L’excédent commercial allemand a baissé en 2017 pour la première fois en huit ans, selon des données publiées hier qui confirment que la demande intérieure vigoureuse de la première économie européenne permet d’augmenter les importations et contribue à rééquilibrer lentement ses échanges extérieurs. Ce surplus est ressorti à 244,9 milliards d’euros en données brutes après avoir atteint un record à 248,9 milliards en 2016, a annoncé Destatis, l’office fédéral statistique. L’excédent des comptes courants, qui intègre les flux de services et d’investissements en plus des marchandises, s’est pour sa part tassé à 257,1 milliards d’euros contre 259,3 milliards en 2016.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont baissé de manière inattendue la semaine dernière aux Etats-Unis, renforçant les perspectives d’une hausse plus rapide des salaires cette année. Sur la semaine au 3 février, elles ont baissé de 9.000 à 221.000 en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé hier le département du Travail. Mi-janvier, elles étaient tombées à 216.000, un creux depuis février 1973. Le consensus des économistes attendait pour la semaine dernière 232.000 inscriptions. Les inscriptions au chômage de la semaine précédente ont été confirmées à 230.000.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont baissé de manière inattendue la semaine dernière aux Etats-Unis, renforçant les perspectives d’une hausse plus rapide des salaires cette année. Sur la semaine au 3 février, elles ont baissé de 9.000 à 221.000 en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé ce jeudi le département du Travail. Mi-janvier, elles étaient tombées à 216.000, un creux depuis février 1973. Les économistes interrogés par Reuters attendaient pour la semaine dernière 232.000 inscriptions. Les inscriptions hebdomadaires au chômage de la semaine précédente ont été confirmées à 230.000.
La France est en train de gagner la «bataille culturelle» de l’entreprise, la prise de risque et l’innovation devenant une évidence pour de nombreux Français, s’est félicité hier Edouard Philippe. L’action de l’exécutif restera focalisée sur l’amélioration des conditions de développement et d’embauche des entreprises, a ajouté le Premier ministre lors d’un discours au Salon des entrepreneurs, à Paris. Il a jugé nécessaire de réformer le dispositif d’accompagnement à l’export, après l’annonce d’une forte dégradation du déficit commercial en 2017, au plus haut depuis 2012. Le gouvernement continuera à soutenir les entreprises, notamment par le projet de loi Pacte présenté le 18 avril au conseil des ministres, car «pour réparer notre pays, nous avons la conviction qu’il faut que nous renforcions notre capacité à produire et à innover, ainsi que notre compétitivité», a dit Edouard Philippe.
La Commission européenne a relevé ce mercredi ses prévisions de croissance pour la zone euro en 2018 comme en 2019, pour tenir compte de l’environnement international qui s’améliore et d’un élan plus fort qu’escompté auparavant de l'économie au sortir de 2017. L’exécutif communautaire a revu ainsi en hausse ses anticipations de croissance du PIB à 2,3% pour 2018 puis 2,0% pour 2019, soit respectivement 0,2 point et 0,1 point de plus que dans ses prévisions d’automne publiées en novembre. Pour l’année en cours, la croissance de l'économie de la zone euro se prolongerait quasiment au même rythme qu’en 2017, pour laquelle la Commission a revu sa prévision en hausse de 0,2 point, à 2,4%.
Le département américain du Commerce a indiqué hier que le déficit commercial avait augmenté en décembre de 5,3% à 53,1 milliards de dollars (42,8 milliards d’euros), au plus haut depuis octobre 2008, après un déficit révisé de 50,4 milliards de dollars en novembre. Cette hausse s’explique en partie par la progression des prix des matières premières. Les économistes projetaient en moyenne un déficit commercial de 52 milliards de dollars en décembre contre 50,5 milliards en novembre en première estimation.
Le département américain du Commerce a indiqué aujourd’hui que le déficit commercial avait augmenté de 5,3% à 53,1 milliards de dollars (42,8 milliards d’euros), au plus haut depuis octobre 2008, après un déficit légèrement revu en hausse de 50,4 milliards de dollars en novembre. Cette augmentation s’explique en partie par la hausse des prix des matières premières. Les économistes projetaient en moyenne un déficit commercial de 52 milliards de dollars en décembre contre 50,5 milliards en novembre en première estimation.
La croissance de l’activité dans les services a conservé un rythme soutenu en janvier en France, bien que légèrement en deçà du pic de six ans et demi enregistré en novembre, selon les résultats définitifs de l’enquête mensuelle d’IHS Markit auprès des directeurs d’achats publiée lundi. L’indice d’activité des services s’est établi à 59,2 le mois dernier, à peine supérieur à son niveau de 59,1 du mois de décembre et très légèrement en retrait par rapport à sa première estimation de 59,3 publiée le 24 janvier. Il se maintient pour le dix-neuvième mois consécutif au-dessus du seuil de 50 qui distingue croissance et contraction de l’activité.
La croissance du secteur tertiaire aux Etats-Unis a accéléré nettement plus que prévu en janvier grâce à un afflux de nouvelles commandes, montraient hier les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM des services a atteint 59,9 le mois dernier, au plus haut depuis août 2005, contre 56,0 en décembre. Les économistes prévoyaient en moyenne une hausse bien plus modeste, à 56,5. Le sous-indice de l’activité a progressé à 59,8 contre 57,8 en décembre et celui des entrées de commandes a bondi à 62,7 contre 54,5, au plus haut depuis janvier 2011.
L’activité en zone euro a démarré l’année sur son rythme de croissance le plus rapide en plus de dix ans, grâce à une augmentation du nombre de nouveaux contrats malgré la plus forte hausse des prix pratiqués par les entreprises depuis près de sept ans, montrent les résultats définitifs de l’enquête IHS Markit auprès des directeurs d’achats publiés lundi. L’indice PMI composite définitif s’est élevé à 58,8 le mois dernier, contre 58,1 en décembre et 58,6 en estimation préliminaire. Il est à son plus haut depuis juin 2006 et nettement au-dessus de 50, seuil séparant croissance et contraction de l’activité.
Le moral des investisseurs de la zone euro s’est dégradé en février, montre l’enquête mensuelle de l’institut allemand Sentix publiée hier, qui explique ce repli par les inquiétudes concernant les négociations entre les conservateurs d’Angela Merkel et les sociaux-démocrates en Allemagne. L’indice de confiance Sentix s’est établi à 31,9 contre 32,9 en janvier, alors que les économistes attendaient en moyenne 33,0. Le sous-indice mesurant les conditions actuelles a atteint en février son plus haut niveau depuis août 2007, mais celui des anticipations est tombé à son plus bas en un an.
La croissance du secteur tertiaire aux Etats-Unis a accéléré nettement plus que prévu en janvier grâce à un afflux de nouvelles commandes, montrent aujourd’hui les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM des services a atteint 59,9 le mois dernier, au plus haut depuis août 2005, contre 56,0 en décembre. Les économistes prévoyaient en moyenne une hausse bien plus modeste, à 56,5. Le sous-indice de l’activité a progressé à 59,8 contre 57,8 en décembre, à comparer à un consensus de 57,2, et celui des entrées de commandes a bondi à 62,7 contre 54,5, atteignant son meilleur niveau depuis janvier 2011.
L’activité en zone euro a démarré l’année sur son rythme de croissance le plus rapide en plus de dix ans, grâce à une augmentation du nombre de nouveaux contrats malgré la plus forte hausse des prix pratiqués par les entreprises depuis près de sept ans, montrent les résultats définitifs de l’enquête IHS Markit auprès des directeurs d’achats publiés lundi. La zone euro a affiché l’une des plus fortes croissances des grandes économies l’an dernier et les indicateurs avancées suggèrent que la dynamique se prolongera au moins quelques mois.
Le moral des investisseurs de la zone euro s’est dégradé en février, montre l’enquête mensuelle de l’institut allemand Sentix publiée lundi, qui explique ce repli par les inquiétudes concernant les négociations entre les conservateurs d’Angela Merkel et les sociaux-démocrates (SPD) en Allemagne. Conservateurs et sociaux-démocrates peinent à conclure un accord de gouvernement sous la forme d’une grande coalition pour sortir de quatre mois d’impasse politique. L’indice de confiance Sentix s’est établi à 31,9 contre 32,9 en janvier, alors que les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une petite amélioration à 33,0. Le sous-indice mesurant les conditions actuelles en zone euro a atteint en février son plus haut niveau depuis août 2007, mais celui des anticipations est tombé à son plus bas en un an.
La croissance de l’activité dans les services a conservé un rythme soutenu en janvier en France, bien que légèrement en deçà du pic de six ans et demi enregistré en novembre, portée par une progression des nouveaux contrats d’une ampleur inédite depuis mai 2011, selon les résultats définitifs de l’enquête mensuelle d’IHS Markit auprès des directeurs d’achats publiée lundi.
Les prix à la production ont augmenté plus faiblement que prévu en décembre dans la zone euro, montrent des données publiées vendredi par Eurostat. En variation mensuelle, ils ont progressé de 0,2%, alors que les économistes tablaient sur une hausse de 0,3%. Sur un an, ces prix ont augmenté de 2,2%, moins que le consensus qui était à +2,3%. Hors énergie, ils ont augmenté de 0,1% sur un mois et de 1,9% sur un an en décembre. Eurostat a confirmé les données de novembre, à savoir une hausse de 0,6% sur un mois et une progression de 2,8% sur un an.
Les prix à la production ont augmenté plus faiblement que prévu en décembre dans la zone euro, montrent des données publiées aujourd’hui par Eurostat. En variation mensuelle, ils ont progressé de 0,2%, alors que les économistes tablaient sur une hausse de 0,3%. Sur un an, ces prix ont augmenté de 2,2%, moins que le consensus qui était à +2,3%. Hors énergie, ils ont progressé de 0,1% sur un mois et de 1,9% sur un an en décembre. Eurostat a confirmé les données de novembre, à savoir une hausse de 0,6% sur un mois et une progression de 2,8% sur un an.
L'économie russe a enregistré une croissance de 1,5% en 2017, une performance moins bonne que prévu, selon les données publiées hier par le Service fédéral de la statistique. La Russie sort ainsi de deux ans d’une récession due à la baisse des prix du brut et aux sanctions imposées par les pays occidentaux en raison du rôle de Moscou dans la crise ukrainienne. Le ministère de l’Economie avait dit s’attendre à une croissance d’au moins 2% en 2017 mais l'économie s’est contractée de manière inattendue en novembre, affectée par un recul de 3,6% de la production industrielle.