D’après les données des douanes chinoises, les exportations de la Chine ont progressé de +32,2% en rythme annuel en juin, après une croissance de +27,9% en mai, et de +36,7% sur un an. C’est globalement bien plus qu’attendu par les analystes, l’impact de foyers locaux de l’épidémie de coronavirus et de perturbations portuaires ayant été effacé par une demande mondiale solide du fait de l’assouplissement des restrictions sanitaires et du déploiement des vaccins à travers le monde. Les données officielles montrent aussi des importations en hausse (plus lente qu’en mai). L’excédent commercial de la Chine ressort à 51,53 milliards de dollars, contre 45,54 milliards le mois précédent.
L’économie britannique a progressé de +3,6% au cours des trois mois à fin mai, moins que les prévisions du marché qui attendaient plutôt +3,9%. Et ce, malgré la levée des restrictions dans les écoles, les magasins, restaurants et bars.
La Commission européenne (CE) a revu à la hausse mercredi ses prévisions de croissance pour la zone euro cette année et l’an prochain, tout en mettant en garde contre les risques liés aux nouveaux variants du coronavirus. La Commission table désormais sur une croissance de 4,8% du produit intérieur brut (PIB) en 2021, contre 4,3% prévu en mai. Cette révision s’explique principalement par l’impact de la réouverture des économies au deuxième trimestre. Le PIB est désormais attendu en hausse de 6% en France, de 5% en Italie et de 3,6% en Allemagne. Pour 2022, le rebond devrait s’amplifier pour atteindre 4,6% en Allemagne tandis que la croissance reviendrait à 4,2% en France comme en Italie. L’inflation devrait parallèlement atteindre 1,9% cette année dans la zone euro, et 1,4% en 2022.
Le déficit de la balance commerciale de la France a atteint 6,8 milliards d’euros en mai, après 6,3 milliards d’euros en avril, selon les chiffres publiés mercredi par la Direction générale des douanes. Le creusement du déficit par rapport à avril s’explique par une diminution plus marquée des exportations que des importations. Les exportations sont ressorties à 39,4 milliards d’euros, après 40,6 milliards en avril. Les importations se sont établies à 46,2 milliards d’euros, après 46,9 milliards le mois précédent.
Le déficit de la balance commerciale de la France a atteint 6,8 milliards d’euros en mai, après 6,3 milliards d’euros en avril, selon les chiffres publiés mercredi par la Direction générale des douanes. Le creusement du déficit par rapport à avril s’explique par une diminution plus marquée des exportations que des importations. Les exportations sont ressorties à 39,4 milliards d’euros, après 40,6 milliards en avril. Les importations se sont établies à 46,2 milliards d’euros, après 46,9 milliards le mois précédent.
La Commission européenne (CE) a revu à la hausse mercredi ses prévisions de croissance pour la zone euro cette année et l’an prochain, tout en mettant en garde contre les risques liés aux nouveaux variants du coronavirus, susceptibles de contraindre les Etats à de nouvelles restrictions.
Selon des données de l’Office fédéral de la statistique publiées mercredi, la production industrielle allemande a reculé de 0,3% en mai, après une baisse similaire en avril, en raison de la persistance de goulots d'étranglement dans la production de semi-conducteurs, qui continuent de freiner la reprise de la plus grande économie européenne. Le consensus des économistes tablait en moyenne sur une hausse de la production de 0,5% en mai.
Les commandes à l’industrie allemande ont chuté de manière inattendue en mai, montrent les statistiques officielles publiées mardi, en raison d’une demande plus faible des pays extérieurs à la zone euro et d’une diminution des contrats pour les biens d'équipement et les biens intermédiaires. Les commandes à l’industrie ont baissé de 3,7% en mai sur un mois en données ajustées des variations saisonnières, selon Destatis, l’Office fédéral de la statistique. Le consensus anticipait une progression de 1%, après une hausse de 1,2% (révisée) en avril.
L’activité du secteur des services aux Etats-Unis a continué de progresser de manière soutenue en juin, mais à un rythme plus faible que les mois précédents en raison du ralentissement de la demande et des difficultés à embaucher. L’indice ISM des services s’est tassé à 60,1 le mois dernier, après un record historique de 64 en mai, a indiqué l’Institute for Supply Management. L’indice, qui signale une expansion de l’activité lorsqu’il est supérieur à 50, était attendu à 63 par le consensus du Wall Street Journal. En juin, le sous-indice des conditions actuelles a ralenti à 60,4 contre 66,2 le mois précédent, tandis que celui de l’emploi est pour sa part tombé à 49,3, contre 55,3 le mois précédent.
La dette totale a augmenté de 10% en 2020 mais reste en grande partie dans les bilans des entreprises. Cette trésorerie devrait être redéployée cette année, selon une étude de Janus Henderson.
Les commandes à l’industrie allemande ont chuté de manière inattendue en mai, montrent les statistiques officielles publiées mardi, en raison d’une demande plus faible des pays extérieurs à la zone euro et d’une diminution des contrats pour les biens d'équipement et les biens intermédiaires. Les commandes à l’industrie ont baissé de 3,7% en mai sur un mois en données ajustées des variations saisonnières, selon les données de Destatis, l’Office fédéral de la statistique. Le consensus anticipait une progression de 1%, après une hausse de 1,2% (révisée) en avril.
Le sentiment des investisseurs en Allemagne reste à un niveau très élevé en juillet malgré une détérioration plus marquée qu’attendu, montre mardi l’enquête mensuelle de l’institut ZEW. Son indice du sentiment économique, calculé sur la base d’un sondage auprès d’investisseurs, a reculé à 63,3 après 79,8 en juin alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre en baisse à 75,2.
Les ventes au détail dans la zone euro ont augmenté plus que prévu en mai. Elles ont progressé de 4,6% par rapport à avril et de 9% sur un an (après une baisse de 3,9% en avril en rythme mensuel et un bond de 23,3% sur un an), selon les données publiées ce mardi par Eurostat. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 4,4% et de 8,2% respectivement.
La croissance de l’activité du secteur privé de la zone euro a atteint son rythme le plus soutenu depuis 15 ans en juin, l’assouplissement des restrictions liées à la pandémie ayant redonné des couleurs au secteur des services.
Les marchés financiers prendront connaissance d’une série d’indicateurs la semaine prochaine, alors que les investisseurs scrutent les signes d’un essoufflement de la reprise après le fort rebond du premier semestre dû au relâchement des contraintes sanitaires. Le rapport mensuel sur l’emploi américain publié vendredi a confirmé le dynamisme du marché du travail outre-Atlantique, avec 850.000 créations nettes de postes contre 583.000 en mai. Ce rebond, associé à une progression plus faible que prévu des salaires, pourrait rassurer les marchés à court terme, en dépit des craintes liées à la progression du variant Delta du coronavirus.
Le déficit budgétaire de l’Etat français s'établissait à 118,8 milliards d’euros au 31 mai 2021, contre 117,9 milliards à la même date en 2020, a annoncé vendredi le ministère de l’Action et des Comptes Publics. Les dépenses hors prélèvement sur recettes atteignaient 184,5 milliards d’euros à fin mai, contre 165,5 milliards pour les cinq premiers mois de 2020. A fin mai 2021, les recettes du budget général, nettes des remboursements et dégrèvements, s'établissaient à 107,9 milliards d’euros, contre 96,5 milliards à fin mai 2020.
Les marchés financiers prendront connaissance d’une série d’indicateurs la semaine prochaine, alors que les investisseurs scrutent les signes d’un essoufflement de la reprise après le fort rebond du premier semestre dû au relâchement des contraintes sanitaires.
Le déficit budgétaire de l’Etat français s'établissait à 118,8 milliards d’euros au 31 mai 2021, contre 117,9 milliards à la même date en 2020, a annoncé vendredi le ministère de l’Action et des Comptes Publics. Les dépenses hors prélèvement sur recettes atteignaient 184,5 milliards d’euros à fin mai, contre 165,5 milliards pour les cinq premiers mois de 2020. «Cette augmentation tient principalement aux dépenses engagées par le gouvernement pour répondre à la crise sanitaire et soutenir l'économie», a indiqué le ministère.
A fin 2022, les branches liées au tourisme international enregistreraient un écart de valeur ajoutée supérieur à 8% par rapport à leur trajectoire pré-crise.