Inflation
Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
L’institution voit un retour des hausses de prix à la cible d’ici dix-huit à trente-six mois.
Philip Lane estime que le resserrement monétaire mis en œuvre par la Banque centrale européenne commence à avoir des effets.
Les récents indicateurs ont donné de très légers signes d’affaiblissement, sans lever pour autant les doutes sur la suite.
Les prix à la consommation sont soutenus outre-Manche par la hausse des coûts de l’alimentation, compliquant l’évaluation de la Banque d’Angleterre.
Plus la transition énergétique sera tardive, plus les coûts seront élevés, prévient la Banque de France.
La hausse des prix ressort à 5,7% contre 5,6% initialement estimé. L'inflation harmonisée, qui permet une comparaison européenne, atteint 6,7%.
Malgré un ralentissement global grâce à l’énergie, l’inflation sous-jacente continue à monter.
La hausse des prix a ralenti à 5% en mars outre-Atlantique après 6% en février et 6,4% en janvier. Le CAC 40 inscrit de nouveaux records.
Le blocage autour du plafond de la dette pourrait prolonger l’incertitude tout le trimestre.
Une enquête auprès de spécialistes de l’ approvisionnement montre leur inquiétude croissante devant les hausses de coûts .
Christopher Waller, l'un des gouverneurs de la Fed, a récemment décrit sa compréhension de la relation inflation-chômage qui pourrait justifier d’un «atterrissage en douceur».
Les Bourses européennes sont fermées jusqu'à mardi en raison du week-end pascal. Wall Street rouvrira dès lundi.
Ils baissent de 0,5% en février mais restent tout de même en progression de 13,2% sur un an.
La décision surprise du cartel pétrolier de limiter sa production devrait, en l’état, avoir un impact limité sur la dynamique des prix.
A 6,9% en mars en zone euro contre 8,5%, le reflux est marqué, mais uniquement grâce aux effets de base sur les prix de l'énergie pour l'instant.
L’inflation totale a entamé sa décrue, principalement en raison des effets de base favorables de l’énergie. Mais les données sous-jacentes ne faiblissent pas. Les investisseurs ajustent leurs anticipations.
Le mouvement a été bien plus violent qu’estimé alors que la demande a redémarré très vite, augmentant l’écart de production.
Divers éléments pourraient faire redémarrer les gains de productivité, utiles aussi bien dans une logique de croissance que de progrès.
Les gains de productivité diminuent depuis vingt ans. Un sujet crucial pour les salaires et l'inflation, la croissance potentielle, et donc les politiques publiques.
Les projections trimestrielles des gouverneurs confirment la théorie d’une normalisation possible de l’économie sans trop accroître le chômage.