Les Etats-Unis ont annoncé de nouvelles mesures pour réduire la capacité du Kremlin à tirer des revenus de la vente d’or noir, afin d’inciter le pays à stopper sa guerre en Ukraine.
Cette bonne dynamique n'est pas de nature à inciter la banque centrale américaine à réduire ses taux. Les rendements des obligations souveraines grimpent et les Bourses chutent.
L’Agefi propose une synthèse des perspectives macroéconomiques présentées par les principales banques d’investissement. La croissance américaine fait moins débat que les éventuelles baisses de taux de la Fed, conditionnées par les prochaines mesures de l’administration Trump. Malgré l’incertitude encore élevée, les prévisionnistes convergent pour estimer que les mesures américaines seront moins fortes que redouté.
Les feux continuent à détruire une partie de la ville californienne, forçant des dizaines de milliers de personnes à fuir leur habitation. Avec des dommages supérieurs à 50 milliards, les pertes assurées grimperaient à environ 20 milliards de dollars selon JPMorgan.
Les deux groupes accusent le coup en Bourse. L'armateur COSCO et deux filiales du pétrolier CNOOC sont également concernés par cette liste comptant 134 entreprises.
Des informations de presse ont fait état d'une volonté du nouveau président américain de restreindre les augmentations de taxes douanières. Malgré le démenti de Donald Trump, les marchés actions progressent.
Invoquant des raisons de sécurité nationale, le président américain a décidé d'interdire le rachat d'US Steel par Nippon Steel pour 14,9 milliards de dollars. Il envoie aussi un signal aux investisseurs étrangers qui souhaiteraient mettre la main sur une grande entreprise américaine.
Si la paralysie de l’administration au-delà du 20 décembre a été repoussée jusqu’au 14 mars, le vote au Congrès n’a pas traité le problème du plafond de la dette, dont la suspension prend fin au 31 décembre.
Des acteurs du private equity prennent l'initiative d'exclure les capitaux en provenance de pays considérés comme des adversaires stratégiques des Etats-Unis, Chine en tête.
Le président élu a déclaré que si l’Europe n’augmentait pas ses importations de gaz et de pétrole américains, cela aurait des répercussions sur les droits de douane.
La banque centrale américaine a réduit son loyer de l'argent de 25 points de base, le ramenant dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,5%. Son rythme de baisse pourrait ralentir en 2025.
L'entreprise d'analyse de données et d'intelligence artificielle lève 10 milliards de dollars supplémentaires auprès de plusieurs investisseurs menés par Thrive Capital.
Les investisseurs anticipent une troisième baisse consécutive des taux de la banque centrale américaine cette semaine. Mais les décideurs se tiennent également prêts à ralentir voire à arrêter leur assouplissement avec l’arrivée au pouvoir de l’administration Trump.
L'indice de base, qui exclut les prix volatils de l'alimentation et de l'énergie, a grimpé de 3,3%. Ces hausses étaient anticipées par les économistes.
Après l’euphorie et les craintes suscitées par la victoire du candidat républicain, les marchés semblent plus attentistes que jamais. Les nominations aux postes clés donnent des pistes sur la future politique américaine.