Les perspectives économiques en Allemagne se sont détériorées en juin par rapport au mois précédent, selon l’institut de conjoncture allemand ZEW. L’indicateur économique avancé ZEW est ressorti à 79,8 en juin, contre 84,4 le mois dernier. L’indice mesurant le jugement des investisseurs sur la situation économique actuelle de l'économie a en revanche progressé à -9,1 après -40,1 en mai et -27,8 attendu. La production industrielle allemande a en outre reculé de 1% sur un mois, a indiqué mardi Destatis, l’office fédéral de la statistique.
La Banque mondiale a porté mardi sa prévision de croissance mondiale pour cette année à 5,6% afin de prendre en compte l’ampleur des mesures de relance prévues aux Etats-Unis et l’accélération de la reprise en Chine tout en soulignant les risques liés à l’accès « très inégal » aux vaccins contre le Covid-19.
Les perspectives économiques des analystes financiers et des investisseurs institutionnels en Allemagne se sont détériorées en juin par rapport au mois précédent, selon les données publiées mardi par l’institut de conjoncture allemand ZEW. L’indicateur économique avancé ZEW est ressorti à 79,8 en juin, contre 84,4 le mois dernier. Les économistes tablaient en moyenne sur une légère progression de l’indice à 86.
L’économie de la zone euro s’est contractée deux fois moins qu’estimé initialement au premier trimestre grâce à la reconstitution des stocks et à la reprise de l’investissement des entreprises, montrent les chiffres révisés publiés mardi par Eurostat.
La réunion de la Banque centrale européenne (BCE) et les chiffres de l’inflation américaine concentreront cette semaine l’attention des investisseurs, qui cherchent toujours à savoir si la hausse des prix aux Etats-Unis peut conduire à un retrait progressif du soutien monétaire de la Réserve fédérale (Fed). Les investisseurs guetteront jeudi la publication de l’indice des prix à la consommation pour le mois de mai, l’autre baromètre de la Fed, ainsi que la réunion de la BCE, qui devrait notamment débattre du rythme de ses achats mensuels d’actifs. Du côté des entreprises, les sidérurgistes ArcelorMittal et Aperam tiendront mardi leurs assemblées générales. Le fabricant de matériaux semi-conducteurs Soitec présentera ses résultats de l’exercice 2020-2021 mercredi après Bourse.
L'Hexagone devra rassurer sur la reprise économique et préserver son cadre de compétitivité. Les transformations technologiques et environnementales sont clés, indique le rapport 2021 d'EY.
La réunion de la Banque centrale européenne (BCE) et les chiffres de l’inflation américaine concentreront la semaine prochaine l’attention des investisseurs, qui cherchent toujours à savoir si la hausse des prix aux Etats-Unis peut conduire à un retrait progressif du soutien monétaire de la Réserve fédérale (Fed).
Les inscriptions au chômage ont reculé sous la barre des 400.000 aux Etats-Unis la semaine dernière pour la première fois depuis le début de la pandémie de Covid-19, ce qui suggère un redressement du marché du travail malgré une pénurie de main d’oeuvre. Elles ont diminué à 385.000 lors de la semaine au 29 mai, le nombre le plus faible enregistré depuis le 14 mars 2020, contre 405.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 390.000 inscriptions au chômage. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 428.000, là encore au plus bas depuis la mi-mars 2020, contre 458.500 (révisé) la semaine précédente.
Les prix ont moins progressé que prévu en mai en Turquie. L’indice des prix à la consommation a augmenté de 16,59% sur un an, après 17,14% en avril, qui était un plus haut de deux ans. Les économistes anticipaient une nouvelle hausse à 17,25%. Cette forte inflation touche une grande partie de biens et services. L’indice sous-jacent, qui exclut les évolutions plus volatiles des prix de l’énergie ou de l’alimentation, recule également mais reste élevé à 16,99% (17,77% en avril). Ce retrait minime de l’inflation ne devrait pas être un argument suffisant pour que la banque centrale baisse ses taux à court terme, malgré l’insistance du président turc. La hausse des prix reste loin de son objectif de 5%.
L’administration Biden s’apprête à publier un nouveau décret interdisant aux entités américaines d’acheter ou de vendre des actions de 59 entreprises chinoises ayant des liens présumés avec les secteurs de la défense ou des technologies de surveillance. Le département du Trésor va appliquer et mettre à jour «sur une base continue» cette nouvelle liste noire, ont déclaré jeudi de hauts représentants de l’administration. Cette liste remplacera l’actuelle liste du département de la Défense et entrera en vigueur le 2 août, ont-ils précisé. Ce nouveau décret vise à rendre plus viable juridiquement une interdiction similaire décidée par l’ancien président Donald Trump et à souligner la volonté de l’actuelle administration de s’assurer que personne aux Etats-Unis ne finance le complexe industriel militaire de la Chine. En incluant les entreprises du secteur des technologies de surveillance, le nouveau décret élargit la portée des anciennes mesures, ont souligné les représentants.
L’activité des services en zone euro a bondi en mai avec l’assouplissement des mesures de restriction sanitaires dans plusieurs pays, montraient jeudi les résultats définitifs des enquêtes d’IHS Markit. L’indice PMI services a atteint son plus haut niveau depuis près de trois ans, à 55,2 en mai, après 50,5 en avril. L’indice PMI composite, qui combine les services et l’industrie manufacturière, atteint 57,1 en mai après 53,8 en avril, son meilleur niveau depuis février 2018.
Les prix ont moins progressé que prévu en mai en Turquie. L’indice des prix à la consommation a augmenté de 16,59% sur un an, après 17,14% en avril, qui était un plus haut de deux ans. Les économistes anticipaient une nouvelle hausse à 17,25%.
Les inscriptions au chômage ont reculé sous la barre des 400.000 aux Etats-Unis la semaine dernière pour la première fois depuis le début de la pandémie de Covid-19, ce qui suggère un redressement du marché du travail malgré une pénurie de main d’oeuvre. Elles ont diminué à 385.000 lors de la semaine au 29 mai, le nombre le plus faible enregistré depuis le 14 mars 2020, contre 405.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 390.000 inscriptions au chômage.
L’activité des services en zone euro a bondi en mai avec l’assouplissement des mesures de restriction sanitaires dans plusieurs pays, montrent les résultats définitifs des enquêtes d’IHS Markit.
Le nombre de demandeurs d’emploi en Allemagne a reculé en mai de 15.000 à 2.739 millions de personnes en données corrigées, contre un consensus sur une baisse de 9.000. Le taux de chômage reste inchangé pour le cinquième mois consécutif à 6,0%, selon les statistiques publiées mardi. «Il y a les premiers signes d’une amélioration globale du marché du travail en mai. L’impact de la crise du coronavirus est encore très clairement visible, mais s’amoindrit un peu», a déclaré le directeur de l’Office fédéral du travail.
L’activité du secteur manufacturier dans la zone euro s’est de nouveau accélérée en mai à un rythme de croissance sans précédent, montrent les résultats définitifs des enquêtes d’IHS Markit. Ce mouvement s’accompagne d’une hausse record des prix d’achat. L’indice PMI manufacturier a atteint 63,1 après 62,9 en avril, dépassant l’estimation initiale de 62,8. Il s’agit du chiffre le plus élevé enregistré depuis la création de l’enquête en juin 1997. La croissance de l’activité de l’industrie manufacturière italienne a atteint un rythme sans précédent en mai, son onzième mois consécutif d’expansion.
Le nombre de demandeurs d’emploi en Allemagne a reculé en mai de 15.000 à 2.739 millions de personnes en données corrigées des variations saisonnières, alors que les économistes prévoyaient en moyenne une baisse de 9.000. Le taux de chômage reste inchangé pour le cinquième mois consécutif à 6,0%, selon les statistiques publiées mardi. «Il y a les premiers signes d’une amélioration globale du marché du travail en mai. L’impact de la crise du coronavirus est encore très clairement visible, mais s’amoindrit un peu» a déclaré le directeur de l’Office fédéral du travail, Detlef Scheele.
L’activité du secteur manufacturier dans la zone euro s’est de nouveau accélérée en mai à un rythme de croissance sans précédent, montrent les résultats définitifs des enquêtes d’IHS Markit. Ce mouvement s’accompagne d’une hausse record des prix d’achat.
L’inflation dans la zone euro s’est une nouvelle fois accélérée en mai, toujours en raison de la nette progression des prix de l'énergie, et dépasse désormais l’objectif que s’est fixé la Banque centrale européenne (BCE).