Le taux de chômage calculé selon les normes du Bureau international du travail (BIT) s’est replié de 0,1 point au premier trimestre en France métropolitaine, pour s'établir à 8,4% de la population active, un plus bas depuis début 2009, selon l’Insee. En incluant l’Outre-mer (hors Mayotte), il est également en baisse à 8,7%, également un plus bas de dix ans. Cette évolution est légèrement plus marquée qu’anticipé: l’institut prévoyait une stabilisation pour la France entière fin mars, après le recul de 0,3 point enregistré fin 2018.
Le taux de chômage calculé selon les normes du Bureau international du travail (BIT) s’est replié de 0,1 point au premier trimestre en France métropolitaine pour s'établir à 8,4% de la population active, un plus bas depuis début 2009, selon l’Insee. En incluant l’Outre-mer (hors Mayotte), il est également en baisse à 8,7%, également un plus bas de dix ans. Cette évolution est légèrement plus marquée qu’anticipé : l’institut prévoyait une stabilisation pour la France entière à fin mars, après le recul de 0,3 point enregistré fin 2018.
Le déficit commercial de la France s’est creusé en mars, pour atteindre 5,32 milliards d’euros. Après les 4,13 milliards de déficit de février, il s’agit de son plus haut niveau depuis six mois, sous l’effet d’une nette accélération des importations, selon les statistiques CVS/CJO de la Banque de France. Sur le premier trimestre, le déficit de la balance commerciale française s'établit à 13,7 milliards d’euros, contre 14,7 milliards au premier trimestre 2018. En mars, les importations ont bondi de 3,6%, après des hausses limitées à 0,5% puis 0,3% les deux mois précédents, pour s’inscrire à 48,5 milliards d’euros. Les exportations, en hausse pour le deuxième mois consécutif, ont progressé de 1,1% à 43,2 milliards.
Le déficit commercial de la France s’est creusé en mars, pour atteindre 5,32 milliards d’euros. Après les 4,13 milliards de déficit de février, il s’agit de son plus haut niveau depuis six mois, sous l’effet d’une nette accélération des importations, selon les statistiques CVS/CJO publiées mardi par la Banque de France. Sur l’ensemble du premier trimestre, le déficit de la balance commerciale française s'établit à 13,7 milliards d’euros, contre 14,7 milliards pour les trois premiers mois de 2018. En mars, les importations ont bondi de 3,6%, après des hausses limitées à 0,5% puis 0,3% les deux mois précédents, pour s’inscrire à 48,5 milliards d’euros.
La Banque de France a confirmé sa prévision de croissance de 0,3% de l'économie française au premier trimestre, soit le même rythme qu’au dernier trimestre 2018. L’Insee, elle, prévoyait mi-mars une croissance de 0,4% du PIB. L’enquête de la Banque de France pour mars fait apparaître une stabilité de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 100, l’indicateur du secteur des services étant resté stable à 101, de même que celui du bâtiment à 106.
La Banque de France a confirmé sa prévision de croissance de 0,3% de l'économie française au premier trimestre, soit le même rythme qu’au dernier trimestre 2018, dans sa troisième et dernière projection fondée sur son enquête mensuelle de conjoncture pour mars, publiée ce matin. Cette prévision est légèrement inférieure à celle de l’Insee publiée mi-mars, de 0,4% du PIB. L’enquête de la Banque de France pour mars fait apparaître une stabilité de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 100, l’indicateur du secteur des services étant resté stable à 101, de même que celui du bâtiment à 106.
Depuis 2001, la loi française supprime les discriminations successorales applicables aux enfants nés d'un adultère. , Si l’enfant adultérin a consenti à un partage inégalitaire en 1992, qu’il a réitéré en 2005 en signant l’acte de partage d’un terrain litigieux, il disposait de la possibilité d’exercer un recours en nullité de ce dernier, considère la Cour européenne des droits de l’homme dans un arrêt du 14 mars 2019.
Le ministre de l’Economie et des Finances a évalué jeudi à 0,2 point de croissance l’impact négatif cumulé pour l'économie française depuis le début du mouvement des «gilets jaunes» mi-novembre. Le gouvernement français estimait jusqu’ici l’impact de ce mouvement social à au moins 0,1 point de croissance du quatrième trimestre 2018, soit environ 2,5 milliards d’euros. L'économie française a enregistré une croissance de 0,3% au quatrième trimestre 2018 et de 1,5% sur l’ensemble de l’année, selon l’Insee.
Le ministre de l’Economie et des Finances a évalué jeudi à 0,2 point de croissance l’impact négatif cumulé pour l'économie française des perturbations enregistrées depuis le début du mouvement des «gilets jaunes» mi-novembre.
L’indicateur mesurant la confiance des ménages en France s’est redressé pour le deuxième mois consécutif, à hauteur de 3 points en février. Il est revenu à un niveau de 95 correspondant à son plus haut depuis octobre dernier, avant l’impact du mouvement des «gilets jaunes», contre un consensus moyen Reuters de 92. Les craintes des ménages concernant l'évolution du chômage diminuent, le solde correspondant perdant 20 points après avoir augmenté pendant trois mois consécutifs. Les ménages s’inquiètent toutefois de l'évolution des prix et sont bien plus nombreux qu’en janvier à estimer qu’ils vont augmenter ces douze prochains mois, et qu’ils ont augmenté depuis un an.
L’indicateur mesurant la confiance des ménages en France s’est redressé pour le deuxième mois consécutif, à hauteur de 3 points en février. Il est revenu à un niveau de 95 correspondant à son plus haut depuis octobre dernier, avant l’impact du mouvement des Gilets Jaunes, alors que le consensus des économistes interrogés par Reuters le voyait en moyenne stable à 92. Les craintes des ménages concernant l'évolution du chômage diminuent, le solde correspondant perdant 20 points après avoir augmenté pendant trois mois consécutifs, et la part des ménages considérant que le niveau de vie s’est amélioré au cours des douze derniers mois a augmenté de nouveau, le solde correspondant progressant de 6 points, même s’il reste au-dessous de sa moyenne, précise l’Insee dans un communiqué.
Le taux de chômage en France a reculé de 0,3 point au quatrième trimestre 2018, pour tomber à un niveau de 8,8%, le plus bas depuis 2009, selon les chiffres de l’Insee publiés ce matin. Or, les économistes l’attendaient stable, à 9,1%. En France métropolitaine, il a baissé de 0,3 point, à 8,5%, et le nombre de chômeurs a diminué de 90.000 à 2,5 millions de personnes, avec un fort recul chez les jeunes. Le taux de chômage de longue durée est lui resté stable, à 3,4%, quelque 990.000 chômeurs déclarant chercher un emploi depuis plus d’un an.
Le taux de chômage en France a reculé de 0,3 point au quatrième trimestre 2018, pour tomber à un niveau de 8,8%, le plus bas depuis 2009, selon les chiffres de l’Insee publiés ce matin. Or, les économistes attendaient un taux de chômage stable, à 9,1%. En France métropolitaine, il a baissé de 0,3 point, à 8,5%, et le nombre de chômeurs a diminué de 90.000 à 2,5 millions de personnes, avec un fort recul du chômage des jeunes. Le taux de chômage de longue durée est en revanche resté stable, à 3,4%, quelque 990.000 chômeurs déclarant rechercher un emploi depuis au moins un an.
La croissance de l'économie française devrait atteindre 0,4% au premier trimestre 2019, selon la première estimation de la Banque de France publiée lundi, après une hausse de 0,2% du produit intérieur brut (PIB) enregistrée au quatrième trimestre 2018. En février, l’activité devrait continuer à croître selon les professionnels interrogés, avec un indice d’activité ICA stable à 105 en janvier. Dans les services, après un ralentissement de l’activité en janvier, les chefs d’entreprises prévoient une accélération en février. L’indice ICA est à 100 en janvier, après 101 en décembre. Dans l’industrie, l’activité reprendrait en février après une diminution de la production en janvier, avec un indice à 99 en janvier contre 102 en décembre.
La croissance de l'économie française devrait atteindre 0,4% au premier trimestre 2019, selon la première estimation de la Banque de France publiée ce matin. Cela représenterait une petite accélération par rapport à la hausse de 0,2% du produit intérieur brut (PIB) enregistrée au quatrième trimestre 2018, chiffre révisé en baisse de 0,1 point. «Les carnets de commandes sont très bien garnis», souligne la Banque de France. En février, l’activité devrait continuer à croître selon les professionnels interrogés, avec un indice d’activité ICA stable à 105 en janvier.
50.185 dirigeants d’entreprise ont dû faire face à une liquidation judiciaire en 2018, selon le baromètre de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Dans le même temps, 691.300 entreprises ont été créées en France, soit 100.000 de plus que l’année précédente. L'âge médian des dirigeants d’entreprise concernés par les faillites est de 46 ans.
Au total, 50.185 dirigeants d’entreprises ont dû faire face à une liquidation judiciaire, un chiffre quasiment stable par rapport à l’année précédente (en hausse de 0,3%) par rapport à 2017, selon le baromètre de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs publié ce matin. Or, dans le même temps, 691.300 entreprises ont été créées en France l’année dernière, soit 100.000 de plus qu’au cours de l’année précédente.