits sur les trois premiers mois de 2019. Muza Gestión de Activos, gestionnaire d’actifs dirigé parLuis Urquijo, pointe à la deuxième place avec un rendement moyen pondéré de 13,38% de sa Sicav sur le premier trimestre 2019. Enfin azValor, boutique fondée par des anciens de Bestinver, affiche un rendement moyen pondéré de 12,18% sur sa gamme de fonds de début janvier à fin mars 2019 d’après El Independiente.
L’industrie des fonds d’investissements au Portugal affichait des encours de 11,68 milliards d’euros fin mars 2019 selon les statistiques du superviseur des marchés financiers portugais CMVM. Dans le détail, l’encours des fonds Ucits a augmenté de 127,3 millions d’euros durant le mois dernier (+1,2%) pour atteindre 10,96 milliards d’euros fin mars tandis que celui des fonds d’investissements alternatifs ont baissé d'1,7%, ressortant à 722,4 millions d’euros. Caixagest (34,3%), BPI Gestão de Activos (24%) et Santander Asset Management (16,4%) étaient les trois principales sociétés de gestion du marché portugais en termes de parts de marché fin mars.
La Banque centrale européenne vient de publier sur son site les premières déclarations d’intérêts des membres du conseil des gouverneurs en charge de prendre les décisions relatives à la politique monétaire de l’institution. Ceux-ci doivent renseignerleur précédente activité, leursactivités privées annexes, leurs mandats publics et intérêts patrimoniaux tout commeles activités de leur époux/se ou conjoint lorsqu’elles sont rémunérées et peuvent soulever des questions de conflit d’intérêt. Une poignée de gouverneurs a renseigné les fonds d’investissements dans lesquels ils sont investis. Parmi eux, Guillaume Wunsch, ancien gouverneur adjoint de la banque nationale de Belgique, qui a démarré son mandat de gouverneur à la BCE le 2 janvier dernier. Ce dernier, qui préside également le comité de gestion de la fondation Roi Baudoin,est investi dans au moins 12 fonds selon sa déclaration. On retrouve dans la liste quatre fonds de Franklin Templeton (Templeton Global Total Return Fund,Templeton Frontier Markets,Templeton Asian Growth,Templeton Asian Smaller Companies) et deux fonds de Fidelity (Fidelity EMEA A,Fidelity European Dynamic Growth). S’y ajoutent deux fonds de JP Morgan AM (JPM Europe Equity Plus,JPM Europe Dynamic Small), un fonds d’Invesco (Invesco European Growth Equity), de Schroders (Schroders ISF Japanese Equity) et de BlackRock (BGF World Mining A) On retrouve également lesfonds Amundi CPR Invest Silver Age ainsi que Carmignac Patrimoine (version domiciliée en France). Mario Vella, gouverneur maltais de la BCE, indique, lui, être notamment investi dans deux fonds d’UBS (UBS (Lux) Bond Fund, UBS (Lux) Equity Sicav), tandis que Luis de Guindos, vice-président de la BCE et ex-ministre espagnol de l'économie, de l’industrie et de la compétitivité, est investi dans un fonds de Mutuactivos.
Afi Esca envisage de céder cette année la gestion d'un mandat obligataire d'environ 1 milliard d'euros à Dôm Finance. Des rapprochements entre les équipes de gestion des deux sociétés-sœurs pourraient être envisagés.
Les encours des organismes de placement collectif français ont légèrement augmenté au mois de février, selon les données publiées ce mardi par l’Association Française de la Gestion Financière (AFG). La collecte nette s’est principalement effectuée sur les fonds monétaires, les fonds actions et diversifiés ayant, quant à eux, enregistré des retraits. Les OPCVM et les fonds d’investissement type FCPE ou FCPI ont vu leurs encours sous gestion grimper de 16,3 milliards d’euros sur le mois, portant les encours totaux à 1.890 milliards d’euros (+0,9%). Portés par la hausse des marchés, les OPC actions ont vu leurs encours augmenter de 5,7 milliards d’euros malgré une collecte négative de 2,1 milliards d’euros. Les encours des OPC actions s'élèvent désormais à 312 milliards d’euros. Les fonds diversifiés ouverts ont également enregistré une hausse des AUM (+3,2 milliards, à 325 milliards d’euros) malgré des retraits nets (-1,7 milliard d’euros). Les OPC monétaires ont connu, pour leur part, une collecte nette fortement positive de 6,2 milliards d’euros, et un effet marché légèrement négatif (-0,1 milliard d’euros). Les encours des OPC monétaires s'élèvent désormais à 346 milliards d’euros (+1,8%).
Assets in French collective investment organisms (OPC) increased slightly in February, according to data released on Tuesday by the French financial management association (AFG). Net inflows went largely to money market funds, while equity funds and diversified funds showed outflows. OPCVM, FCPE and FCPI type investment vehicles saw an increase in their assets under management of €16.3bn for the month, bringing total assets to €1.890trn (+0.9%). Equity OPC vehicles, driven by rising markets, saw an increase in their assets of €5.7bn, despite outflows of €2.1bn. Assets in equity OPC funds now total €312bn. Open diversified funds have also posted an increase in assets under management (+€3.2bn, to €325bn), despite net redemptions (-€1.7bn). Money market OPC funds, for their part, saw a positive net inflow of €6.2bn, and a negative market effect (-€0.1bn). Assets in money market OPC funds now total €346bn (+1.8%).