Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Picard a lancé une série de rencontres avec les investisseurs en vue d’augmenter de 60 millions d’euros sa ligne d’obligations à taux variables d'échéance 2023. Ceci servira à faire remonter un dividende aux actionnaires du groupe de surgelés, Lion Capital (51%) et Aryzta (49%). 20 millions d’euros de cash seront également distribués aux actionnaires. L'émission obligataire est dirigée par Credit Suisse et JPMorgan. A la suite de l’annonce de ce dividend recap, S&P a dégradé la note de la dette de Picard, à B contre B+ auparavant, regrettant que cette opération remette en question la trajectoire de désendettement sur laquelle comptait l’agence de notation.
Picard a lancé une série de rencontres avec les investisseurs en vue d’augmenter de 60 millions d’euros sa ligne d’obligations à taux variables d'échéance 2023. Le produit de cet endettement complémentaire servira à faire remonter un dividende aux actionnaires du groupe de surgelés, Lion Capital (51%) et Aryzta (49%). 20 millions d’euros de cash seront également distribués aux actionnaires. L'émission obligataire est dirigée par Credit Suisse et JPMorgan.
La production de nouveaux crédits à la consommation a progressé sur un an de 1,3% en mars, a rapporté hier l’Association française des sociétés financières (ASF). Sur l’ensemble du premier trimestre, l’activité est en hausse de 3,2% par rapport aux trois premiers mois de 2017. «La phase de redressement du marché enclenchée depuis 2015 se poursuit», constate l’ASF, en pointant une hausse de 3,3% sur douze mois cumulés à fin mars. La plus forte hausse a été enregistrée par les financements d’automobiles d’occasion, avec une progression de 10,1% sur un an en mars. Pour les financements d’automobiles neuves, l’augmentation est de 7,8%, tandis que les prêts personnels ont stagné (-0,4%).
La production de nouveaux crédits à la consommation a progressé sur un an de 1,3% en mars, rapporte l’Association française des sociétés financières (ASF). Sur l’ensemble du premier trimestre, l’activité est en hausse de 3,2% par rapport aux trois premiers mois de 2017. « La phase de redressement du marché enclenchée depuis 2015 se poursuit », constate l’ASF, en pointant une hausse de 3,3% sur douze mois cumulés à fin mars.
Après une nette accélération au quatrième trimestre 2017, la croissance de l’affacturage a ralenti au premier trimestre 2018. Avec 73 milliards d’euros de créances prises en charge au cours des trois premiers mois de l’année, l’activité affiche une hausse de 9% sur un an, contre un bond de 13,5% au quatrième trimestre 2017. A fin mars, la production cumulée sur douze mois atteint 296,6 milliards d’euros, soit une progression sur un an de 8,5%, après une hausse de 8,4% à fin décembre.
La Fédération française de l’assurance et la Caisse des dépôts ont annoncé hier le lancement des fonds de prêts à l’économie Novo 2018. Dotés de plus de 470 millions d’euros, les fonds sont gérés par BNP Paribas Asset Management et Tikehau Investment Management, qui cibleront chacun une vingtaine d’entreprises. Ils accorderont des financements à des PME-ETI non cotées, d’un montant de 10 à 50 millions d’euros, d’une durée de sept ans maximum, avec un remboursement de capital à terme. La durée de vie des véhicules est de dix ans.
La Fédération française de l’assurance et la Caisse des dépôts ont annoncé jeudi le lancement des fonds de prêts à l'économie Novo 2018. Dotés de plus de 470 millions d’euros, les fonds sont gérés par BNP Paribas Asset Management et Tikehau Investment Management qui cibleront chacun une vingtaine d’entreprises. Ils accorderont des financements à des PME-ETI non-cotées d’un montant de 10 à 50 millions d’euros, d’une durée de 7 ans maximum avec un remboursement de capital à terme. La durée de vie des véhicules est de 10 ans.
La société de gestion, l’une des premières à avoir repassé la Manche, investit sur des prêts à la consommation et aux TPE via des plates-formes digitales.
Netflix a annoncé hier qu’il allait revenir sur le marché obligataire en empruntant 1,5 milliard de dollars (1,23 milliard d’euros). Le produit net de l’émission servira à des projets d’ordre général, qui peuvent comprendre des acquisitions et de la production de contenus. Netflix, qui avait déjà emprunté 1,6 milliard de dollars en octobre 2017 à un taux de 4,875% sur dix ans, a dit qu’il comptait investir près de 8 milliards de dollars dans les contenus cette année. Selon le courtier CreditSights, la société pourrait émettre une seule tranche de dette à dix ans et demi, dont le rendement pourrait s’établir entre 5,75% et 6%, selon des discussions préliminaires.
Le promoteur immobilier Pierreval a émis son tout premier Euro PP, pour un montant de 20 millions d’euros. Les obligations paient un coupon de 5,40%, pour une maturité de 5 années. «Ces nouvelles ressources financières permettront au groupe de finaliser la réalisation de ses 255 millions d’euros de réservations nettes (+237% en deux ans) et de mettre en oeuvre les 3.500 lots nets signés sous promesse en 2017», explique le promoteur. Le groupe vise un chiffre d’affaires de 450 millions d’euros d’ici à 2021. L’Euro PP a été arrangé par Oddo BHF.
Netflix a annoncé aujourd’hui qu’il allait revenir sur le marché obligataire en empruntant 1,5 milliard de dollars (1,23 milliard d’euros). Le produit net de l'émission servira à des projets d’ordre général, qui peuvent comprendre des acquisitions et de la production de contenus. Netflix, qui avait déjà emprunté 1,6 milliard de dollars en octobre 2017, a dit qu’il comptait investir près de 8 milliards de dollars dans les contenus cette année.