Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
L’assureur espagnol, à travers sa branche de gestion d’actifs Mapfre AM, a scellé une alliance avec le fournisseur de recherche sur les actions américaines Boyar Asset Management, dans l’optique de renforcer ses capacités de recherche et ses rendements sur cette classe d’actifs. Mapfre AM gère plus de 500 millions de dollars en actions américaines. Selon les termes du contrat, Boyar apportera sa recherche fondamentale sur les petites et moyennes capitalisations américaines à Mapfre et ses clients. En retour, l’assureur espagnol permettra à Boyar d’incorporer son expérience des actions européennes dans son analyse ainsi que son expertise en matière de stock-picking ESG.Il est également prévu que Mapfre distribue les capacités de gestion d’actifs de Boyar. Boyar AM a été établi en1983 par Mark Boyarandgère des portefeuilles de clients institutionnels et fortunés en appliquant une stratégie d’investissement value.Son unité de recherche compte plus d’une centaine de clients institutionnels à travers le monde. Mapfre a indiqué qu’il allait «continuer à chercher des alliances dans le domaine de la gestion d’actifs». D’autres partenariats scellés précédemmentpar Mapfre incluentla création d’une plateforme de services financiers indépendants et de distribution de fonds avec Abante Advisors ainsi que l’acquisition de 25% du capital du gestionnaire d’actifs françaisLa Financière Responsable.
Les craintes grandissantes d’un Brexit sans accord ont poussé les investisseurs à accélérer leur sortie des fonds actions et immobiliers britanniques, rapporte le Financial Times fund management, citant des données de Calastone. Cela fait quatre trimestres consécutifs que les investisseurs vendent ces fonds. Les rachats sur les fonds actions gérés activement ont atteint 3,5 milliards de livres sur le dernier trimestre, contre 2,2 milliards sur les trois mois à fin juin. Les investisseurs ont aussi retiré 667 millions de livres des fonds immobiliers sur le trimestre, contre 250 millions sur les trois mois à fin juin. La décollecte sur les fonds actions gérés activement sur les 12 derniers mois a atteint 6,7 milliards de livres, tandis que les rachats sur les fonds immobiliers a dépassé 2 milliards de livres.
Un nouveau cycle de négociations débute jeudi. Le marché craint un statu quo alors que la détérioration de la conjoncture affecte les perspectives bénéficiaires.
Les rachats de sociétés cotées par le private equity conduisent à d’importantes suppressions d’emplois, selon une nouvelle étude sur l’impact de ces opérations sur l’économie réelle citée par le Financial Times. L’étude, signée par des chercheurs de plusieurs institutions dont les universités de Harvard et de Chicago, ont analysé les rachats par le private equity de sociétés américaine entre 1980 et 2013. Elle conclut que les entreprises cotées acquises par les fonds de private equity ont vu les emplois chuter de 13 points de pourcentage sur les deux ans qui ont suivi par rapport à un groupe de référence. En revanche, l’emploi augmente de 13 points lorsqu’une société de private equity rachète une société non cotée. Ou lorsque les fonds de private equity réalisent des transactions entre eux.
La Bourse de New York a rebondi jeudi de près de 0,5%, après la publication d’une nouvelle statistique américaine plutôt pessimiste pour la croissance nourrissant l’espoir d’un assouplissement de la politique monétaire de la Fed. L’indice Dow Jones a gagné 122,42 points. Le S&P-500, plus large, a pris 23,02 points, soit 0,8%, et le Nasdaq Composite a avancé de 87,02 points (+1,12%). Plombés par les craintes de récession aux Etats-Unis, les trois indices avaient enregistré mercredi leur plus fort recul en pourcentage sur une séance en six semaines. Jeudi, les indices sont repassés dans le vert, les opérateurs pariant que les signes de ralentissement de l'économie américaine qui s’accumulent contraindraient la Réserve fédérale à opter pour de nouvelles baisses de taux.
Après Interactive Brokers, les brokers Charles Schwab et TD Ameritrade ont renoncé le même jour à facturer le trading en ligne, faisant plonger leur propre cours de Bourse.
Les courtiers en ligne américains Charles Schwab et TD Ameritrade ont annoncé la gratuité des ordres de leurs clients sur les actions, les ETF (fonds indiciels cotés) et les options cotées aux Etats-Unis et au Canada. Le premier facturait auparavant 4,95 dollars par ordre, le second 6,95 dollars. Ils emboîtent le pas d’Interactive Brokers qui avait dévoilé la semaine dernière une offre gratuite. Ces déclarations ont de nouveau fait chuter les cours du secteur, TD Ameritrade perdant 25% de sa valeur à la clôture. Les brokers traditionnels adaptent leur politique commerciale face aux fintechs comme Robinhood et des géants de la gestion d’actifs comme Fidelity et Vanguard, qui ont supprimé les frais de certains fonds indiciels.
Les courtiers en ligne américains Charles Schwab et TD Ameritrade ont annoncé hier la gratuité des ordres de leurs clients sur les actions, les ETF (fonds indiciels cotés) et les options cotées aux Etats-Unis et au Canada. Le premier facturait auparavant 4,95 dollars par ordre, le second 6,95 dollars. Ils emboîtent le pas d’Interactive Brokers qui avait dévoilé la semaine dernier une offre gratuite. Les déclarations d’hier ont de nouveau fait chuter les cours du secteur, TD Ameritrade perdant 25% de sa valeur à la clôture.
Marcus Stollenwerk quitte UBS pour rejoindre Flossbach von Storch, rapporte Private Banking Magazin. Le patron de la gestion de fortune d’UBS pour l’Allemagne va prendre la direction des activités de gestion de fortune de la société de gestion basée à Cologne. Son entrée en fonction n’a pas encore été arrêtée, indique-t-on. Le successeur de Marcus Stollenwerk sera Tobias Vogel, responsable de la banque d’investissement d’UBS pour l’Europe, qui va prendre en charge l’accompagnement des clients privés allemands fortunés ainsi que la direction de la gestion de fortune à partir de Hambourg.
Le mois de l’éducation financière commence ce mardi dans toute l’Italie, rapporte Il Sole 24 Ore. Cette année, les inscriptions ont progressé de 50 %. Promue par le Comité pour la programmation et la coordination des activités d’éducation financière (Edufin), cette initiative prévoit des séminaires, des cours, des jeux, des laboratoires et des spectacles gratuits. L’objectif est de proposer des occasions de s’informer, discuter et comprendre comment gérer et programmer les ressources financières personnelles et familiales, approfondissant les thèmes de l’épargne, des investissements, des assurances et de la prévoyance.
Peter Navarro, conseiller de la Maison blanche pour les dossiers liés au commerce international, a qualifié lundi de «fake news» les informations de presse selon lesquelles l’administration Trump envisagerait d’exclure les entreprises chinoises des marchés boursiers américains. Aucun commentaire n’a pu être obtenu dans l’immédiat auprès de l’agence Bloomberg, selon Reuters. Celle-ci cite trois sources qui avaient confirmé vendredi que l’administration Trump envisageait de prendre cette mesure radicale, pesant sur les valeurs technologiques à Wall Street. Alibaba, Baidu et JD.com, cotées à Wall Street, avaient subi vendredi des baisses allant de 3,6% à près de 6% en réaction, avant de rattraper en partie leurs gains lundi.
Peter Navarro, conseiller de la Maison blanche pour les dossiers liés au commerce international, a qualifié lundi de «fake news» les informations de presse selon lesquelles l’administration Trump envisagerait d’exclure les entreprises chinoises des marchés boursiers américains. «Cet article, apparu sur Bloomberg, je l’ai lu bien plus soigneusement qu’il n’a été écrit. Plus de la moitié de son contenu était fortement inexact, voire carrément faux», a-t-il dit sur la chaîne CNBC.
Les tensions semblent refluer sur le marché américain du repo. Les banques ont demandé vendredi 49 milliards de dollars (45 milliards d’euros) de liquidités à la Fed de New York à l’occasion d’une opération de prise en pension à deux semaines, tandis que la banque centrale était prête à en offrir 60 milliards. Alors que les deux injections menées mardi et jeudi avaient fait le plein, c’est la première fois que la demande est inférieure à l’offre depuis que la Fed a annoncé ces mesures d’urgence pour calmer les tensions sur le repo. La demande de cash overnight s’est aussi affaiblie avec 22,7 milliards de dollars empruntés vendredi sur un total de 100 milliards à disposition.