Les inscriptions au chômage ont diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 18 juin, à 229.000 contre 231.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 227.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 11 juin ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 229.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 223.500 contre 219.000 (révisé) la semaine précédente.
Richard Mattison, président de S&P Global Sustainable1, a accordé une interview à L'Agefi. Il revient sur la stratégie de l'agence de notation spécialisée dans l'ESG.
L’Allemagne est assurée d’entrer en récession si l’approvisionnement en gaz russe, déjà fragilisé, est complètement interrompu, a déclaré mardi la principale fédération industrielle du pays. La BDI a revu à la baisse sa prévision de croissance pour cette année à 1,5% contre 3,5% prévu avant que n'éclate la guerre en Ukraine. Mais un arrêt total des livraisons de gaz russe rendrait une récession inévitable, a-t-elle ajouté. De son côté, l’autorité fédérale allemande du marché du gaz, la Bundesnetzagentur, a estimé qu’il n'était pas encore nécessaire de passer au stade le plus élevé des procédures d’urgence, qui conduirait à des mesures de rationnement touchant le secteur industriel afin d’assurer la continuité de livraison aux services d’intérêt vital et aux ménages.
Les actions n’ont pas encore pleinement intégré le risque de récession et devraient encore baisser afin de refléter la contraction économique, selon les stratégistes de Morgan Stanley et de Goldman Sachs. Bien que la chute des actions américaines depuis janvier les ait ramenées à un prix «plus juste», l’indice S&P 500 devrait encore baisser de 15% à 20%, jusqu’à environ 3.000 points pour que le marché reflète pleinement l’ampleur de la contraction économique, écrit l’équipe de Morgan Stanley dirigée par Michael Wilson. Ce point de vue a été repris par Goldman Sachs, où l’équipe de Peter Oppenheimer estime aussi que les actions n’évaluent encore qu’une légère récession, «les laissant exposées à une nouvelle détérioration des attentes».
En repli pour le quatrième mois d’affilée, les reventes de logements aux Etats-Unis ont baissé de 3,4% en mai en raison de la hausse des prix et des taux d’intérêt, montrent les chiffres publiés mardi par la National Association of Realtors (NAR), principale fédération d’agents immobiliers du pays. Celle-ci a fait état de 5,41 millions de reventes en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières le mois dernier, au plus bas depuis juin 2020. Le chiffre d’avril a été révisé à la baisse, à 5,6 millions contre 5,61 millions annoncé initialement. Les économistes attendaient en moyenne une baisse à 5,4 millions en mai. Sur un an, les reventes de logements, qui représentent environ 90% des ventes globales du marché de l’immobilier résidentiel aux Etats-Unis, ont reculé de 8,6%.
En repli pour le quatrième mois d’affilée, les reventes de logements aux Etats-Unis ont baissé de 3,4% en mai en raison de la hausse des prix et des taux d’intérêt, montrent les chiffres publiés mardi par la National Association of Realtors (NAR), principale fédération d’agents immobiliers du pays.
Les actions n’ont pas encore pleinement intégré le risque de récession et devraient encore baisser afin de refléter la contraction économique, selon les stratégistes de Morgan Stanley et de Goldman Sachs.
L’inflation dans la zone euro a atteint en mai son plus haut niveau historique, l’envolée des prix de l'énergie et des produits alimentaires se propageant progressivement aux autres secteurs, ont confirmé vendredi les chiffres définitifs publiés par Eurostat. La hausse des prix à la consommation a bondi à 8,1% en rythme annuel, après +7,4% en avril. Par rapport à avril, elle ressort à 0,8%. L’inflation ‘core’, hors prix de l'énergie et des produits alimentaires non-transformés, s’est elle aussi accélérée à 4,4% après 3,9% en avril.
Face aux grands défis du monde, l'Union européenne doit être unie pour être forte. L'analyse d'Isabelle Job-Bazille, directrice des études économiques, Groupe Crédit Agricole.
L’inflation dans la zone euro a atteint en mai son plus haut niveau historique, l’envolée des prix de l'énergie et des produits alimentaires se propageant progressivement aux autres secteurs, confirment vendredi les chiffres définitifs publiés par Eurostat.
Les conditions d’activité dans la région de Philadelphie se sont de nouveau dégradées en juin, montre jeudi l’enquête mensuelle de l’antenne locale de la Réserve fédérale. L’indice ‘Philly Fed’ a reculé à -3,3 après 2,6 en mai, tombant à son plus bas niveau depuis mai 2020. Les économistes prévoyaient au contraire une hausse de l’indice à 5,5. La composante des nouvelles commandes a plongé à -12,4 après 22,1 en mai et celle des perspectives d’activités à six mois à -6,8 contre 2,5 le mois précédent, au plus bas depuis février 2008. En revanche, le sous-indice de l’emploi a augmenté à 28,1 contre 25,5. Celui des prix acquittés a baissé à 64,5 après 78,9 en mai.
Les inscriptions au chômage ont baissé moins que prévu aux États-Unis lors de la semaine au 11 juin, à 229.000 contre 232.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne un recul plus important à 215.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 4 juin ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 229.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 218.500 contre 215.750 (révisé) la semaine précédente. Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités s’est élevé à 1,312 million lors de la semaine au 4 juin (dernière semaine pour laquelle ces chiffres sont disponibles) contre 1,309 million (révisé) la semaine précédente.
Les inscriptions au chômage ont baissé moins que prévu aux États-Unis lors de la semaine au 11 juin, à 229.000 contre 232.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne un recul plus important à 215.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 4 juin ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 229.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 218.500 contre 215.750 (révisé) la semaine précédente.
L’économie chinoise a continué de montrer des signes de faiblesse en mai, alors que les restrictions se poursuivent dans le pays face à l’épidémie de Covid-19, mais la hausse de la production industrielle rassure les opérateurs. Elle a progressé de façon inattendue le mois dernier de 0,7% en rythme annuel (baisse de 0,7% attendue par le consensus Reuters), après avoir accusé une baisse de 2,9% en avril, montrent les données publiées par le Bureau national des statistiques (BNS). La semaine passée, la Chine a annoncé une reprise de ses exportations qui ont connu une croissance à deux chiffres en mai, dépassant les attentes, tandis que les importations ont augmenté pour la première fois en trois mois, les usines ayant repris leur production et les problèmes de logistique s’étant atténués.
Les ventes au détail aux Etats-Unis ont reculé contre toute attente en mai, en raison de la baisse des achats de véhicules dans un contexte de pénurie de composants et de flambée des prix à la pompe, montrent les chiffres publiés mercredi par le département du Commerce. Ces ventes ont fléchi de 0,3% en mai, après une hausse de 0,7% (révisée de +0,9%) en avril, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un gain de 0,2%. Les ventes au détail hors automobiles ont en revanche progressé de 0,5%, après 0,4% en avril (révisé) et un consensus à +0,8%. Hors automobiles et carburants, elles affichent une progression de seulement 0,1%, après +0,8% (révisé) en avril. Celles hors automobile, carburants, matériaux de construction et services de restauration, sont quant à elles restées inchangées après une progression de 0,5% (révisé) en avril.