La Banque d’Espagne a révisé en baisse vendredi ses prévisions de croissance pour cette année et l’année prochaine. La reprise économique a ralenti au quatrième trimestre, le pays étant touché par les goulets d'étranglement de la chaîne d’approvisionnement, la hausse de l’inflation et une nouvelle vague de contagion au Covid-19, explique cette dernière. Après une chute record de 10,8 % l’année dernière, la Banque d’Espagne s’attend désormais à ce que le produit intérieur brut (PIB) augmente de 4,5 % en 2021, en baisse par rapport à son estimation de 6,3 % en septembre. La croissance devrait s’accélérer à 5,4% en 2022.
Les goulets d'étranglement dans les chaînes d’approvisionnement et les nouvelles restrictions contre la pandémie de Covid-19 vont peser sur l'économie en Allemagne en début d’année prochaine, a annoncé vendredi la Bundesbank. Celle-ci prévoit désormais une hausse de 4,2% du produit intérieur brut (PIB) en 2022, contre 5,2% attendu il y a six mois et 4,6% prévu par la Commission européenne. Pour 2023, la banque centrale a en revanche relevé sa prévision de croissance à 3,2% contre 1,7% en juin, ce qui suggère que l’expansion économique sera seulement retardée. Concernant l’inflation, sa prévision est fixée à 3,6% pour 2022, et 2,2% pour 2023 et 2024.
La Banque d’Espagne a révisé en baisse vendredi ses prévisions de croissance pour cette année et l’année prochaine. La reprise économique a ralenti au quatrième trimestre, le pays étant touché par les goulets d'étranglement de la chaîne d’approvisionnement, la hausse de l’inflation et une nouvelle vague de contagion au Covid-19, explique cette dernière.
Les goulets d'étranglement dans les chaînes d’approvisionnement et les nouvelles restrictions contre la pandémie de Covid-19 vont peser sur l'économie en Allemagne en début d’année prochaine, a annoncé vendredi la Bundesbank. Celle-ci prévoit désormais une hausse de 4,2% du produit intérieur brut (PIB) en 2022, contre 5,2% attendu il y a six mois et 4,6% prévu par la Commission européenne. Pour 2023, la banque centrale a en revanche relevé sa prévision de croissance à 3,2% contre 1,7% en juin, ce qui suggère que l’expansion économique sera seulement retardée.
La croissance de l’activité du secteur privé de la zone euro a ralenti, en particulier dans les services, en raison du rétablissement des restrictions face à l’augmentation des cas de Covid-19 et aux craintes liées au variant Omicron, selon l’enquête préliminaire IHS Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI composite a reculé davantage que prévu, à 53,4 en décembre, après 55,4 en novembre. L’indice PMI des services «flash» a atteint un creux de huit mois, passant de 55,9 à 53,3, et l’indice PMI manufacturier à un plus bas en dix mois, de 58,4 à à 58,0. En Allemagne, l’indice PMI composite a chuté à 50,0 en décembre, après 52,2 en novembre. En France, il a reculé à 55,6 en décembre, après 56,1 en novembre.
La croissance de l’activité du secteur privé de la zone euro a ralenti, en particulier dans les services, en raison du rétablissement des restrictions face à l’augmentation des cas de covid-19 et aux craintes liées au variant Omicron, selon l’enquête préliminaire d’IHS Markit auprès des directeurs d’achats.
Les ventes au détail ont augmenté de 3,9% en novembre par rapport à l’année précédente, montrent des données officielles publiées mercredi, alors que les analystes s’attendaient à une croissance de 4,6%, après une progression de 4,9% en octobre.
Les goulets d'étranglement qui continuent de perturber les chaînes d’approvisionnement et la quatrième vague de l'épidémie de Covid-19 en Allemagne retardent la reprise de la première économie d’Europe, a déclaré mardi l’institut d'études économiques Ifo. Il table désormais sur une contraction du produit intérieur brut (PIB) de 0,5% sur les trois derniers mois de cette année et une stagnation sur janvier-mars. Sur l’ensemble de 2022, la croissance devrait donc être limitée à 3,7% alors que l’Ifo tablait en septembre sur une hausse de 5,1%. L’institut a revanche relevé sa prévision de croissance pour 2023 à 2,9% contre 1,5% auparavant et confirmé sa prévision de 2,5% pour l’ensemble de 2021.
Les prix à la production aux Etats-Unis ont augmenté davantage que prévu en novembre, de 0,8% sur un mois, contre 0,6% en octobre, selon les chiffres publiés mardi par le département du Travail. L’indice de base, qui exclut les prix de l'énergie et de l’alimentation, a progressé de 0,7% sur un mois en novembre. Le consensus Dow Jones s’attendait à une hausse de 0,5% pour l’indice global et à une progression de 0,4% pour l’indice de base en novembre. Sur un an, les prix à la production ont augmenté de 9,6% le mois dernier, après une hausse de 8,8% en octobre.
Alors que la France a globalement retrouvé son niveau d’activité d’avant-crise au troisième trimestre 2021, les points de vigilance se sont désormais accrus, qu’il s’agisse des tensions inflationnistes ou de l’incertitude sanitaire, relève mardi l’Insee dans sa dernière note de conjoncture.
Les prix à la production aux Etats-Unis ont augmenté davantage que prévu en novembre, de 0,8% sur un mois, contre 0,6% en octobre, selon les chiffres publiés mardi par le département du Travail.
Les goulets d'étranglement qui continuent de perturber les chaînes d’approvisionnement et la quatrième vague de l'épidémie de Covid-19 en Allemagne retardent la reprise de la première économie d’Europe, a déclaré mardi l’institut d'études économiques Ifo. L’institut table désormais sur une contraction du produit intérieur brut (PIB) de 0,5% sur les trois derniers mois de cette année et une stagnation sur janvier-mars. Sur l’ensemble de 2022, la croissance devrait donc être limitée à 3,7% alors que l’Ifo tablait en septembre sur une hausse de 5,1%.
L’économie britannique a progressé de +0,9% au troisième trimestre, sous le 1,3% du trimestre précédent, et légèrement en-dessous des prévisions du marché (+1%), selon l’Office for national statistics (ONS).
Les exportations allemandes ont augmenté plus que prévu en octobre, malgré la persistance de goulots d'étranglement dans les chaînes d’approvisionnement. Elles ont progressé de 4,1% en données ajustées, selon Destatis. Une croissance nettement supérieure aux attentes des économistes (+0,9%). Les importations ont également augmenté bien plus qu’attendu (+0,4%), avec une croissance de 5% contre une hausse de 0,4% (révisé) le mois précédent. Au total, l’Allemagne a dégagé sur le mois d’octobre un excédent commercial de 12,5 milliards d’euros, contre 12,9 milliards d’euros (révisé) en septembre.
Les prix à la production en Chine ont augmenté de 12,9% par rapport à l’année précédente en novembre, sous l’effet des mesures prises par le gouvernement pour lutter contre la flambée des prix des produits de base et l’atténuation de la pénurie d'électricité, dans le cadre des efforts déployés par Pékin pour soutenir l'économie.
Le gouvernement réfléchit à des mesures supplémentaires pour freiner l’effet de la forte hausse des prix de marché de l’électricité sur les consommateurs français, a indiqué jeudi une source au sein de l’exécutif citée par Reuters.
Les exportations allemandes ont augmenté plus que prévu en octobre, malgré la persistance de goulots d'étranglement dans les chaînes d’approvisionnement.
L’économie japonaise s’est contractée un peu plus rapidement que prévu au troisième trimestre, reculant de -3,6% en rythme annuel de juillet à septembre, là où les données publiées mercredi par le Bureau du Cabinet anticipaient une contraction de -3%. La forte augmentation des cas de covid-19 a porté un coup dur à la consommation privée, qui représente plus de la moitié du PIB (-1,3%), et la pénurie mondiale de puces électroniques a touché les entreprises.