Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Les volumes d’émission de corporates en Europe devraient, selon Scope, rester solides en 2024 et 2025, autour des 20 milliards d’euros atteints en 2023.
Après la forte volatilité sur les taux qui a régné sur les marchés depuis 2020, la couverture de ce risque par les entreprises a montré son utilité à condition qu'elle soit bien utilisée. L'évolution des marchés est aujourd'hui plus favorable et peut conduire des sociétés à faire l'impasse sur ces stratégies d'assurance, mais il peut être dangereux de s'en exempter totalement.
L’opération, qui porte sur une tranche mezzanine d’un montant de 106 millions d’euros garanti par la BEI, permet de libérer 425 millions de nouveaux financements.
Le spécialiste des réseaux de chaleur, détenu par Antin Infrastructure, réalise un refinancement majeur de 1,7 milliard d'euros pour accélérer sa croissance et la décarbonation du secteur.
Cette fintech fondée en 2020 a su tirer bénéfice de l’engouement pour le commerce en ligne en finançant les vendeurs dans l’attente de leurs versements par les marketplaces.
La fintech spécialisée dans le financement basé sur l’activité des e-commerçants obtient également une enveloppe de 100 millions d’euros pour se développer.
En améliorant son résultat d’exploitation de 2 milliards d’euros sur 5 ans, le transporteur compte porter sa marge au-delà de 8% à l’échéance de son plan stratégique.
Après avoir renoncé à une émission obligataire en septembre, le distributeur étend le profil de maturité de ses lignes de crédit non tirées RCF et DDTL.
Le normalisateur comptable international, l'IASB, a proposé fin novembre de revoir le cadre des instruments mêlant actions et dettes. Ses propositions, comme les «puts sur minoritaires», pourraient créer de la volatilité dans les résultats.
Au-delà de la création d’entreprises innovantes, le start-up studio Hexa veut aussi accompagner des entreprises sur la voie de la croissance dynamisée.
La Caisse d'amortissement de la dette sociale a présenté un nouveau programme à moyen-long terme de 20 milliards d’euros pour 2024. Ses contraintes augmentent de toutes parts.
Le financement du secteur reste insuffisant pour faire émerger des «taureaux», plus que des licornes, animal imaginaire. Un récent colloque au Sénat s’est penché sur les défis du secteur.
La plateforme issue de La Fabrique du Crédit Agricole a réussi à attirer toutes les banques françaises. Elle souhaite désormais s’imposer comme une place de marché pour la dette bancaire.