La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a exhorté ses homologues des principaux pays industrialisés à soutenir la création d’un nouveau fonds de la Banque mondiale destiné à prévenir et à se préparer aux futures crises sanitaires mondiales.
Le Chips Act, vaste plan pour soutenir la production de semi-conducteurs sur le Vieux Continent, tout le monde ne peut qu’y souscrire. Seul souci, comment croire à l’efficacité d’un déploiement de près de 50 milliards d’euros d’ici à 2030 alors qu’il vient si tard ? Les puces sont partout, dans les transports, l’énergie, l’environnement et même l’agriculture mais, on ne sait comment, l’Europe s’est enlisée dans des problèmes d’approvisionnement, comme si elle n’avait pas vu venir la concentration de l’activité à Taïwan et en Corée. Déjà en 2014, un plan pour l’indépendance européenne en semi-conducteurs avait été lancé mais depuis, la part européenne dans la production mondiale est… tombée de 20 % à 10 % selon plusieurs estimations. Voilà qu’il faut rebâtir tout un écosystème, s’agissant d’un secteur qui mélange matériel et logiciel. Il ne suffit plus d’y consacrer des milliards d’euros…
L’économie japonaise a rebondi au quatrième trimestre 2021: le PIB a progressé de 5,4% en rythme annuel, après une contraction de 2,7% au troisième trimestre, dans le sillage d’une consommation solide avec la levée, en octobre, de l’état d’urgence. L’économie japonaise a progressé de 1,3% en glissement trimestriel après une contraction révisée 0,7% au troisième trimestre, selon les données publiées mardi. Le rebond découlait en grande partie de la hausse de la consommation privée (+2,8% après -1,0% au troisième trimestre) et de l’investissement des entreprises (+0,4% après -2,4%) avec l’assouplissement des restrictions. La demande extérieure nette a également contribué positivement au PIB, les exportations se redressant (+1% après -0,3%).
Les perspectives économiques des analystes financiers et des investisseurs institutionnels en Allemagne se sont améliorées en février, ces professionnels de la finance anticipant une levée des restrictions sanitaires et une reprise de l’économie au premier semestre, selon les données publiées mardi par l’institut de conjoncture allemand ZEW.
L’économie japonaise a rebondi au quatrième trimestre 2021 : le PIB a progressé de 5,4% en rythme annuel, après une contraction de 2,7% au troisième trimestre, dans le sillage d’une consommation solide avec la levée, en octobre, de l’état d’urgence destiné à lutter contre l’épidémie de coronavirus. L’économie japonaise a progressé de 1,3% en glissement trimestriel après une contraction révisée 0,7% au troisième trimestre, selon les données publiées mardi.
La croissance du Royaume-Uni a abouti à 7,5% pour 2021, après une baisse de -9,4% en 2020 avec la crise du coronavirus, selon les chiffres publiés vendredi par l’Office for National Statistics (ONS). Il s’agit de la plus forte croissance dans ce pays depuis 1941. Le PIB s’est ainsi moins contracté que prévu en décembre, de -0,2% seulement, malgré le variant Omicron qui a particulièrement touché le secteur des services. Les économistes craignaient plutôt une baisse de 0,6%. Sur l’ensemble du quatrième trimestre, le PIB a augmenté de 1%, alors que les économistes tablaient plutôt sur une croissance de 1,1%. La hausse du PIB trimestriel ressort à 6,5% en rythme annuel, contre +6,4% attendu.
La croissance du Royaume-Uni a abouti à 7,5% pour 2021, après une baisse de -9,4% en 2020 avec la crise du coronavirus, selon les chiffres publiés vendredi par l’Office for National Statistics (ONS). Il s’agit de la plus forte croissance dans ce pays depuis 1941.
La Commission européenne a revu à la baisse jeudi sa prévision de croissance économique pour la zone euro cette année en raison notamment de la pandémie de Covid-19, des prix élevés de l’énergie et des perturbations continues de l’offre. L’exécutif européen table désormais sur une croissance de 4,0% du PIB en 2022 dans les 19 pays ayant adopté la monnaie unique, au lieu de 4,3% prévus en novembre. Pour 2023, la Commission se montre plus optimiste que précédemment et relève sa prévision de croissance de 2,4% à 2,7%. L’inflation devrait, elle, atteindre 3,5% cette année d’après la Commission, un chiffre bien supérieur à l’objectif de 2% de la Banque centrale européenne (BCE) et bien plus élevé que sa précédente estimation de 2,2%.
Les inscriptions au chômage ont diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 5 février, à 223.000 contre 239.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 230.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 29 janvier ont de leur côté été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 238.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 253.250 contre 255.250 (révisé) la semaine précédente.
Les inscriptions au chômage ont diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 5 février, à 223.000 contre 239.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 230.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 29 janvier ont de leur côté été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 238.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 253.250 contre 255.250 (révisé) la semaine précédente.
La Commission européenne a revu à la baisse jeudi sa prévision de croissance économique pour la zone euro cette année en raison notamment de la pandémie de Covid-19, des prix élevés de l’énergie et des perturbations continues de l’offre. L’exécutif européen table désormais sur une croissance de 4,0% du PIB en 2022 dans les 19 pays ayant adopté la monnaie unique, au lieu de 4,3% prévus en novembre.
Le produit intérieur brut (PIB) de la France progresserait de 0,3% au premier trimestre 2022 puis de 0,6% au deuxième, a indiqué mardi l’Insee dans son dernier point de conjoncture. En décembre dernier, l’institut tablait sur une hausse respective de 0,4% et 0,5%. A la mi-année, l’acquis de croissance pour 2022 s’élèverait à 3,2% contre 3% précédemment attendu. Le PIB français se situerait ainsi au deuxième trimestre à 1,8% au-dessus de son niveau prépandémique. Après le rebond de 7% du PIB enregistré sur l’ensemble de 2021, l’activité économique française devrait connaître une dynamique de croissance plus modérée durant les prochains mois. La dégradation temporaire de la situation sanitaire due au variant Omicron, conjuguée à une nouvelle hausse des cours du pétrole, bridera vraisemblablement la consommation des ménages d’ici à fin mars et celle-ci devrait ensuite s’accélérer au printemps. En supposant un maintien des cours du pétrole au niveau de 90 dollars le baril, l’Insee anticipe un glissement annuel des prix à la consommation compris entre +3% et +3,5% à l’horizon de juin 2022.
Le produit intérieur brut (PIB) de la France progresserait de 0,3% au premier trimestre 2022 puis de 0,6% au deuxième, indique mardi l’Insee dans son dernier point de conjoncture. En décembre dernier, l’institut tablait sur une hausse respective de 0,4% et 0,5%. A la mi-année, l’acquis de croissance pour 2022 s’élèverait à 3,2% contre 3% précédemment attendu. Le PIB français se situerait ainsi au deuxième trimestre à 1,8% au-dessus de son niveau prépandémique.
La production industrielle en Allemagne a reculé de manière inattendue en décembre à cause de goulets d'étranglement dans la chaîne d’approvisionnement, d’après les données publiées lundi par Destatis, l’office fédéral de la statistique. Elle s’est repliée de 0,3% en décembre par rapport à novembre, en données corrigées. Les économistes anticipaient une progression de 0,4%. Sur un an, la production industrielle de l’Allemagne a diminué de 4,1% en décembre, a ajouté Destatis. En 2021, cet indicateur a augmenté de 3% par rapport à 2020.
L’activité dans le secteur des services en Chine a progressé en janvier à son rythme le plus lent en cinq mois. L’indice PMI du secteur calculé par Caixin/Markit est tombé à 51,4 - un plus bas depuis le mois d’août - contre 53,1 en décembre, alors que la hausse des cas de coronavirus et les mesures de confinement ont pesé sur les nouvelles entreprises et le sentiment des consommateurs. L’indice composite de Caixin pour le mois de janvier, qui comprend à la fois l’activité manufacturière et l’activité des services, est tombé à 50,1, contre 53 en décembre.
La production industrielle en Allemagne a reculé de manière inattendue en décembre à cause de goulets d'étranglement dans la chaîne d’approvisionnement, d’après les données publiées lundi par Destatis, l’office fédéral de la statistique. Elle s’est repliée de 0,3% en décembre par rapport à novembre, en données corrigées de l’inflation, des variations saisonnières et des effets calendaires. Les économistes anticipaient en moyenne une progression de 0,4%.
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE), Andrew Bailey, a souligné vendredi la nécessité de modérer les augmentations de salaire, un jour après que la banque centrale britannique a augmenté à nouveau ses taux d’intérêt pour lutter contre une inflation à son plus haut niveau en 30 ans. Il a déclaré que la pression salariale menaçait la capacité de la BoE à maîtriser l’inflation, alors que les ménages étaient confrontés à la plus forte compression de leurs revenus depuis au moins 1990, en raison de la hausse des prix de l'énergie.