La croissance du secteur tertiaire aux Etats-Unis a fléchi un peu plus qu’on ne s’y attendait en mars, montrent les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats, publiée hier. L’indice ISM des services a été de 58,8 le mois dernier, contre 59,5 en février. Les économistes prévoyaient en moyenne un recul un peu moins apparent, avec un indice à 59,0. Publié un peu plus tôt, l’indice concurrent PMI des services calculé par Markit a été confirmé en repli à 54,0 en mars (54,1 en estimation flash), après 55,9 en février.
Les commandes à l’industrie ont rebondi en février aux Etats-Unis, après leur repli de janvier, soulignant la vigueur du secteur manufacturier. Les commandes à l’industrie américaine ont augmenté de 1,2% en février, contrebalançant presque le recul de 1,3% (chiffre révisé) enregistré le mois précédent, a annoncé mercredi le département du Commerce.
La croissance du secteur tertiaire aux Etats-Unis a fléchi un peu plus qu’on ne s’y attendait en mars, montrent aujourd’hui les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM des services a été de 58,8 le mois dernier contre 59,5 en février. Les économistes prévoyaient en moyenne un recul un peu moins apparent, avec un indice à 59,0. Le sous-indice de l’activité a fléchi à 60,6 contre 62,8 en février, à comparer à un consensus de 62,3, et celui des nouveaux contrats a reculé plus nettement, à 59,5 contre 64,8 en février. La composante des prix acquittés a progressé quant à elle à 61,5 contre 61,0.
La croissance manufacturière a ralenti en mars en zone euro pour le troisième mois d’affilée, mais la production est restée malgré tout soutenue et l’expansion économique demeure générale à l’intérieur de la zone. L’indice PMI IHS Markit des directeurs d’achats ressort à 56,6 en mars en version définitive, un plus-bas de huit mois, contre 58,6 en février. Il confirme l’estimation flash et reste bien au-dessus de la barre des 50 qui délimite croissance et contraction de l’activité. «Le rythme de croissance global n’en reste pas moins soutenu, si l’on compare au passé, les PMI raisonnables observés dans tous les pays, Grèce incluse, attestant une croissance soutenue et généralisée», note Chris Williamson, économiste en chef d’IHS Markit.
La croissance manufacturière a ralenti en mars en zone euro pour le troisième mois d’affilée, mais la production est restée malgré tout soutenue et l’expansion économique demeure générale à l’intérieur de la zone. L’indice PMI IHS Markit des directeurs d’achats ressort à 56,6 en mars en version définitive, au plus bas de huit mois, contre 58,6 en février. Il confirme l’estimation flash et reste bien au-dessus de la barre des 50 qui délimite croissance et contraction de l’activité.
L'économie américaine devrait connaître une croissance de 2,8% en rythme annualisé au premier trimestre, montre le modèle de prévision GDPNow de la Réserve fédérale d’Atlanta mis à jour hier, au vu des dernières statistiques sur l’activité dans le secteur manufacturier et sur les dépenses de construction. La dernière estimation en date du 29 mars donnait un rythme de croissance du PIB de 2,4% pour le trimestre écoulé.
L’indice IHS Markit PMI manufacturier est ressorti à 55,6 le mois dernier, contre 55,3 en février, selon les données publiées hier par Markit. Les niveaux de production des entreprises manufacturières ont continué à progresser «fortement» en mars, souligne le communiqué de presse. Mais les coûts de production ont également crû de manière notable, en raison, notamment, du renchérissement des prix des matières premières et des taxes douanières sur certaines importations récemment annoncées par Washington. L’indice d’activité manufacturière de l’ISM a quant à lui fléchi à 59,3 le mois dernier, contre 60,8 en février et 59,1 en janvier.
La consommation des ménages en France a nettement rebondi, de 2,4% en février sur un mois, en données corrigées des variations saisonnières, après un recul de 1,9% en janvier et de 1,2% en décembre, a annoncé mercredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). «Cette reprise de la consommation provient notamment d’un rebond des dépenses en chauffage. Les achats alimentaires et dépenses en habillement sont également en hausse», a souligné l’Insee. La consommation du mois de février s’inscrit par ailleurs en hausse de 1,9% par rapport à février 2017.
La production industrielle japonaise a rebondi le mois dernier après avoir subi en janvier sa plus forte chute en près de sept ans, grâce à la hausse de la production de voitures, des équipements de construction et des semi-conducteurs. Les données officielles publiées aujourd’hui montrent que la production industrielle a augmenté de 4,1% en février par rapport à janvier, en-deçà de la prévision des économistes interrogés par Reuters dont l’estimation médiane était de 5,0%, mais en net rebond par rapport au déclin de 6,8% en janvier.
La consommation des ménages en France a nettement rebondi, de 2,4% en février sur un mois, en données corrigées des variations saisonnières, après un recul de 1,9% en janvier et de 1,2% en décembre, a annoncé mercredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
Les inscriptions au chômage aux Etats-Unis sont tombées la semaine dernière à leur plus bas niveau depuis janvier 1973. Leur nombre atteint 215.000 dans la semaine au 24 mars, contre 227.000 la semaine précédente (révisé de 229.000 annoncés initialement), montrent les données du ministère du Travail publiées ce jeudi. Le consensus Reuters les donnait à 230.000. Les inscriptions sont inférieures depuis 158 semaines d’affilée au seuil des 300.000, une série inédite depuis 1970. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un indicateur plus fiable que le nombre hebdomadaire brut, ressort à 224.500 contre 225.000 la semaine précédente (223.750 annoncés initialement).
Le nombre de personnes sans emploi a baissé plus fortement que prévu en mars en Allemagne: le taux de chômage a reculé à 5,3%, en baisse de 0,1 point sur un mois, son niveau le plus bas depuis la réunification en 1990, a annoncé l’Office fédéral de la statistique. Le nombre de personnes sans emploi s’est contracté de 19.000 à 2,373 millions ce mois-ci, en données CVS, alors que les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une baisse de 15.000. Le dynamisme du marché du travail dans la première économie d’Europe nourrit sa consommation intérieure, qui est devenue l’un des principaux moteurs de sa croissance.
Le déficit des comptes courants de la Grande-Bretagne a été révisé à la baisse et la croissance de son produit intérieur brut (PIB) a ralenti au quatrième trimestre, a indiqué jeudi l’ONS, l’institut national de la statistique britannique. Le déficit a finalement atteint 18,4 milliards de livres au quatrième trimestre, contre une prévision de 24 milliards de livres du consensus Reuters. Sur l’ensemble de l’année, il a atteint 82,9 milliards, soit 4,1% du PIB, son plus faible niveau depuis 2011. L’ONS a également confirmé que la croissance du PIB britannique avait bien décéléré à 0,4% au quatrième trimestre, après +0,5% au trimestre précédent. En rythme annuel, elle a atteint 1,4% au dernier trimestre et l’ONS a révisé à la hausse la croissance sur l’ensemble de 2017 à 1,8%, contre 1,7% précédemment. Cela reste le taux le plus faible depuis 2012.
La croissance de l’activité économique dans la région de Chicago a subi en mars un ralentissement inattendu, montrent les résultats de l’enquête mensuelle auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI régional est revenu à 57,4 après 61,9 en février, alors que les économistes et analystes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une légère hausse à 62. Il tombe ainsi à son plus bas niveau depuis un an.
Les inscriptions au chômage aux Etats-Unis sont tombées la semaine dernière à leur plus bas niveau depuis janvier 1973. Leur nombre a été de 215.000 dans la semaine au 24 mars, contre 227.000 la semaine précédente (révisé de 229.000 annoncés initialement) et un consensus Reuters les donnant à 230.000), montrent les données du ministère du Travail publiées ce jeudi.
La croissance de l’activité économique dans la région de Chicago a subi en mars un ralentissement inattendu, montrent aujourd’hui les résultats de l’enquête mensuelle auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI régional est revenu à 57,4 après 61,9 en février alors que les économistes et analystes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une légère hausse à 62,0. Il tombe ainsi à son plus bas niveau depuis un an.
Le déficit des comptes courants de la Grande-Bretagne a été révisé à la baisse et la croissance de son produit intérieur brut (PIB) a bien ralenti au quatrième trimestre, montrent des données publiées jeudi par l’ONS, l’institut national de la statistique britannique. Le déficit des comptes courants a finalement atteint 18,4 milliards de livres au quatrième trimestre, contre une prévision de 24 milliards de livres du consensus Reuters. Sur l’ensemble de l’année, il a atteint 82,9 milliards de livres, soit 4,1% du PIB, son plus faible niveau depuis 2011.
Le nombre de personnes sans emploi a baissé plus fortement que prévu en mars en Allemagne où le taux de chômage a reculé à 5,3%, en baisse de 0,1 point sur un mois, un nouveau plus bas depuis la réunification en 1990, a annoncé aujourd’hui l’Office fédéral de la statistique. Le nombre de personnes sans emploi s’est contracté de 19.000 à 2,373 millions ce mois-ci, en données corrigées des variations saisonnières, alors que les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une baisse de 15.000. Le dynamisme du marché du travail dans la première économie d’Europe nourrit sa consommation intérieure, qui est devenue l’un des principaux moteurs de sa croissance.
Dynamique. Les TPE et PME françaises tirent parti de l’accélération de la croissance économique en France. Leur chiffre d’affaires a progressé, en moyenne, de 2,3 % en 2017, selon le baromètre de l’Ordre des experts-comptables. C’est supérieur au PIB (1,9 %). Cette accélération fait suite à une progression de seulement 1,1 % en 2016 et 0,8 % en 2015. Les entreprises de plus petite taille (chiffre d’affaires inférieur à 499.000 euros) retrouvent enfin le chemin de la croissance. Les secteurs les plus dynamiques sont le transport/entreposage et l’information/communication. Cette croissance s’accompagne d’une hausse de l’investissement de 1,9 % pour la première fois depuis 2015 où celui-ci avait reculé de 0,9 % puis 0,4 % en 2016, notamment dans le secteur de la construction (+10 %). L’activité devrait rester soutenue au premier semestre, selon l’Ordre. L’Insee vient de publier un acquis de croissance de 1,6 % au premier trimestre. En revanche, les auteurs du baromètre s’interrogent sur l’évolution au second semestre compte tenu du ralentissement possible du pouvoir d’achat des Français cette année. A suivre.
Plusieurs indicateurs économiques se sont dégradés en zone euro, ont annoncé la Commission européenne et la BCE. L’indice du sentiment économique a reculé à 112,6 points, contre 114,2 (révisé de 114,1) en février. Seul le secteur de la construction progresse (5,2 ce mois-ci contre 4,3). L’indice du climat des affaires a également baissé, de 1,48 à 1,34. La croissance du crédit aux entreprises et celle de l’agrégat monétaire M3, considérée comme un indicateur avancé de l’activité et de l’inflation, ont par ailleurs ralenti en février, indique la BCE. L’augmentation des crédits est retombée à 3,1% sur un an, contre 3,4% en janvier. La croissance de l’agrégat monétaire M3 a ralenti à 4,2% en rythme annuel, contre un consensus de 4,6%.