Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Au vu de l'amélioration des conditions financières, il est de plus en plus probable que l’institution avance avant la fin 2024 les non-réinvestissements liés à son programme d’achats d’urgence (PEPP).
Le groupe français d’électroménager a levé 650 millions d’euros par placement privé de droit allemand, plus du triple des montants visés. Il s'agit du seul émetteur français sur ce marché cette année.
La société fondée par Elon Musk a contacté des investisseurs au sujet d'une offre de cessions d'actions existantes qui valoriserait l'entreprise spatiale plus de 175 milliards de dollars.
Le directeur général, Guillaume Faury, est favorable à l’octroi par les Etats européens de prêts remboursables à partir d’un certain niveau de commandes.
Le groupe de marketing digital invite ses créanciers obligataires à attendre le 30 janvier 2024 pour être payés. Il leur demande aussi, comme à ses créanciers bancaires, de renoncer aux covenants à fin 2023.
Abandonnant son objectif d’un flux de trésorerie équilibré pour 2023, le groupe britannique envisage des cessions d’actifs et l’arrivée d’actionnaires minoritaires.
Invité d’honneur du dîner des Grands Prix de la Gestion d’actifs organisé par L’Agefi, le directeur général de Bpifrance a répondu aux questions de Nicolas Beytout, président de L’Agefi et de l’Opinion.
L’Union des marchés de capitaux devient une urgence pour la souveraineté financière de l’Europe autant que pour la compétitivité de ses établissements financiers.
L’éditeur de jeux vidéo a émis pour près de 500 millions d’euros de titres. L'effet dilutif de l'opération a toutefois provoqué un sévère recul de l'action en Bourse.
Après avoir créé une quarantaine d’entreprises depuis 2011, l’ex-eFounders veut accélérer son rythme à 30 start-up par an et développer de nouvelles filières en IA et en santé.
La foncière, détentrice d’un patrimoine de 8,7 milliards d’euros, veut discuter avec ses prêteurs pour repousser l’horizon de sa dette au-delà de 2025.
La BCE estime que la hausse des taux pourrait faire augmenter les défauts sur les bureaux et les commerces, remettant en cause le modèle économique prévalant sur ces actifs avant la pandémie.