Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Le commissaire européen chargé de l’industrie de défense a dévoilé un outil commun de financement des start-up et PME de l’Union européenne dans le domaine de la défense.
Cacib table sur un volume d’émission voisin de 820 milliards d’euros en 2024 contre un peu moins de 800 milliards pour chacun des deux précédents exercices.
Le groupe italien a mené un double placement privé, d’actions et d’obligations seniors convertibles non garanties, pour un total de 1,2 milliard d’euros.
Le président Joe Biden a évoqué «un pas de plus pour éviter une fermeture administrative inutile». Mais les lignes de l’accord ne sont pas très claires.
Après un millésime décevant, l'année 2024 s’annonce plus prometteuse avec nombre de nouveaux candidats à la cote. Pluxee, Ampere, Exosens (ex-Photonis) ou la branche santé grand public de Sanofi, sont sur la rampe de lancement. Gare aux faux départs.
Le géant mondial de l’assurance a lancé de nouvelles obligations dans le cadre de son plan de rachat d’obligations perpétuelles de 1,5 milliard d’euros avant que celles-ci ne perdent leur valeur réglementaire fin 2025.
Les difficultés économiques ont poussé les jeunes britanniques à recourir davantage à la technique du "buy now pay later", révèle une enquête réalisée par une association spécialisée dans l’éducation financière.
Le groupe de services numériques souffle le chaud et le froid. Il ouvre une phase de «due diligence» avec Airbus en vue de lui céder ses activités cybersécurité et big data, tout en requérant un nouveau soutien de ses partenaires bancaires pour garantir sa pérennité financière.
Pas loin d'un tiers des opérations du marché primaire ECM en France ont concerné des «equity-linked» en 2023. Le regain d’intérêt pourrait se poursuivre en 2024, mais il demeure fragile.
Après un nouveau millésime en demi-teinte marqué par un plongeon de 10 % des montants des opérations en fonds propres des entreprises en Europe, les ingrédients en faveur d'un regain de levées de capitaux ne manquent pas. Pour l'heure, la France hérite du bonnet d’âne avec des volumes en recul de 40%.
Les Etats européens devraient emprunter sur les marchés près de 1.270 milliards l'an prochain. En comptabilisant les opérations liées à la réduction du bilan de la BCE, le montant des émissions nettes devrait être battu.