Les dépenses de construction ont progressé en mai aux Etats-Unis grâce aux investissements dans des projets privés et publics mais les dépenses du mois précédent ont été moins fortes qu’initialement estimé. Le département du Commerce a fait état hier d’une augmentation de 0,4% des dépenses de construction. Les données d’avril ont été nettement révisées en baisse à +0,9% au lieu d’un gain de 1,8% indiqué en première estimation. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur une progression de 0,5% en mai. Sur un an, les dépenses de construction ont accéléré de 4,5% en mai.
Les dépenses de construction ont augmenté en mai aux Etats-Unis grâce aux investissements dans des projets privés et publics mais les dépenses du mois précédent ont été moins fortes qu’initialement estimé. Le département du Commerce a fait état aujourd’hui d’une augmentation de 0,4% des dépenses de construction en mai. Les données d’avril ont été nettement révisées en baisse à +0,9% au lieu d’un gain de 1,8% comme indiqué en première estimation. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur une progression de 0,5% en mai. Sur un an, les dépenses de construction ont accéléré de 4,5% en mai.
Les prix de détail aux Etats-Unis ont augmenté de 0,2% en mai comme en avril, a annoncé vendredi le département du Commerce. Sur un an, la hausse est de 2,3%, la plus forte depuis mars 2012, après une progression de 2,0% en avril. Mesure d’inflation privilégiée par la Réserve fédérale, l’indice des prix sous-jacent, qui exclut les composantes alimentaires et énergétiques par nature volatiles, est en hausse de 2,0% en rythme annuel, la plus forte depuis avril 2012, après +1,8% en avril.
Les ventes au détail ont baissé bien plus prévu en mai sur un mois en Allemagne et affichent une contraction inattendue sur un an, a annoncé vendredi l’Office fédéral de la statistique. La statistique fait ressortir une baisse mensuelle de 2,1% en termes réels en mai, après une hausse de 1,6% en avril. Les économistes attendaient en moyenne un repli de 0,5%. En variation annuelle, les ventes au détail ont diminué de 1,6%, alors que le consensus donnait une hausse de 1,8%, après une progression de 1,0% en avril.
La croissance de l’activité manufacturière a ralenti au mois de juin, montraient samedi les chiffres des enquêtes réalisées par les pouvoirs publics chinois auprès des directeurs d’achat. L’indice PMI officiel est ressorti à 51,5, alors qu’il était attendu à 51,6 par les analystes interrogés par Reuters, après 51,9 en mai. L’indice PMI officiel des services s’est de son côté inscrit à 55,0 le mois dernier, témoignant d’une légère accélération de l’activité dans le secteur privé par rapport à mai (54,9).
Les prix de détail aux Etats-Unis ont augmenté de 0,2% en mai comme en avril, a annoncé vendredi le département du Commerce. Sur un an, la hausse est de 2,3%, la plus forte depuis mars 2012, après une progression de 2,0% en avril. Mesure d’inflation privilégiée par la Réserve fédérale, l’indice des prix sous-jacent, qui exclut les composantes alimentaires et énergétiques par nature volatiles, est en hausse de 2,0% en rythme annuel, la plus forte depuis avril 2012, après +1,8% en avril.
Le nombre de chômeurs a baissé plus fortement que prévu en juin, le marché de l’emploi restant dynamique à la faveur d’une croissance portée par la consommation des ménages. L’Office fédéral du travail a annoncé ce matin que le nombre de chômeurs, corrigé des variations saisonnières, a baissé de 15.000 à 2,342 millions ce mois-ci, alors qu’une enquête Reuters attendait un recul de 8.000. Le taux de chômage reste de 5,2%, comme en mai, le plus faible depuis la réunification de 1990.
Les ventes au détail ont baissé bien plus prévu en mai sur un mois et affichent une contraction inattendue sur un an, a annoncé vendredi l’Office fédéral de la statistique. Ce repli fait suite à un rebond constaté au mois d’avril, après quatre mois consécutifs de contraction des ventes. La statistique fait ressortir une baisse mensuelle de 2,1% en termes réels en mai, après une hausse de 1,6% (+2,3% en première estimation) en avril. Les économistes attendaient en moyenne un repli de 0,5%.
S&P Global Ratings a annoncé jeudi la nomination de Sylvain Broyer au poste de chef économiste pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique. Il remplacera Jean-Michel Six, qui prend sa retraite, à compter du 1er septembre, et sera basé à Francfort. Economiste chez Natixis et chroniqueur régulier pour L’Agefi, Sylvain Broyer sera rattaché à Paul Gruenwald, le chef économiste monde de l’agence de notation.
La hausse des prix des maisons au Royaume-Uni a ralenti en juin pour tomber à un rythme de croissance annuel le moins marqué en cinq ans, selon des données publiées ce matin par le spécialiste des crédits immobiliers Nationwide. Sur un an, ces prix affichent une progression de 2,0% ce mois-ci contre une augmentation de 2,4% en mai. Les économistes interrogés par Reuters avaient table en moyenne sur une progression de 1,7%. La hausse a été de 0,5% sur un mois après une augmentation de 0,2% en mai.
La confiance du consommateur aux Etats-Unis s’est dégradée plus fortement que prévu au mois de juin, montre l’enquête mensuelle du Conference Board publiée hier. L’indice de confiance calculé par l’organisation patronale est ressorti à 126,4 contre 128,8 en mai (128,0 en première estimation) et inférieur au consensus le donnant à 128,0. La composante du jugement des consommateurs sur la situation actuelle s’est établie à 161,1 en juin, contre 161,2 en mai, et celle des anticipations s’est inscrite à 103,2 contre 107,2.
L’indice du climat des affaires calculé par l’Ifo a reculé à 101,8 au mois de juin, après la légère amélioration à 102,3 enregistrée en mai, un chiffre en ligne avec les prévisions des économistes interrogés par Reuters qui l’attendaient à 101,7. Sur les sept derniers mois, l’indice Ifo a reculé à six reprises, seul mai s'étant soldé par une hausse .Le sous-indice mesurant le jugement des chefs d’entreprise sur la situation actuelle a en revanche baissé plus que prévu à 105,1 en juin, contre 106,1 (chiffre révisé) en mai, alors que les économistes l’attendaient à 105,5, celui des anticipations s’est établi à 98,6, stable par rapport au chiffre révisé de mai mais nettement supérieur au consensus de 98.
La Banque des règlements internationaux (BRI) a annoncé hier la nomination de Philip Lowe, le gouverneur de la Reserve Bank of Australia, à la présidence du Comité sur le système financier global (CGFS). Il remplace William Dudley, qui était à ce poste depuis 2012 et qui a quitté le 17 juin ses fonctions de président de l’antenne de la Fed à New York. Le CGFS surveille le système financier global pour le compte des banques centrales et produit pour elles des études, analyses et recommandations de politiques.
Le gouvernement entend identifier d’ici septembre un milliard d’euros d'économie sur les aides aux entreprises, a annoncé hier le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire. Le ministre a précisé dimanche au micro du Grand Jury RTL Le Figaro LCI le calendrier de la «revue complète» en cours des aides aux entreprises auxquelles l’Etat consacre chaque année près de 140 milliards d’euros. «J’ai demandé au Conseil d’analyse économique (CAE) de m’aider à faire ce travail d’examen des aides aux entreprises», a-t-il précisé.
L’activité du secteur privé dans la zone euro s’est redressée en juin pour la première fois depuis cinq mois, portée par une amélioration dans le secteur des services, selon les données préliminaires publiées vendredi par Markit Economics. L’indice PMI composite de la zone euro s’est redressé à 54,8 en juin, son plus haut niveau depuis deux mois, contre 54,1 le mois précédent. L’indice était attendu à 53,7 par les économistes interrogés par Dow Jones Newswires. Dans le détail, l’indice PMI du secteur manufacturier est ressorti à 55 en juin, un point bas depuis 18 mois, contre 55,5 en mai, tandis que l’indice PMI du secteur des services s’est établi à 55, atteignant son niveau le plus élevé depuis quatre mois, contre 53,8 le mois précédent. L’indice PMI manufacturier était attendu à 55 et celui des services à 53,6 en juin.
L’activité du secteur privé dans la zone euro s’est redressée en juin pour la première fois depuis cinq mois, portée par une amélioration dans le secteur des services, selon les données préliminaires publiées vendredi par Markit Economics. L’indice PMI composite de la zone euro s’est redressé à 54,8 en juin, son plus haut niveau depuis deux mois, contre 54,1 le mois précédent. L’indice était attendu à 53,7 par les économistes interrogés par Dow Jones Newswires.
Pandémie. L’année 2018 n’est pas 2011. Le risque d’une contagion dans les pays périphériques est aujourd’hui limité, selon les économistes de Barclays. Une dégradation de la situation politique en Italie aurait moins d’impact sur l’Espagne, le Portugal, la Grèce et l’Irlande. D’abord parce que la situation politique dans ces pays n’est pas inquiétante, à l’image de l’Espagne, où des élections anticipées pourraient porter au pouvoir le parti de centre-droit Ciudadanos, et du Portugal, où la coalition de gauche poursuit ses efforts budgétaires. Ensuite, parce que le contexte économique est bien différent. L’Espagne affiche la croissance la plus solide de la zone euro (+ 2,7 % prévu pour 2018). Même la Grèce, pays le plus fragile, a couvert ses besoins de financement jusqu’à fin 2019. Enfin, le coût de financement des Etats est sans commune mesure grâce à l’intervention de la Banque centrale européenne (BCE). Cette intervention réduit de facto l’excédent primaire nécessaire pour stabiliser la dette. Sans oublier que ces pays pourraient bénéficier d’un soutien financier européen en cas d’aggravation de la situation italienne pour isoler le risque de contagion.