La croissance du produit intérieur brut (PIB) britannique a été révisée à la baisse à 0,4% et à 1,4% en rythme annualisé au cours du dernier trimestre de l’année dernière, soit un niveau de 1,7% sur l’ensemble de l’année, soit 0,1 de moins qu'à la première estimation, selon les chiffres révisés publiés hier par l’Office de la statistique nationale (ONS). La consommation des ménages à progressé de 1,4% en rythme annuel au quatrième trimestre, après +1,3% au troisième, l’investissement des entreprises est resté stable d’un trimestre à l’autre, enregistrant une hausse de 2,1% sur un an, alors que le commerce extérieur a apporté une contribution négative de 0,5 point.
La croissance du produit intérieur brut (PIB) britannique a été révisée à la baisse à 0,4% et à 1,4% en rythme annualisé au cours du dernier trimestre de l’année dernière, soit un niveau de 1,7% sur l’ensemble de l’année, soit 0,1 de moins qu'à la première estimation, selon les chiffres révisés publiés ce matin par l’Office de la statistique nationale (ONS). La consommation des ménages à progressé de 1,4% en rythme annuel au quatrième trimestre, après +1,3% au troisième, l’investissement des entreprises est resté stable d’un trimestre à l’autre, enregistrant une hausse de 2,1% sur un an, alors que le commerce extérieur a apporté une contribution négative de 0,5 point.
Prudence. Le soutien de la liquidité continue de diminuer, selon Schroders. Son indice de liquidité financière mondiale, construit à partir de la croissance de M2, a accentué sa baisse l’an dernier, ce qui inquiète la société de gestion britannique. Une inquiétude d’autant plus grande que cette décélération intervient au moment où le soutien des politiques monétaires commence à diminuer. Pour la première fois depuis 2008, on constate une contraction du crédit aux entreprises aux Etats-Unis (le dollar représente 28 % de l’indicateur). La situation de la Chine (30 % de l’indice) inquiète, car le crédit y est un moteur essentiel de la croissance. Il faut 7 renminbi de crédit pour créer 1 renminbi de PIB. Ce n’est pas tenable, selon les gestionnaires de Schroders pour qui le pays dispose néanmoins de suffisamment de liquidités, pour soutenir l’endettement. Une telle décélération globale peut être interprétée comme
La croissance de la zone euro a ralenti plus que prévu en février, conséquence des hausses de prix et d’un euro fort, mais elle reste soutenue et les entreprises n’ont jamais été aussi optimistes depuis au moins cinq ans et demi. L’indice des directeurs d’achats PMI flash composite a fléchi à 57,5 en février après 58,8 en janvier, en deçà des prévisions d’un consensus Reuters qui donnait un indice de 58,5 en moyenne. «Malgré la baisse de février, l’indice PMI composite de la zone euro est encore à un niveau très élevé et cohérent avec la poursuite d’une croissance saine début 2018», souligne Jessica Hinds, de Capital Economics. «Dans le cas de l’Allemagne et de la France, les deux indices restent à un niveau assez élevé et suggèrent que dans les deux pays, la croissance trimestrielle du PIB s’est accélérée». Les PMI laissent présager une croissance de 0,9% au premier trimestre 2018, d’après Markit.
Le taux de chômage britannique a augmenté de manière inattendue au dernier trimestre 2017, tandis que la croissance des salaires est restée stable, selon les chiffres publiés ce matin par l’institut national de la statistique (ONS). Le taux de chômage est passé de 4,3% à 4,4%, sa première hausse depuis les trois mois à fin février 2016. Le nombre de personnes occupant un emploi a progressé de 88.000. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient en moyenne à une hausse de 173.000.
La confiance du consommateur est retombée plus lourdement que prévu en février par rapport à un pic de 17 ans atteint le mois précédent, montre une estimation préliminaire de la Commission européenne publiée hier. L’indice la mesurant est retombé à 0,1 point en février, par rapport à son niveau de 1,4 point en janvier après révision. Les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne 1,0. Dans l’Union européenne (UE), l’indice est également en baisse ce mois-ci, à -0,3 point, contre +0,4 point en janvier.
La confiance du consommateur est retombée plus lourdement que prévu en février par rapport à un pic de 17 ans atteint le mois précédent, montre une estimation préliminaire de la Commission européenne publiée mardi. L’indice la mesurant est retombé à 0,1 point en février, par rapport à son niveau de 1,4 point en janvier après révision. Les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne 1,0.
Le moral des ménages américains s’est amélioré en février, montraient vendredi les résultats préliminaires de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan. L’indice de confiance est ressorti à 99,9, contre 95,7 en janvier, alors que les économistes l’attendaient en moyenne à 95,5. Le sous-indice mesurant le jugement des ménages sur leur situation actuelle s’est établi à 115,1 en février contre 110,5 en janvier. Celui des anticipations des consommateurs a augmenté aussi, passant de 86,3 en janvier à 90,2 en février en version préliminaire.
Les ventes au détail ont rebondi moins fortement que prévu en janvier en Grande-Bretagne, de 0,1% sur un mois, montrent les données publiées vendredi par l’institut national de la statistique (ONS). Les économistes attendaient une hausse de 0,5% après la chute de 1,4% observée en décembre. Sur les trois mois à janvier, une perspective qui atténue la volatilité mensuelle, les ventes au détail n’ont progressé que de 0,1%, soit la plus faible croissance depuis avril 2017 sur une telle période. La hausse avait été de 0,5% sur les trois mois à décembre.
Le moral des ménages américains s’est amélioré en février, montrent ce vendredi les résultats préliminaires de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan. L’indice de confiance établi sur la base de cette enquête est ressorti à 99,9, contre 95,7 en janvier, alors que les économistes l’attendaient en moyenne à 95,5. Le sous-indice mesurant le jugement des ménages sur leur situation actuelle s’est établi à 115,1 en février contre 110,5 en janvier et un consensus de 112,0 pour le mois en cours. Celui des anticipations des consommateurs a augmenté aussi, passant de 86,3 en janvier à 90,2 en février en version préliminaire.
Les ventes au détail ont rebondi moins fortement que prévu en janvier en Grande-Bretagne, de 0,1% sur un mois, montrent les données publiées ce vendredi par l’institut national de la statistique (ONS). Les économistes attendaient une hausse de 0,5% après la chute de 1,4% observée en décembre. Sur les trois mois à janvier, une perspective qui atténue la volatilité mensuelle, les ventes au détail n’ont progressé que de 0,1%, soit la plus faible croissance depuis avril 2017 sur une telle période. La hausse avait été de 0,5% sur les trois mois à décembre.
Ce n’est plus un dérapage, mais un plongeon dans les chutes du Niagara. Pas une semaine ne se passe sans que Washington ne se propose de creuser davantage l’énorme déficit public américain. L’accord bipartisan trouvé le 8 février au Congrès, s’il a le mérite de refermer pour un an le feuilleton du plafond de la dette, est à cet égard édifiant. Républicains et démocrates ont voté presque comme un seul homme une nouvelle rallonge de 300 milliards de dollars de dépenses qui s’ajoute à l’ambitieuse et dispendieuse réforme fiscale adoptée avant Noël. Le président Donald Trump a donc pu, quelques jours plus tard, s’enivrer de promesses d’investissements massifs dans les infrastructures ou la défense.
De solides exportations ont permis à l’Allemagne de poursuivre sur sa lancée au quatrième trimestre 2017, laissant supposer une année 2018 dynamique, malgré une inflation qui reste à la traîne. La croissance a été de 0,6% d’un trimestre sur l’autre. C’est essentiellement la demande extérieure qui a contribué de façon positive à la croissance, observe l’Office qui précise: «Au vu de calculs provisoires, les exportations ont nettement augmenté». En variation annuelle ajustée des effets calendaires, la croissance de l’Allemagne ressort à 2,9% au dernier trimestre de l’an dernier, un peu inférieure au consensus, qui la donnait à 3%. Cela reste le rythme de croissance le plus soutenu depuis le deuxième trimestre 2011. L’Office a confirmé une première estimation de 2,2% pour la croissance de l’ensemble de l’année 2017, soit de 2,5% en intégrant les effets de calendrier.
De solides exportations ont permis à l’Allemagne de poursuivre sur sa lancée au quatrième trimestre 2017, laissant entendre que la première économie d’Europe est bien partie pour briller par son dynamisme cette année, avec toutefois une inflation qui reste à la traîne. La croissance a été de 0,6% d’un trimestre sur l’autre. «Le turbo reste allumé en Allemagne», déclare Alexander Krüger, analyste de Bankhaus Lampe, ajoutant néanmoins que des capacités tendues et des goulots d'étranglement dans la production risquent de freiner la croissance future.
La reconstruction de l’Irak, ravagé par des années de guerre, coûtera 88,2 milliards de dollars (72 milliards d’euros), a estimé hier le ministère irakien du Plan: le pays aura besoin de 22 milliards de dollars à court terme, puis à moyen terme de 66 milliards. Etats, entreprises et investisseurs, sont réunis jusqu'à demain au Koweït pour une conférence internationale en faveur de la reconstruction de l’Irak. Les autorités américaines ont annoncé que les Etats-Unis ne contribueraient pas financièrement à la reconstruction du pays.
La reconstruction de l’Irak, ravagé par des années de guerre, dont les trois dernières contre le groupe Etat islamique (EI), coûtera 88,2 milliards de dollars (72 milliards d’euros), a estimé aujourd’hui le ministère irakien du Plan. Selon le ministère, le pays aura besoin de 22 milliards de dollars à court terme, puis à moyen terme de 66 milliards de dollars. Etats, entreprises et investisseurs, sont réunis jusqu'à mercredi à Koweït pour une conférence internationale en faveur de la reconstruction de l’Irak.
Bruno Le Maire accueille «très favorablement» l’accord de coalition insistant sur la relance européenne. Mais il récuse les mécanismes automatiques en cas de crise.