L'économie française devrait croître en 2021 de 6,7%, a dit mercredi François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France qui tablait précédemment sur une croissance de 6,3%. François Villeroy de Galhau, qui est membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), a également indiqué que l’inflation devrait baisser en France et passer sous les 2% d’ici fin 2022. Cette nouvelle prévision de croissance de la Banque de France est supérieure à celle du gouvernement qui voit l'économie progresser de 6,25% cette année.
L'économie française devrait croître en 2021 de 6,7%, a dit mercredi François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France qui tablait précédemment sur une croissance de 6,3%.
L’économie japonaise s’est contractée un peu plus rapidement que prévu au troisième trimestre, reculant de -3,6% en rythme annuel de juillet à septembre, là où les données publiées mercredi par le Bureau du Cabinet anticipaient une contraction de -3%. La forte augmentation des cas de covid-19 a porté un coup dur à la consommation privée, qui représente plus de la moitié du PIB (-1,3%), et la pénurie mondiale de puces électroniques a touché les entreprises.
Le moral des investisseurs en Allemagne s’est dégradé ces dernières semaines dans un contexte dominé par la recrudescence des cas de Covid-19 et la persistance des goulets d'étranglement dans l’industrie mais moins que prévu par les économistes. L’indice ZEW du sentiment des investisseurs a reculé à 29,9 en décembre après 31,7 en novembre alors que le consensus prévoyait un recul à 25,1. Le sous-indice du jugement des investisseurs sur la situation actuelle a chuté à -7,4 après 12,5.
Le moral des investisseurs en Allemagne s’est dégradé ces dernières semaines dans un contexte dominé par la recrudescence des cas de Covid-19 et la persistance des goulets d'étranglement dans l’industrie mais moins que prévu par les économistes.
La production industrielle allemande a augmenté plus que prévu en octobre malgré la persistance des goulots d'étranglement dans l’approvisionnement en matières premières et en biens intermédiaires.
L’activité des entreprises de la zone euro a accéléré en novembre mais ce rebond pourrait être temporaire. La croissance de la demande a déjà commencé à s’affaiblir et les craintes liées au variant Omicron du coronavirus pèsent sur la confiance.
L’hiver s’installe. Et pourtant Citéco nous convie à une leçon de surf. Pas à Malibu mais dans son auditorium parisien. Les Surfeurs de l’Economie, tel est en effet le titre de la création théâtrale de la Cité de l’économie avec la compagnie Les Barbares. Un spectacle, conçu et mis en scène par Jérémie Lebreton alias Sevkett, qui nous transporte par l’entremise de deux jeunes professeurs exaltés au fil de l’histoire de la pensée économique, aux côtés d’Aristote et de Platon, et jusqu’à John Maynard Keynes. Ce voyage est proposé en avant-première le dimanche 19 décembre, et le temps de trois week-ends fin janvier-début février. Tout public à partir de 15 ans, avec un plein tarif à 10 euros. Tout le monde est parti surfer, surfer à Citéco.
Les perspectives de l’économie mondiale continuent de s’améliorer, mais la reprise reste déséquilibrée et menacée par les poussées inflationnistes qui pourraient s’avérer plus durables et plus importantes que prévu, observe l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un rapport publié mercredi. L’OCDE table désormais sur une croissance de +5,6% de l’économie mondiale cette année, avant un ralentissement progressif à +4,5% en 2022 puis +3,2% en 2023. Elle pense que le rebond de l’inflation sera transitoire, et qu’elle devrait refluer à mesure que la demande et la production reviendra à la normale.
Les ventes au détail ont baissé de 0,3% d’un mois sur l’autre en octobre en Allemagne, après une baisse (révisée) de 1,9% en septembre, et des attentes de marché qui tablaient sur une augmentation de 1,0%, selon les statistiques publiées mercredi par l’office fédaral de statistiques Destatis. Sur une base annuelle, le commerce de détail a chuté de 2,9% en octobre. Alors que les goulots d’étranglement continuent de bloquer l’offre, les ventes d’aliments, boissons et tabac ont diminué de 0,7%, tandis que le commerce non alimentaire a augmenté de 0,6% grâce aux textiles, vêtements, chaussures et articles en cuir (5,4%). Le e-commerce a progressé de 4,9%.
Les ventes au détail ont baissé de 0,3% d’un mois sur l’autre en octobre en Allemagne, après une baisse (révisée) de 1,9% en septembre, et des attentes de marché qui tablaient sur une augmentation de 1,0%, selon les statistiques publiées mercredi par l’office fédaral de statistiques Destatis. Sur une base annuelle, le commerce de détail a chuté de 2,9% en octobre.
Les perspectives de l’économie mondiale continuent de s’améliorer, mais la reprise reste déséquilibrée et menacée par les poussées inflationnistes qui pourraient s’avérer plus durables et plus importantes que prévu, observe l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un rapport publié mercredi. L’OCDE table désormais sur une croissance de +5,6% de l’économie mondiale cette année, avant un ralentissement progressif à +4,5% en 2022 puis +3,2% en 2023.
La croissance de l’activité manufacturière en zone euro a légèrement accéléré en novembre selon les indices définitifs publiés mercredi par IHS Markit après enquête auprès des directeurs d’achats. Mais les goulets dans la chaîne d’approvisionnement se sont aggravés, limitant la production et faisant grimper les coûts. L’indice PMI du secteur est remonté à 58,4 en novembre, après 58,3 en octobre (58,6 en estimation «flash»). Un indice mesurant la production, considéré comme un bon guide de la santé économique, a augmenté à 53,8, après 53,3 en octobre.
L’activité manufacturière en Chine a progressé de manière inattendue en novembre alors que les pressions sur les chaînes d’approvisionnement se sont atténuées et que les restrictions électriques ont été assouplies. Il s’agit de sa première hausse depuis août, un soulagement pour un secteur faisant face à une hausse des coûts des matières premières. Selon le Bureau national de la statistique (BNS), l’indice PMI manufacturier s’est établi à 50,1 en novembre, contre 49,2 le mois précédent, soit en zone de contraction (sous 50), alors que les analystes attendaient un rebond moins marqué (49,6).
Le taux d’incidence du Covid-19 a très légèrement baissé pour la première fois en trois semaines en Allemagne, selon les données publiées mardi par l’Institut Robert-Koch (IRB). Il s’établit désormais à 452 cas en moyenne sur sept jours pour 100.000 habitants. Face à la flambée des infections, qui génère un afflux de patients dans les hôpitaux, les autorités allemandes ont imposé des restrictions aux personnes non vaccinées et entrepris d’accélérer la campagne de rappel vaccinal pour les autres (68% de la population). Angela Merkel et son successeur désigné à la chancellerie Olaf Scholz doivent discuter avec les dirigeants des Länder de l’évolution de la crise sanitaire, sur fond d’apparition du nouveau variant Omicron, déjà détecté en Allemagne. Ailleurs en Europe, la situation devient préoccupante en Slovaquie (1.431 cas pour 100.000 habitants), Belgique (1.096), Tchéquie (1.067), aux Pays-Bas (911), Croatie (795), Slovénie (785) et Hongrie (735). Elle s’est améliorée en Autriche avec le confinement débuté la semaine dernière (904), mais progresse presque partout ailleurs : 609 en Irlande, 583 en Suisse, 515 au Danemark er 320 en France.
L’activité manufacturière en Chine a progressé de manière inattendue en novembre alors que les pressions sur les chaînes d’approvisionnement se sont atténuées et que les restrictions électriques ont été assouplies. Il s’agit de sa première hausse depuis août, un soulagement pour un secteur faisant face à une hausse des coûts des matières premières.