L’industrie manufacturière de la zone euro commence à pâtir de la hausse des prix et de la dégradation des perspectives économiques pesant sur les commandes.
Le chômage en zone euro est tombé à un niveau historiquement bas en mai, l'économie continuant son rebond après la pandémie de Covid et malgré la guerre en Ukraine, selon les données publiées jeudi par Eurostat. L’office des statistiques de l’Union européenne a fait état d’un taux de chômage dans les 19 pays partageant l’euro à 6,6% de la population active en mai, contre 6,7% (révisé en baisse) en avril. Il s’agit du taux le plus bas jamais enregistré depuis le début des recensements qui remonte à 1998, juste avant le lancement officiel de l’euro en janvier 1999. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur un taux à 6,8%.
Les dépenses de consommation des ménages en biens en France se sont redressées plus que prévu en mai, selon les données publiées jeudi par l’Insee. La consommation des ménages en biens en volume a augmenté, après cinq mois de baisse, pour s’inscrire en hausse de 0,7% contre un repli de 0,7% en avril, a indiqué l’institut. Cette hausse a été principalement tirée par l’habillement-textile, qui a enregistré un «très fort rebond» de 15,1% (après -3,7% le mois précédent) notamment dans le prêt-à-porter. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur une progression de la consommation de 0,2% en mai.
Les inscriptions au chômage ont diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 25 juin, à 231.000 contre 233.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 228.000 demandes initiales d’allocations chômage. Les inscriptions de la semaine au 18 juin ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 229.000. La moyenne mobile sur quatre semaines remonte en revanche à 231.750 contre 224.500 (révisé) la semaine précédente. Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités a diminué à 1,328 million lors de la semaine au 18 juin (la dernière pour laquelle ces chiffres sont disponibles) contre 1,331 million la semaine précédente. Le consensus Refinitiv le donnait à 1,310 million.
Les inscriptions au chômage ont diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 25 juin, à 231.000 contre 233.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 228.000 demandes initiales d’allocations chômage. Les inscriptions de la semaine au 18 juin ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 229.000. La moyenne mobile sur quatre semaines remonte en revanche à 231.750 contre 224.500 (révisé) la semaine précédente.
Le chômage en zone euro est tombé à un niveau historiquement bas en mai, l'économie continuant son rebond après la pandémie de Covid et malgré la guerre en Ukraine, selon les données publiées jeudi par Eurostat. L’office des statistiques de l’Union européenne a fait état d’un taux de chômage dans les 19 pays partageant l’euro à 6,6% de la population active en mai, contre 6,7% (révisé en baisse) en avril.
Les dépenses de consommation des ménages en biens en France se sont redressées plus que prévu en mai, selon les données publiées jeudi par l’Insee. La consommation des ménages en biens en volume a augmenté, après cinq mois de baisse, pour s’inscrire en hausse de 0,7% en mai contre un repli de 0,7% en avril, a indiqué l’institut. Cette hausse a été principalement tirée par l’habillement-textile, qui a enregistré un «très fort rebond» de 15,1% (après -3,7% le mois précédent) notamment dans le prêt-à-porter. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur une progression de la consommation de 0,2% en mai.
La confiance des ménages américains est tombée en juin à un plus bas depuis février 2021, selon l’enquête publiée mardi par le Conference Board. L’indice de confiance de l’institut s’est contracté à 98,7 contre un nombre révisé de 103,2 en mai, alors que le consensus des économistes s'établissait en moyenne à 100. En juin, les ménages ont jugé que la situation économique était restée quasi-stable par rapport au mois précédent, le sous-indice sur les conditions actuelles étant ressorti à 147,1, contre 147,4 en mai. Mais leur confiance concernant les perspectives économiques s’est fortement dégradée. L’indice mesurant leurs anticipations à six mois a chuté à 66,4 en juin, au plus bas depuis mars 2013, contre 73,7 un mois plus tôt.
Le Fonds monétaire international (FMI) a nettement revu à la baisse ses prévisions de croissance pour les Etats-Unis en raison d’une politique plus agressive de remontée des taux d’intérêt de la Réserve fédérale. Dans son évaluation annuelle de la politique économique américaine, publiée vendredi, le FMI s’attend désormais à une hausse de 2,9% du produit intérieur brut (PIB) américain en 2022, contre une précédente estimation de 3,7% en avril. Pour 2023, le FMI prévoit une croissance de 1,7%, (contre 2,3%), et pour 2024, une croissance de 0,8%. «Nous sommes conscients que la voie est étroite pour éviter une récession aux Etats-Unis», a estimé la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, soulignant que ces projections comportaient un fort degré d’incertitude.
Le climat des affaires en Allemagne s’est dégradé plus que prévu en juin, en raison de la hausse des prix de l'énergie et du risque de pénurie de gaz, montre vendredi l’enquête mensuelle de l’institut d'études économiques Ifo. Son indice a reculé à 92,3 après 93 en mai alors que le consensus des économistes tablait en moyenne sur 92,9. La composante du jugement des chefs d’entreprise sur leurs conditions actuelles d’activité s’établit à 99,3 après 99,6 (révisé) le mois dernier et celle mesurant l'évolution de leurs anticipations recule également, à 85,8 en juin après 86,9.
Les ventes au détail ont reculé de 0,5% en rythme mensuel en mai au Royaume-Uni, après une augmentation révisée à 0,4% en avril, selon les chiffres de l’Office for National Statistics (ONS) publiés vendredi. Cela reste mieux que les attentes du marché d’une baisse de 0,7%. Les ventes dans les magasins d’alimentation ont diminué de 1,6% en raison de la hausse des prix des aliments et du coût de la vie. Hors carburant, les ventes au détail ont diminué de 0,7%. En regardant les trois mois se terminant en mai, les ventes au détail ont chuté de 1,3%.
Le climat des affaires en Allemagne s’est dégradé plus que prévu en juin, en raison de la hausse des prix de l'énergie et du risque de pénurie de gaz, montre vendredi l’enquête mensuelle de l’institut d'études économiques Ifo. Son indice du climat des affaires a reculé à 92,3 après 93 en mai alors que le consensus des économistes tablait en moyenne sur 92,9. La composante du jugement des chefs d’entreprise sur leurs conditions actuelles d’activité s’établit à 99,3 après 99,6 (révisé) le mois dernier et celle mesurant l'évolution de leurs anticipations recule également, à 85,8 en juin après 86,9.
Les ventes au détail ont diminué de 0,5% en rythme mensuel en mai au Royaume-Uni, après une augmentation révisée à 0,4% en avril, selon les chiffres de l’Office for National Statistics (ONS) publiés vendredi. Cela reste mieux que les attentes du marché d’une baisse de 0,7%.
Les inscriptions au chômage ont diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 18 juin, à 229.000 contre 231.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 227.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 11 juin ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 229.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 223.500 contre 219.000 (révisé) la semaine précédente. Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités s’est élevé à 1,315 million lors de la semaine au 11 juin (dernière semaine pour laquelle ces chiffres sont disponibles) contre 1,31 million (révisé) la semaine précédente.