Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Berkshire Hathaway vient de céder en quelques semaines plus de 5 milliards de dollars d’actions de la première banque américaine. La société d’investissement reste toutefois son premier actionnaire.
L’indice S&P 500 a quasiment effacé ses pertes de fin juillet-début août, stimulé notamment par le discours accommodant de Jerome Powell. Le rallye est plus diffus avec un indice équipondéré déjà au sommet.
La saison des résultats du deuxième trimestre a été moyennement favorable avec une révision en baisse du consensus, une faiblesse de l’Europe et des déceptions durement sanctionnées.
L'Observatoire de l'Epargne Européenne (OEE) note que le mouvement a été particulièrement net en France alors que les marchés d'actions s'affichaient en hausse.
Le marché s’est repris aussi vite qu’il avait chuté. Il intègre à nouveau dans ses valorisations le scénario d’un atterrissage en douceur. Et n’est pas prêt pour d’autres mauvaises nouvelles économiques.
Lundi 5 août, l’indice de volatilité du S&P 500 a enregistré son plus important écart quotidien, avec un plus haut depuis mars 2020. Mais ni la recherche de couverture, ni les stratégies vendeuses de volatilité, ni les options journalières n’en sont la raison.
Les investisseurs restent focalisés sur la croissance et sur la Fed, ignorant les tensions à la frontière russo-ukrainienne et au Moyen-Orient. Pour le moment.
La diversification a de nouveau montré son intérêt dans la baisse récente des marchés. Les stratégies sur la volatilité et les options de vente également.
L’indice Vix reste proche de ses plus hauts après le choc de lundi, reflet de l'inquiétude persistante des investisseurs. Cela se traduit aussi par d’importants mouvements en séance avec des places boursières instables.
Après la déroute, les places boursières ont rebondi mardi, alors que les craintes de récession se sont apaisées. Mais les investisseurs restent prudents face aux risques liés aux flux, dont le carry trade.
La crainte de récession se répercute sur l’ensemble des marchés risqués. Lundi la chute de la Bourse de Tokyo a pris des airs de panique. Wall Street décroche encore malgré un ISM des services meilleur que prévu.
Les entreprises exportatrices et tournées vers la tech ont enregistré d’importantes pertes. Les marchés indiens et chinois, moins exposés, ont résisté.
La Bourse de Tokyo a chuté de plus de 12% ce lundi. En Europe, les indices perdent plus de 2%. Les investisseurs craignent une récession aux Etat-Unis et ajustent les anticipations de taux de la Fed. Wall Street est attendu en forte baisse.
Les deux moteurs de la hausse des marchés cette année ont lâché. Les chiffres de l’emploi américain se sont ajoutés à une série de données décevantes alors que les investisseurs prennent leurs bénéfices sur des valeurs technologiques trop chères.
Après Wall Street jeudi, Tokyo chute ce vendredi tandis que les places européennes sont toutes dans le rouge. Les investisseurs s’inquiètent de la conjoncture américaine et des perspectives de la tech.
Les actions ont connu des hauts et des bas en juillet tandis que les obligations enregistrent leur meilleure performance de l’année sur des anticipations de baisses de taux.