Le géant américain Vanguard, dont les encours s'élevaientà environ 5.300 milliards de dollars à fin septembre,a revu sa grille de tarification de ses produits passifs à la baisse, a relayé Les Echos ce 23 octobre. Les frais de gestion ont ainsi baissé d’environ 4 points de base sur ses ETF, et d’environ 15 points de base sur ses fonds indiciels. Les frais de gestion de ses ETF sont désormais de 0,12% en moyenne, tandis que ce de ses fonds indiciels tournent autour de 0,16%. A titre de comparaison, les frais moyens des fonds indiciels européens actions sont passés, entre 2013 et 2018, de 0,40% à 0,28%, et ceux des fonds indiciels européens obligataires de 0,21% à 0,14%, d’après une étude d’ICI Global. Baisse de 8 points de base sur le marché suisse Sur le marché suisse, Vanguard a réduit de 8 points de base ses frais si bien que ses produits coûtent en moyenne 0,2% par an, rapporte le site spécialisé finews. Les frais sur les ETF s'élèvent désormais à seulement 0,13% par an. «Chez nous, les baisses de prix font partie de notre activité quotidienne. Sur le long terme, nos tarifs devraient tendre vers zéro, même si bien entendu les produits ne pourront jamais être tout à fait gratuits», a déclaré à finews Sean Hagerty, le patron de Vanguard pour l’Europe. En Europe, Vanguard gère un peu moins de 200 milliards de dollars, ce qui lui confère une part de marché encore très modeste, alors qu’il détient une part de 20% aux Etats-Unis. Dans un contexte de taux bas et de valorisations élevées des marchés actions, la baisse des frais est un atout stratégique. Selon Sean Hagerty, «Les fonds gérés activement sont chers et perdent progressivement des parts de marché. Ils devraient complètement disparaître du marché. Il n’y a pas de place pour ces produits dans notre secteur»...
Selon le quotidien espagnol Cinco Días, la CNMV a émis des recommandations pour éviter que les fonds d’investissements collectifs locaux ne se retrouvent avec un montant d’encours ingérable après une forte collecte. Le régulateur, qui a remarqué l’absence de protocole établi en cas de forte collecte après des cas survenus en 2017 etl’an dernier, conseille ainsi aux fonds d’inclure dans leurs prospectus l'éventualitéde limiter les nouvelles souscriptions si les sociétés de gestion ne l’ont pas déjà fait. Le protocole établi par la CNMV veut entre autres que les gestionnaires puissent décider de périodes spécifiques durant lesquelles les investisseurs pourraient entrer dans leurs fonds quand cela est possible. La CMNV entend aussi donner un cadre clair àla réouverture des fonds.
Le régulateur financier chinois, l’Asset Management Association of China (Amac), a accordé deux nouvelles licences à des fonds d’UBS AM et de Man Group, a appris Fundselector Asia. Le gérant suisse a reçu l’approbation pour le lancement du UBS China Balanced Multi-asset Private Securities Investment Fund No. 1. Il s’agit du quatrième fonds lancé cette année par la succursale locale, et le septième disponible sur le marché. Chacun de ses fonds est agréé PFM (private fund management), une licence qui permet aux gérants étrangers d’investir dans des actifs locaux et d’ouvrir le fonds à un maximum de 200 investisseurs qualifiés locaux. Le groupe britannique va lui lancer le Man Non-Traditional Quantitative Multi-Factor Private Overseas Securities Investment Fund. Il s’agit du deuxième fonds agréé QDLP, une licence qui autorise les gérants étrangers de lever des fonds auprès d’investisseurs locaux pour investir dans des actifs étrangers et des stratégies alternatives.
Les acheteurs sont une joint venture réunissant Amundi Immobilier, la Française Real Estate Partners et la Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens.
Pour minimiser l’exposition au risque de taux, La Française lance La Française Global Floating Rates, fonds crédit à taux variable.C’est en réponse à une demande croissante des investisseurs pour un produit d’investissement, positionné entre les actifs de taux sans risque et les actifs crédits plus risqués, que la société de gestion développe cette solution à faible volatilité structurelle, souligne un communiqué. «La Française Global Floating Rates offre une solution de court-terme aux investisseurs désireux de capter de la performance au-delà des taux sans risque, tout en veillant à la qualité des émetteurs et en se protégeant de la volatilité des taux d’intérêt», a commentéJean-Luc Hivert, global head of investments de La Française AM. La Française Global Floating Rates a pour objectif de générer, sur la période de placement recommandée de 2 ans, une performance nette de frais supérieure à celle de l’Euribor 3 mois plus 150 pdb pour l’action I, grâce à un portefeuille cible (non contractuel) de plus de 100 titres combinant les rendements des titres à taux variable high-yield avec la faible volatilité des titres à taux variable investment grade. La constitution du portefeuille s’appuiera notamment sur les expertises des équipes crédit en matière de high-yield et d’Iivestment grade. La stratégie de gestion vise à capter la prime de risque crédit tout en minimisant la sensibilité au risque de taux, en investissant dans des instruments de dette à taux variables ou fixes «variabilisés». Le fonds peut investir jusqu’à 100% de son actif net dans de la dette privée et/ou dans des titres émis par des États ou assimilés (parapublics, garantis, supra nationaux) à taux fixe, variable ou variabilisé. L’allocation géographique des émetteurs des titres auxquels le fonds pourra être exposé est également flexible, pouvant aller jusqu’à 100% dans des émetteurs de la zone euro ou de l’OCDE, et permettant d’optimiser la diversification du portefeuille. Le fonds peut également investir, ou être exposé jusqu'à 100% dans des titres Investment Grade ; jusqu’à 50% dans des titres High-Yield (à caractère spéculatif) ; jusqu’à 20% dans des titres non notés; jusqu’à 10% dans des obligations perpétuelles (dont des obligations contingents convertibles bonds – CoCos) ; jusqu’à 10% dans d’autres OPCVM.
Amundi New Silk Road investit à la fois dans les entreprises dont l’activité et le chiffre d’affaires sont directement impactés par la Belt and Road initiative, mais aussi dans les sociétés pouvant tirer parti des retombées secondaires et tertiaires des nouvelles routes de la soie notamment dans les secteurs du tourisme ou de l’éducation.
Le gestionnaire d’actifs américain Franklin Templeton a reçu le feu vert de l’AMF pour la commercialisation de sa gamme de fonds alternatifs Ucits domiciliée au Luxembourg en France, a appris NewsManagers.L’agrément a été reçu par la société de gestion en date du 18 octobre 2019. La gamme, lancée le 30 septembre dernier, donne accès à la plateforme de managed accounts de K2 Advisors, société acquise par Franklin Templeton en 2012. Les investisseurs européens ont ainsi accès à des sociétés alternatives offshore à travers des fonds de liquidité quotidienne. Les cinq fonds se trouvant actuellement dans cettegamme Ucits sont : Franklin K2 Ellington Stuctured Credit, Franklin K2 Chilton Equity Long Short, Franklin K2 Bardin Hill Arbitrage, Franklin K2 Wellington Technology Long Short et Franklin K2 Electron Global. La plateforme caïmanaise de K2 Advisors comprend 23 fonds mais il n’est pas envisagé pour l’heure que tous soient proposés au format Ucits.
Les ETF et ETP à l’échelle mondiale ont enregistré des souscriptions nettes de 77,17 milliards de dollars en septembre, selon ETFGI. Cela porte la collecte depuis le début de l’année à 350,25 milliards de dollars, ce qui est équivalent aux 351,09 milliards drainés sur la période correspondante de l’an dernier. En conséquence, les actifs investis dans le secteur mondial des ETF et ETP ont augmenté de 2,6 % à 5.780 milliards de dollars fin septembre, soit un nouveau record. La collecte a été de 23,4 milliards de dollars sur les ETF et ETP obligataires. La collecte sur ce segment depuis le début de l’année se monte à 171,53 milliards de dollars, ce qui est bien supérieur aux 74,13 milliards de dollars de la période correspondante de 2018. Sur les ETF et ETP actions, la collecte a été de 45,88 milliards de dollars en septembre, portant la collecte depuis le début de l’année à 134,9 milliards de dollars, soit moins que les 250,91 milliards de dollars de l’année dernière. L’ETF ayant le plus collecté en septembre est le SPDR S&P500 ETF Trust, qui a drainé 8,6 milliards de dollars, devant le iShares Russell 2000 ETF, qui a attiré 3,7 milliards de dollars et le Vanguard Total Stock Market ETF, avec 2,9 milliards de dollars. Fin septembre, le secteur se composait de 7.797 ETF et ETP de 422 fournisseurs sur 69 Bourses dans 58 pays.
Les encours des fonds domiciliés en France (OPC) ont très légèrement reculé au mois d’août 2019, selon les données de la Banque de France et de l’Association Française de la Gestion Financière (AFG). Au total, les gérants hexagonaux géraient à fin août 1.950 milliards d’euros, soit 1,3 milliard de moins qu’en juillet. Néanmoins, depuis le début de l’année, la progression demeure largement positive, à +137,8 milliards d’euros. Dans le détail, les fonds actions (311 milliards d’euros d’encours) ont provoqué la grande majorité de la baisse, avec -5,1 milliards d’euros. Ils ont été accompagnés dans ce mouvement par les fonds à formule (20,6 milliards d’encours), avec -2,5 milliards. A l’inverse, l’encours global des fonds monétaires (354,3 milliards d’encours) a augmenté de 6,6 milliards d’euros. Les autres catégories de fonds ont vécu des variations très modérés de leurs encours. En matière de souscription, les fonds actions ont décollecté de 0,5 milliard d’euros, une tendance négative qu’ont également subi les fonds obligataires (-1,5 milliard) et les fonds à formule (-2,4 milliards). La collecte nette positive du secteur est sauvée par les fonds monétaires (+6,7 milliards) et les fonds diversifiés (+1,5 milliard). Au total, la collecte nette totale du mois s'élève à 3,7 milliards d’euros.
Après Generali, Allianz et Aviva, André Renaudin, directeur général d'AG2R La Mondiale, indique que son groupe ne pourra pas continuer à servir les mêmes taux de 1,60 à 1,80% sans changements.
Janus Henderson Investors a obtenu le label ISR français pour le fonds Janus Henderson Horizon Global Sustainable Equity, géré par Hamish Chamberlayne. Lancé en mai 2019 pour satisfaire les besoins de la clientèle d’Europe continentale par rapport aux questions liées au Brexit sur le fonds de droit anglais, le fonds de droit Luxembourgeois Janus Henderson Horizon Global Sustainable Equity compte plus de 200 millions de dollars d’encours sous gestion, et plus d’un milliard de dollar pour la stratégie au global. La stratégie vise à surperformer le marché à long-terme en créant un portefeuille d’actions internationales, tout d’abord en ayant des critères strictes d’exclusion (comme les armes, le tabac ou encore les énergies fossiles) puis en investissant dans 50 à 70 sociétés selon cinq thèmes environnementaux (efficience, énergie verte, gestion de l’eau, services environnementaux et transports écologiques) et cinq thèmes sociaux(accès à la propriété et aux services financiers, sécurité, qualité de vie, éducation et technologie, puis santé).
La prolongation de la crise politique à Hong Kong commence à se faire sentir au sein de l’industrie de la gestion d’actifs locale. Les retraits nets d’encours ont atteint un montant record de 1 milliard de dollars chez les hedge funds au troisième trimestre. Un niveau qui n’avait plus été atteint depuis 2009, selon le fournisseur de données Eurekahedge. Les hedge funds gérant moins de 500 millions de dollars d’encours sont ceux qui ont subis la majeure partie de la décollecte. Néanmoins, les encours totaux ont progressé à 92 milliards de dollars, portés par un effet marché, principalement généré par les plus gros fonds.
Le spécialiste de la croissance des PME Idinvest Partners a annoncé ce 17 octobre le closing final de son fonds d’investissement Idinvest Digital Fund III à 350 millions d’euros, dépassant ainsi l’objectif initial de collecte fixé à 300 millions d’euros. Le fonds a été très recherché, notamment par de nombreux investisseurs du fonds précédent qui ont multiplié par deux leur engagement dans ce nouveau véhicule. Idinvest Digital Fund III a également séduit de nombreux nouveaux LPs d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et d’Amérique du Nord. À date, 85 millions d’euros ont d’ores et déjà été investis dans 15 entreprises européennes innovantes en forte croissance du secteur du digital, soit 24% du total engagé. Parmi elles, les sociétés Acinq, Kactus, October, Malt Community, Ornikar, Meero ou encore TeleClinic, qui inventent l'économie de demain dans différents secteurs du numérique : logiciels pour les entreprises, Fintech et Assurtech, Deeptech (intelligence artificielle, big data, réalité virtuelle, Internet des objets, cyber sécurité) et digital appliqué à la santé.
Amundi a annoncé ce 17 octobre le lancement de deux nouveaux ETF thématiques: Amundi Smart City UCITS ETF et Amundi Smart Factory UCITS ETF. Confrontées à une urbanisation croissante, qui verra d’ici 2050 les deux tiers de la population mondiale vivre dans des zones urbaines, les villes vont devoir s’adapter pour gérer de façon «intelligente» les défis auxquels elles sont confrontées. Les nouvelles technologies vont permettre aux villes devenues «villes intelligentes» d’améliorer la qualité de vie des citoyens en proposant des services mieux coordonnés, et plus efficients sur le plan économique et environnemental. Pour permettre aux investisseurs de bénéficier du potentiel économique qu’offrent ces villes du futur, six secteurs représentant différents aspects clés des villes «intelligentes» ont été sélectionnés pour l’ETF Smart City: les infrastructures urbaines, la domotique, l’e-commerce, la santé, les loisirs, les nouvelles technologies. Cet ETF, ainsi construit, rassemble près de 208 valeurs réparties sur ces 6 secteurs. Les nouvelles technologies révolutionnent aussi les processus de production en donnant naissance à une industrie 4.0, plus agile, plus efficace et plus compétitive. Pour la construction de l’ETF Smart Factory, Amundi a sélectionné un indice de 252titres répartis sur cinq secteurs clés de cette révolution technologique, conduisant à une nouvelle façon d’organiser les moyens de production: la robotique avancée, le cloud computing et le big data, la cybersécurité, la réalité augmentée et l’impression 3D, ainsi que l’internet des objets («IoT»). En privilégiant la diversification, les nouveaux ETF d’Amundi couvrent à la fois les marchés développés et émergents, et utilisent une approche multisectorielle qui permet de conjuguer plusieurs expositions thématiques. Les deux ETF répliquent des indices Solactive. Les nouveaux ETF sont cotés sur Euronext Paris et Amsterdam, et bénéficient tous les deux de frais à 0,35%.
Le gestionnaire de fonds immobiliers Sofidy a annoncé ce 17 octobrel’acquisition auprès de Redtree Capital de l’immeuble de bureau «Helys» à Suresnes (92), pour le compte des épargnants de ses SCPI historiques Immorente et Efimmo 1, de l’OPCI SOFIDY Pierre Europe et de la société civile SOFIDY Convictions Immobilières. L’immeuble, certifié HQE et situé au 1/3 Quai Marcel Dassault à Suresnes, a été construit en 2005. Les 21.650 m2 de bureaux et 2.400 m2 de terrasse qui le composent se répartissent sur quatreétages et deuxniveaux en sous-sol. L’intégralité des surfaces est louée pour une durée résiduelle ferme de plus de sixans à trois sociétésexerçant leur activité dans l’industrie parapétrolière, le nettoyage professionnel et les télécoms. «Le prix de l’immobilier de bureaux, encore inférieur à celui de l’immobilier résidentiel dans ce secteur, associé à l’appétence des entreprises pour les immeubles en bordure de Seine, ainsi que la faible exposition de ces immeubles aux cycles de marché, ont conforté notre idée qu’il s’agissait d’un investissement de qualité pour nos épargnants», a commentéOlivier Loussouarn, Directeur des Investissements chez Sofidy. La transaction a été réalisée par le département investissement d’Arthur Loyddans le cadre d’un mandat co-exclusif avec CBRE. L’acquéreur était conseillé par Maître Duparc de l’Etude R&D Notaires, Maître Santoni du Cabinet Racine, Maître Lemercier et Maître Delaunay du Cabinet Gide et la société Elanpour la partie technique. Le financement a été réalisé par la banque Berlin Hyp, conseillée par l’Etude Allez et le cabinet Fieldfisher. Le vendeur a été conseillé par l’Etude des Notaires Associés de Meudon.
Augustin de Romanet, Président de Paris Europlace, a annoncé ce 17 octobrela nomination de Thierry Déau, au poste de Président de Finance for Tomorrow ainsi que l’arrivée de Jean-Jacques Barbéris au sein du bureau en tant que membre qualifié. Cette nomination a été proposée par le bureau de Finance for Tomorrow dont Pierre Ducret assure la présidence par interim. Thierry Déau, président directeur général et fondateur de Méridiam, prendra ses fonctions à l’occasion du Climate Finance Day qui aura lieu le vendredi 29 novembre 2019. Par ailleurs, Augustin de Romanet a nommé Jean-Jacques Barbéris, Directeur du coverage de la clientèle institutionnelle et corporate et membre du comité exécutif d’Amundi, en tant que membre qualifié pour remplacer Daniel Roy, démissionnaire. Lancée en 2017, Finance for Tomorrow est la branche de Paris Europlace qui fédère les acteurs engagés pour faire de Parisla Place de référence de la finance verte et durable sur le plan international. Finance for Tomorrow réunit l’ensemble des acteurs privés, publics et institutionnels désireux de s’engager pour une finance qui mise sur un avenir durable et conjugue investissement de long terme et prise en compte des défis environnementaux et sociaux. La nomination de Thierry Déau intervient dans un contexte d’accélération des projets menés par Finance for Tomorrow, notamment suite à la déclaration de la place financière de Paris le 2 juillet 2019 pour franchir une nouvelle étape en faveur d’une finance verte et durable. Parmi les principaux chantiers, on compte notamment la création d’un observatoire de suivi des réalisations et des actions des acteurs de la Place financière de Paris en matière de finance verte et durable, la mobilisation pour l’adoption d’une stratégie de désinvestissement du charbon par l’ensemble des acteurs et la tenue de la 5e édition du Climate Finance Day le 29 novembre 2019. Pierre Ducret, Président par intérim de Finance for Tomorrow a déclaré «La nomination de Thierry Déau est une excellente nouvelle. Ardent promoteur de la finance durable, entrepreneur reconnu à l’échelle internationale, sa connaissance des enjeux et sa capacité à mobiliser seront des atouts essentiels pour la place de Paris. L’arrivée de Jean-Jacques Barbéris dans le bureau de Finance for Tomorrow renforcera aussi notre initiative ». Thierry Déau, futur Président de Finance for Tomorrow a ajouté « Je suis honoré d’avoir été nommé Président de Finance for Tomorrowet tiens à remercier Augustin de Romanet pour sa confiance. Avec plus de 70 membres mobilisés en à peine deux ans, Finance for Tomorrow a démontré que la place de Paris répondait présent pour la mobilisation en faveur de la finance durable.Je poursuivrai avec conviction la dynamique impulsée par mes prédécesseurs pour répondre, avec le bureau,aux enjeux combinés de la finance verte etdes défis environnementaux et sociaux».
DeA Capital Alternative Funds SGR lance son deuxième fonds dédié à l’alimentation, Taste of Italy 2, rapporte Il Sole 24 Ore. L’Espagne a été choisie comme pays où réaliser les prochaines acquisitions. Selon le journal italien, le fonds aura un objectif de collecte compris entre 250 et 300 millions d’euros. Il a l’intention de répliquer la stratégie d’investissement jusqu’ici adoptée avec Taste of Italy 1. Ce fonds né en 2015 avait levé 218 millions d’euros. Il s’agissait du premier fonds de private equity spécialisé sur le secteur agroalimentaire en Italie. Pour ce nouveau fonds, DeA Capital Alternative Funds a recruté Leopoldo Reaño à Madrid.
Idinvest Partners a annoncé ce 15 octobre le lancement du FCPR Idinvest Entrepreneurs Club, un véhicule éligible au report d’imposition de la plus-value de cession. Ce fonds est destiné à financer l’expansion des entreprises européennes technologiques et en forte croissance. La loi de finance 2019 a rendu les fonds d’investissement éligibles au dispositif de remploi dans le cadre de l’apport cession prévu à l’article 150-0 B-Ter du code général des impôts. Il permet aux entrepreneurs cédant une participation dans leur entreprise de bénéficier d’un report d’imposition de leur plus-value lorsqu’ils réinvestissent 60% du prix de cession dans des actifs éligibles. Le FCPR, destiné aux investisseurs particuliers, est éligible à ce dispositif pour les cessions de participations réalisées à compter du 1er janvier 2019. Idinvest Entrepreneurs Club sera intégré dans un programme d’investissement de 1 milliards d’euros aux côtés du fonds Eurazeo Growth Fund III, réservé aux investisseurs institutionnels. Les deux véhicules co-investiront aux mêmes conditions financières dans les mêmes transactions. L’objectif de ce programme est de financer en capital des entreprises non cotées de technologie, européennes, et en forte croissance.