Les actifs non cotés n’ont pas encore fait l’objet de l’ajustement attendu. Les taux de défaut devraient aussi augmenter sur la dette, mais semblent déjà valorisés.
La baisse a été plus forte qu’attendu, à 3% en juin, y compris pour l’inflation sous-jacente, même si le débat sur la fin du resserrement monétaire n’est pas complètement tranché.
Après les chiffres de l'enquête ADP qui ont fait chuter les marchés européens jeudi, les données officielles publiées par le département du Travail américain ont entraîné un franc mais éphémère rebond des actions européennes vendredi.
Les Bourses ont accéléré leur chute après la publication des chiffres de l’emploi aux Etats-Unis. Sur les marchés des taux, le rendement américain à 10 ans bondit à plus de 4%.
Richard Clarida, conseiller économique global de Pimco et ancien vice-président de la Réserve Fédérale, en charge de la politique monétaire (2018-2022), revient pour L’Agefi sur les conclusions du dernier «Forum séculaire» de la société de gestion.
L’administration Biden a dévoilé un ensemble de propositions alternatives visant à limiter, pour les ménages américains, l’impact de la reprise, à l’automne 2023, des remboursements des prêts étudiants.
Les prix ont plus ralenti que prévu en mai aux Etats-Unis. La probabilité de voir la Fed durcir sa politique monétaire diminue à court comme à moyen terme.
Le président Jerome Powell maintiendra une communication ciblée sur l’inflation, tout en sachant que des taux plus élevés augmentent les risques sur le crédit.
Les propositions de «recalibrage» des relations Chine-Europe seront au menu du prochain Conseil européen les 29 et 30 juin. Bien que la rhétorique des discours politiques ne laisse guère de doute sur la guerre commerciale avec la Chine, la globalisation des échanges reste une réalité avec laquelle les Etats doivent composer.
Certains économistes estiment que les nouvelles émissions liées à la suspension du plafond de la dette aux Etats-Unis pourraient avoir le même effet qu’une hausse des taux de la Fed.