L’indice du climat des affaires dans l’industrie a chuté pour le deuxième mois de suite en France, à 104 en août après 106 en juillet et 108 en juin, revenant à un plus bas depuis avril 2021 selon l’Insee, conformément aux attentes du marché. Les carnets de commandes globaux (-10 points après -5) et le bilan sur la production passée (+4 points après +8) ont été les principaux freins. En revanche, l’Institut observe une amélioration dans les perspectives générales de production (-2 contre -5) et l’incertitude économique ressentie s’est quelque peu atténuée (30 après 33). En revanche, selon les chefs d’entreprise interrogés en août, le climat des affaires est quasi stable dans les services, à 106 pour l’indicateur qui reste ainsi au-dessus de sa moyenne de longue période (100).
La croissance de l’activité du secteur privé a nettement ralenti en août au Royaume-Uni, conséquence d’une contraction dans l’industrie et d’une expansion ténue dans les services, montrent mardi les premiers résultats de l’enquête mensuelle de S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats (lire par ailleurs). L’indice PMI composite a reculé à 50,9, après 52,1 en juillet, donc moins qu’attendu (51,1). L’indice PMI flash des services accuse une baisse marginale à 52,5, après 52,6 en juillet, mais celui de l’industrie chute à 46, après 52,1, au plus bas depuis mai 2020. Une faible demande des consommateurs sur fond de dégradation des perspectives, ainsi que des pénuries de personnel et de matières premières ont durement affecté les producteurs, selon S&P Global.
A l’issue de quatre années de modération salariale, IG Metall, parmi les syndicats les plus influents d’Allemagne, a réclamé lundi une hausse des salaires de 8% pour les quelque 3,8 millions d’employés de l’industrie métallurgique et électrique dans un contexte d’inflation galopante. «Les employés ont besoin d’un répit, y compris en ce qui concerne leurs factures, qui augmenteront à nouveau en 2023», a déclaré le président du syndicat, Jörg Hofmann. Le mois dernier, il avait demandé une augmentation des salaires comprise entre 7% et 8%.
A l’issue de quatre années de modération salariale, IG Metall, parmi les syndicats les plus influents d’Allemagne, a réclamé lundi une hausse des salaires de 8% pour les quelque 3,8 millions d’employés de l’industrie métallurgique et électrique dans un contexte d’inflation galopante. «Les employés ont besoin d’un répit, y compris en ce qui concerne leurs factures, qui augmenteront à nouveau en 2023», a déclaré le président du syndicat, Jörg Hofmann. Le mois dernier, il avait demandé une augmentation des salaires comprise entre 7% et 8%.
La production industrielle allemande a augmenté de 0,2% seulement en mai, après une hausse (révisée) de 1,3% en avril, et alors que les économistes tablaient sur une hausse de 0,4%. Les perturbations causées par la guerre en Ukraine dans les chaînes d’approvisionnement et les restrictions liées à la pandémie de coronavirus en Chine ont compliqué le traitement des commandes, selon des données officielles publiées jeudi par Destatis. La production de biens d’équipement a bondi de 2,2% et le secteur de la construction a légèrement augmenté, de 0,4%. En revanche, des baisses ont été observées dans les biens de consommation (-0,9%) et intermédiaires (-0,4%), et la production d’énergie a chuté de 5,8%. Sur un an, la production industrielle a baissé de 1,5%.
La production industrielle allemande a augmenté de 0,2% seulement en mai, après une hausse (révisée) de 1,3% en avril, et alors que les économistes tablaient sur une hausse de 0,4%. Les perturbations causées par la guerre en Ukraine dans les chaînes d’approvisionnement et les restrictions liées à la pandémie de coronavirus en Chine ont compliqué le traitement des commandes, selon des données officielles publiées jeudi par Destatis.
La production industrielle allemande s’est redressée mais a augmenté moins que prévu en avril, les restrictions liées à la pandémie et à la guerre en Ukraine ayant perturbé les chaînes d’approvisionnement : selon des données officielles publiées mercredi par Destatis, la production industrielle a augmenté de 0,7% sur le mois, après une baisse de 3,7% (révisée en hausse) en mars. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 1,0% en avril. Le ministère de l’Economie a prévenu que les perspectives restaient très incertaines, la guerre en Ukraine et la hausse des prix de l’énergie et des matières premières entraînant des pénuries dans l’industrie. Cette publication tombe après celle de commandes industrielles allemandes qui ont chuté plus que prévu en avril, et pour le troisième mois d’affilée, en raison de la faiblesse de la demande et de l’incertitude accrue liée à l’invasion russe de l’Ukraine. A moins d’une aggravation de la situation en Ukraine, les analystes évoquent une possibilité de stabilisation au cours de l’été.
La production industrielle allemande s’est redressée mais a augmenté moins que prévu en avril, les restrictions liées à la pandémie et la guerre en Ukraine ayant perturbé les chaînes d’approvisionnement : selon des données officielles publiées mercredi par Destatis, la production industrielle a augmenté de 0,7% sur le mois après une baisse de 3,7% (révisé en hausse) en mars. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 1,0% en avril.
La production industrielle en Allemagne a reculé nettement plus que prévu, de -3,9% en mars après une hausse de +0,1% en février selon les données publiées vendredi par Destatis. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une baisse de 1,0% en mars. Mais les restrictions liées à la pandémie de coronavirus et à la guerre en Ukraine ont pesé sur les chaînes d’approvisionnement. Sur un an, la production industrielle de l’Allemagne a reculé de 3,5% en mars, a ajouté Destatis.
La production industrielle en Allemagne a reculé nettement plus que prévu, de -3,9% en mars après une hausse de +0,1% en février selon les données publiées vendredi par Destatis.
Les commandes à l’industrie allemande ont accusé un recul plus marqué que prévu en mars, en raison principalement du ralentissement de la demande en provenance de l’étranger avec la guerre en Ukraine, montrent les données de Destatis publiées jeudi. La baisse des commandes a atteint 4,7% sur un mois, leur plus important recul depuis octobre 2021, après une progression de 0,8% (révisé) en février. Les économistes tablaient sur une baisse de 1,1% en moyenne. Les commandes reçues de l’étranger ont reculé de 6,7% en mars. Après le plongeon des exportations en mars, l’économie allemande devrait connaître un ralentissement et potentiellement une récession technique au deuxième trimestre.
Les commandes à l’industrie allemande ont accusé un recul plus marqué que prévu en mars, en raison principalement du ralentissement de la demande en provenance de l’étranger avec la guerre en Ukraine, montrent les données de Destatis publiées jeudi.
La croissance de l’activité manufacturière dans la zone euro a légèrement ralenti en avril en raison des difficultés d’approvisionnement et de la hausse des prix, montre lundi l’enquête de S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI manufacturier définitif est revenu à son plus bas niveau depuis 15 mois, à 55,5 en avril après 56,5 en mars. Le sous-indice mesurant la production, qui entre dans le calcul de l’indice PMI composite, est tombé à 50,7 en avril après 53,1 en mars, soit au plus bas depuis juin 2020. «La production manufacturière est pratiquement revenue au point mort dans la zone euro en avril», résume Chris Williamson, chef économiste de S&P Global. L’indice des coûts acquittés par les entreprises a parallèlement continué de monter, à 77,3 en avril, un nouveau record, après 74,2 en mars.
La croissance de l’activité manufacturière dans la zone euro a légèrement ralenti en avril en raison des difficultés d’approvisionnement et de la hausse des prix, montre l’enquête de S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats.
Les prix à la production ont augmenté de 30,9% sur un an en mars en Allemagne, leur plus forte hausse depuis la création de la statistique en 1949, selon les données publiées mercredi par l’Office fédéral de la statistique (Destatis). Elles prennent en compte pour la première fois les effets de la guerre en Ukraine. Par rapport au mois de février, les prix à la production, considérés comme un indicateur avancé des prix à la consommation, ont augmenté de 4,9%. Il s’agit du treizième mois consécutif de hausse, principalement en raison de l’augmentation des prix de l’énergie, selon Destatis. Les prix de l’énergie ont augmenté de 83,8% par rapport à mars 2021.
Les prix à la production ont augmenté de 30,9% sur un an en mars en Allemagne, leur plus forte hausse depuis la création de la statistique en 1949, selon les données publiées mercredi par l’Office fédéral de la statistique (Destatis). Elles prennent en compte pour la première fois les effets de la guerre en Ukraine.