La croissance de l’activité du secteur privé dans la zone euro est restée soutenue malgré la crise ukrainienne et les craintes qu’elle fait peser sur l’économie, montrent les résultats définitifs de l’enquête réalisée par IHS S&P Global. L’indice PMI composite a encore atteint 54,9 en mars, après 55,5 en février et 54,5 en première estimation. L’indice PMI des services est resté à 55,5 en mars, après 55,6 en février, au-dessus de l’estimation préliminaire à 54,8. En Allemagne, l’indice PMI composite ressort à 55,1 en mars, après 55,6 en février et 54,6 en première estimation. En France, l’indice PMI composite a également accéléré à 56,3 en mars, soit un plus haut de huit mois, après 55,5 en février.
La croissance de l’activité du secteur privé dans la zone euro est restée soutenue malgré la crise ukrainienne et les craintes qu’elle fait peser sur l’économie, montrent les résultats définitifs de l’enquête réalisée par IHS S&P Global.
L’activité manufacturière en Chine s’est contractée en mars à son rythme le plus rapide en deux ans. L’indice PMI manufacturier calculé par Caixin/Markit s’est établi à 48,1 en mars contre 50,4 le mois précédent. La baisse des nouvelles commandes à l’exportation en mars s’est accélérée: les résurgences épidémiques en Chine, les perturbations dans le secteur du transport maritime et les incertitudes accrues dues à la crise ukrainienne ont conduit les clients à annuler ou à suspendre leurs commandes. La deuxième économie mondiale, qui avait fait état d’une reprise au cours des deux premiers mois de l’année, risque désormais de connaître un ralentissement.
L’activité manufacturière en Chine s’est contractée en mars à son rythme le plus rapide en deux ans. L’indice PMI manufacturier calculé par Caixin/Markit s’est établi à 48,1 en mars contre 50,4 le mois précédent.
Le chômage dans la zone euro est tombé en février à son plus bas niveau historique, grâce à la poursuite de la reprise économique avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le taux de chômage dans les 19 pays partageant l’euro est tombé à 6,8%, contre 6,9% en janvier, a annoncé, jeudi, Eurostat, l’institut communautaire de la statistique. Il s’agit du taux le plus faible jamais enregistré depuis le début de la série statistique, en 1998. Les économistes tablaient sur un taux de 6,7%. Selon Eurostat, environ 11,155 millions de personnes étaient au chômage dans la zone euro en février, contre 11,336 millions en janvier.
Le chômage dans la zone euro est tombé en février à son plus bas niveau historique grâce à la poursuite de la reprise économique avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le taux de chômage dans les 19 pays partageant l’euro est tombé à 6,8% contre 6,9% en janvier, a annoncé jeudi Eurostat, l’institut communautaire de la statistique. Il s’agit du taux le plus faible jamais enregistré depuis le début de la série statistique en 1998, juste avant le lancement officiel de l’euro en janvier 1999. Les économistes tablaient sur un taux légèrement plus bas de 6,7%. Selon Eurostat, environ 11,155 millions de personnes étaient au chômage dans la zone euro en février, contre 11,336 millions en janvier.
Le secteur privé américain a créé un peu plus d’emplois qu’attendu en mars, montre, mercredi, l’enquête mensuelle du cabinet ADP. Les créations d’emplois se sont élevées à 455.000, alors que les économistes en prévoyaient en moyenne 450.000. Le secteur des services a créé 377.000 postes en mars, dont 161.000 dans les loisirs et l’hôtellerie. Le secteur de la production de biens a créé 79.000 emplois, dont 54.000 dans la production manufacturière. ADP a en outre révisé à la hausse les résultats de l’enquête de février, qui montrent désormais 486.000 emplois créés aux Etats-Unis, alors que les résultats initiaux en faisaient ressortir 475.000.
La croissance de l’économie américaine a été un peu moins soutenue que dans son estimation initiale au quatrième trimestre 2021, montrent les statistiques définitives publiées mercredi par le département du Commerce. Le produit intérieur brut (PIB) a progressé de 6,9% en rythme annualisé sur les trois derniers mois de 2021, un chiffre révisé à la baisse par rapport à la précédente estimation, qui était de 7%. Les économistes prévoyaient de leur côté en moyenne une révision en légère hausse, à 7,1%.
Le secteur privé aux Etats-Unis a créé un peu plus d’emplois qu’attendu en mars, montre mercredi l’enquête mensuelle du cabinet ADP. Les créations d’emplois se sont élevées à 455.000, alors que les économistes en prévoyaient en moyenne 450.000. Le secteur des services aux Etats-Unis a créé 377.000 postes en mars, dont 161.000 dans les loisirs et l’hôtellerie. Le secteur de la production de biens a créé 79.000 emplois, dont 54.000 dans la production manufacturière. ADP a en outre révisé en hausse les résultats de l’enquête de février, qui montrent désormais 486.000 emplois créés alors que les résultats initiaux en faisaient ressortir 475.000.
La croissance de l'économie américaine a été légèrement moins soutenue que dans son estimation initiale au quatrième trimestre 2021, montrent les statistiques définitives publiées mercredi par le département du Commerce. Le produit intérieur brut (PIB) a progressé de 6,9% en rythme annualisé sur les trois derniers mois de 2021, un chiffre révisé à la baisse par rapport à la précédente estimation qui était de 7%. Les économistes prévoyaient de leur côté en moyenne une révision en légère hausse, à 7,1%.
Le groupe de conseillers économiques du gouvernement allemand, dont les prévisions servent à l'élaboration de la politique budgétaire, a abaissé mercredi sa prévision de croissance à 1,8% contre 4,6% prévu jusqu’à présent, pour prendre en compte l’impact de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Pour 2023, les «sages» prévoient une croissance de 3,6%.
Malgré les inquiétudes liées à l’inflation et à la guerre en Ukraine, la confiance des ménages américains s’est améliorée en mars, à la faveur de l’atténuation de la pandémie de Covid-19, selon l’enquête publiée mardi par le Conference Board. L’indice de confiance de l’institut a grimpé à 107,2, contre un nombre révisé de 105,7 en février. L’indice, qui a signé sa première hausse après deux mois consécutifs de repli, a quasiment atteint le consensus des économistes, qui s’établissait à 107,5. La confiance des ménages avait chuté à un plancher de 85,7 au début de la crise sanitaire, mais avait rebondi à 128,9 l’été dernier. «La confiance des ménages continue d’être soutenue par la forte croissance de l’emploi et résiste donc remarquablement bien malgré les incertitudes géopolitiques et les prévisions d’inflation pour les douze prochains mois», a déclaré Lynn Franco, la directrice de l’étude au sein du Conference Board.
Les indicateurs de confiance de la consommation ont chuté en France et en Allemagne en mars. Pour l’Hexagone, l’indicateur publié mardi par l’Insee est tombé à 91 en mars, après 97 en février, bien au-dessous des prévisions du marché (94). Il s’agit de la lecture la plus basse depuis février 2021, restant bien au-dessous de sa moyenne à long terme de 100, alors que la guerre en Ukraine et la hausse de l’inflation ont pesé terriblement. En Allemagne, l’indicateur de l’institut GfK a chuté à -15,5 pour avril 2022, un plus bas depuis février 2021, également inférieur aux attentes du marché (-14), à cause de la guerre en Ukraine et de l’inflation. Les perspectives économiques et de revenus des ménages s’effondrent à des niveaux record depuis la crise financière de 2009.
Malgré les inquiétudes liées à l’inflation et à la guerre en Ukraine, la confiance des ménages américains s’est améliorée en mars à la faveur de l’atténuation de la pandémie de Covid-19 selon l’enquête publiée mardi par le Conference Board. L’indice de confiance de l’institut a grimpé à 107,2 contre un nombre révisé de 105,7 en février. L’indice, qui a signé sa première hausse après deux mois consécutifs de repli, a quasiment atteint le consensus des économistes, qui s'établissait à 107,5. La confiance des ménages avait chuté à un plancher de 85,7 au début de la crise sanitaire mais avait rebondi à 128,9 l'été dernier.
Les indicateurs de confiance de la consommation ont chuté en France et en Allemagne en mars. Pour l’Hexagone, l’indicateur publié mardi par l’Insee est tombé à 91 en mars, après 97 en février, bien au-dessous des prévisions du marché (94). Il s’agit de la lecture la plus basse depuis février 2021, restant bien au-dessous de sa moyenne à long terme de 100, alors que la guerre en Ukraine et la hausse de l’inflation ont pesé terriblement.
La croissance des prêts aux entreprises non-financières de la zone euro est restée stable en février à 4,4% en rythme annuel, d’après les données publiées vendredi par la Banque centrale européenne (BCE). Le taux de croissance annuel de la masse monétaire M3, qui reflète principalement les achats d’obligations de la BCE, a légèrement diminué à 6,3% en février contre 6,4% en janvier, en ligne avec les estimations du consensus. Enfin, les prêts aux ménages ont légèrement augmenté de 4,4% sur un an en février, contre 4,3% en janvier.
En raison de l’envolée des prix de l'énergie et de l’incertitude liée à la guerre en Ukraine, l’indice Ifo, qui mesure le climat des affaires en Allemagne, a reculé à 90,8 en mars, contre 98,5 en février, en données révisées, a annoncé vendredi l’institut de conjoncture. Il s’agit de son niveau le plus bas depuis janvier 2021. Les économistes tablaient sur un recul moins marqué de l’indice, à 93,5. Le fort repli de l’indice est dû à la chute du sous-indice des perspectives, qui a diminué de 13,3 points, à 85,1, une baisse plus marquée que celle enregistrée au début de la pandémie de Covid-19 en mars 2020. Le sous-indice des conditions actuelles a diminué de façon bien moins prononcée, s'établissant à 97, contre 98,6 le mois dernier.
La croissance des prêts aux entreprises non-financières de la zone euro est restée stable en février à 4,4% en rythme annuel, d’après les données publiées vendredi par la Banque centrale européenne (BCE).