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Il ne signale pas encore une récession, mais ne reflète plus du tout la situation de forte tension de mars 2022, au début du cycle de hausse des taux de la Fed.
Le moment est venu pour le président de la Fed, qui s’exprimait au symposium de Jackson Hole, de baisser les taux et de se focaliser sur l’emploi alors que l’inflation est proche de sa cible. Les marchés apprécient.
La forte révision en baisse, quasi historique, des données du marché du travail aux Etats-Unis a augmenté les anticipations d’une baisse de taux d’un demi-point en septembre.
Les deux candidats partagent certaines idées comme la fermeté face à la Chine, la lutte contre l’inflation ou la défense des entreprises américaines mais pas l’approche économique ni les recettes. Le programme de Donald Trump est plus inflationniste. Celui de Kamala Harris, qui sera désignée cette semaine comme candidate démocrate, est dans la continuité de l'administration Biden.
Des statistiques peu rassurantes - parmi lesquelles celles de l’emploi américain, perçues comme un indicateur avancé de récession - ont fait bondir les doutes des marchés. Mais le consensus est resté sur son anticipation d’atterrissage en douceur. Etat des lieux des prévisions économiques aux Etats-Unis, en Europe, au Japon et en Chine.
L’indice des prix à la consommation a progressé moins que prévu en juillet sur un an à 2,9% et ressort en ligne en rythme mensuel (+0,2%). L’inflation core est au plus bas depuis 2021 également mais le rebond des prix des loyers assombrit la publication, avec une certaine hésitation des marchés.
La hausse du taux de chômage a mis en lumière ce calcul statistique qui a prévu toutes les récessions depuis 70 ans aux Etats-Unis. Mais les économistes, qui reconnaissent que le risque a augmenté, estiment que cette fois, c’est différent.
Des créations d’emplois nettement inférieures aux attentes et une hausse du taux de chômage ont clôturé une semaine marquée par la publication de mauvais indicateurs économiques aux Etats-Unis.
Les créations de postes sont ressorties nettement sous les attentes à 114.000 tandis que le taux de chômage augmente contre toute attente, accentuant les craintes sur l’économie américaine.
Après avoir laissé mercredi inchangés ses taux directeurs, la banque centrale américaine entrouvre la porte à une baisse dès septembre. Elle se dit désormais attentive aux risques pour l'emploi et pour l'inflation.
La surperformance économique relative des Etats-Unis par rapport à l'Europe est incontestable, mais l'accent mis sur l'innovation et la productivité élude l'apport de l'immigration. La chronique d'Isabelle Job-Bazille.
Pendant que l'ex-président fait un triomphe à la conférence Bitcoin 2024 en promettant de limoger le patron du gendarme boursier américain, le camp démocrate tente de renouer les liens avec une industrie riche en donateurs.
L’inflation sous-jacente PCE est ressortie vendredi légèrement au-dessus des attentes, mais pour le deuxième mois de suite proche du niveau seuil de 0,17% qui permet de tendre vers l’objectif de 2% en rythme annuel.
Le PIB américain a progressé de 2,8% en rythme trimestriel annualisé au deuxième trimestre, après 1,4% au premier trimestre. Mais un assouplissement monétaire de la Réserve fédérale en septembre reste le pari des marchés.
Les prix pourraient se détendre un peu dans les prochains mois sur les loyers, mais les problèmes structurels et la nouvelle phase monétaire laisse peu de place pour des baisses notables.
Les inquiétudes concernant le commerce entre les Etats-Unis et la Chinepourraient amener les entreprises à anticiper les demandes qui font monter les tarifs de transport maritime.
La nouvelle situation devrait relancer un peu de volatilité à court terme. Mais les investisseurs restent avant tout fixés sur les résultats des entreprises et sur les baisses de taux attendues.
La tentative d’assassinat sur l’ancien président américain a encore augmenté ses chances de remporter les élections en novembre prochain. Une perspective de nature à tendre les taux d’intérêt.