La production industrielle de la France a enchaîné en mai un troisième mois de recul consécutif, se contractant de 0,2% contre toute attente, selon les données publiées ce mardi par l’Insee. Cette nouvelle baisse fait suite à un repli confirmé à -0,5% en avril et s’inscrit à l’inverse des prévisions des économistes interrogés par Reuters, qui tablaient en moyenne sur une progression de 0,7% de la production industrielle en mai.
La Banque de France a confirmé hier viser une croissance économique de 0,3% au deuxième trimestre, marquant une légère accélération après les chiffres décevants du début d’année. «Selon l’indicateur synthétique mensuel d’activité, le produit intérieur brut (PIB) progresserait de 0,3% au second trimestre 2018 (troisième estimation, inchangée)», a indiqué l’institution dans son enquête mensuelle de conjoncture. Cette estimation tient compte d’une hausse d’un point de l’indice du climat des affaires dans l’industrie (à 101) comme dans les services (à 103). «En juin, la production industrielle rebondit nettement, particulièrement dans les produits d'équipement, l’automobile et la métallurgie», a souligné la Banque de France.
Les exportations de l’Allemagne ont rebondi plus nettement que prévu en mai, montrent les données publiées hier par l’Office fédéral de la statistique. Les exportations de la première économie d’Europe, corrigées des variations saisonnières, ont augmenté de 1,8% sur un mois en mai après une contraction de 0,3% en avril. Les importations ont affiché une croissance de 0,7%, contre une hausse de 2,2% le mois précédent. L’excédent commercial est ainsi ressorti en hausse à 20,3 milliards d’euros, contre 19,4 milliards en avril et un consensus à 20,0 milliards.
Les réserves de change de la Chine ont augmenté de 1,51 milliard de dollars à 3.112 milliards (2.646 milliards d’euros) de dollars, alors qu’elles avaient diminué de 14,23 milliards en mai, montrent les données publiées hier par la Banque populaire de Chine (BPC). Les économistes projetaient en moyenne une baisse des réserves de 10,6 milliards de dollars à 3.100 milliards. Si l’Administration publique des changes (Safe) s’est bornée à dire que la hausse des réserves s’expliquait par la variation des prix de certains actifs, elle semble due à l’augmentation de valeur des avoirs en emprunts d’Etat américains qui ont réalisé une bonne performance le mois dernier.
Les exportations de l’Allemagne ont rebondi plus nettement que prévu en mai, montrent les données publiées lundi par l’Office fédéral de la statistique. Les exportations de la première économie d’Europe, corrigées des variations saisonnières, ont augmenté de 1,8% sur un mois en mai après une contraction de 0,3% en avril. Les importations ont affiché une croissance de 0,7%, contre une hausse de 2,2% le mois précédent. L’excédent commercial est ainsi ressorti en hausse à 20,3 milliards d’euros, contre 19,4 milliards en avril et un consensus à 20,0 milliards.
Les réserves de change de la Chine ont augmenté de 1,51 milliard de dollars à 3.112 milliards (2.646 milliards d’euros) de dollars, alors qu’elles avaient diminué de 14,23 milliards en mai, montrent les données publiées lundi par la Banque populaire de Chine (BPC). Les économistes projetaient en moyenne une baisse des réserves de 10,6 milliards de dollars à 3.100 milliards. Si l’Administration publique des changes (Safe) s’est bornée à dire que la hausse des réserves s’expliquait par la variation des prix de certains actifs, elle semble due à l’augmentation de valeur des avoirs en emprunts d’Etat américains qui ont réalisé une bonne performance le mois dernier.
La Banque de France a confirmé lundi viser une croissance économique de 0,3% au deuxième trimestre, marquant une légère accélération après les chiffres décevants du début d’année.
La croissance du secteur tertiaire aux Etats-Unis a accéléré de manière inattendue en juin, montraient hier les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM des services s’est élevé à 59,1 le mois dernier après 58,6 en mai, alors que les économistes l’attendaient en repli à 58,3. Le sous-indice de l’activité a été lui aussi nettement meilleur que prévu, à 63,9, soit trois points au-dessus du consensus, après 61,3 en mai. Le sous-indice des prix acquittés a en revanche baissé à 60,7 contre 64,3 le mois précédent.
Trois jours après une réunion de la commission dédiée au projet de loi Pacte à l’Assemblée nationale, le calendrier législatif se précise. Selon une source de l’Assemblée nationale, les auditions commenceront dès la semaine prochaine. Les députés auront jusqu'à la fin du mois d’août pour déposer leurs amendements. L’examen en commission aura lieu la première semaine de septembre (le 3 ou le 4 septembre). Enfin, le texte devrait arriver dans l’hémicycle à partir du 17 septembre.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté de manière inattendue la semaine dernière aux Etats-Unis, leur nombre ayant progressé de 3.000 à 231.000, a annoncé hier le département du Travail. Les inscriptions de la semaine précédente ont été revues en hausse d’un millier, à 228.000. Les économistes attendaient en moyenne 225.000 inscriptions au chômage la semaine dernière. Les inscriptions pourraient devenir plus volatiles dans les semaines à venir en raison des fermetures annuelles des lignes de production dans l’automobile.
La croissance du secteur tertiaire aux Etats-Unis a accéléré de manière inattendue en juin, montrent ce jeudi les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM des services s’est élevé à 59,1 le mois dernier après 58,6 en mai, alors que les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en repli à 58,3.
Deux jours après une réunion de la commission dédiée au projet de loi Pacte à l’Assemblée nationale, le calendrier législatif se précise. Selon une source de l’Assemblée nationale, les auditions commenceront dès la semaine prochaine. Les députés auront jusqu'à la fin du mois d’août pour déposer leurs amendements. L’examen en commission aura lieu la première semaine de septembre (le 3 ou le 4 septembre). Enfin, le texte devrait arriver dans l’hémicycle à partir du 17 septembre.
La Grande-Bretagne veut décider seule de sa politique de pêche après le Brexit fin mars 2019, notamment pour l’accès de ses eaux territoriales aux bateaux des pays de l’Union européenne, selon un document rendu public hier. «En tant qu’Etat côtier indépendant, et pour la première fois depuis plus de quarante ans, l’accès aux eaux britanniques ne dépendra que de nous, sera sous notre contrôle, dans l’intérêt des pêcheurs britanniques», a déclaré le ministre de l’Environnement et de l’Alimentation, Michael Gove. Dans ses négociations avec l’UE, Londres veut séparer le dossier de l’accès à ses eaux territoriales et celui des quantités de poisson britannique exportées vers l’Union.
Le Parlement européen a été incapable d’arrêter sa position hier sur trois projets législatifs relatifs aux conditions de travail dans le transport routier, qui opposaient les pays de l’Est, défenseurs d’une libre concurrence, et ceux de l’Ouest, décidés à mettre fin au dumping social. A l’issue d’une bataille d’amendements, les trois textes ont été rejetés et renvoyés en commission en vue de trouver un compromis. Ce vote était d’autant plus attendu que le transport routier avait dû être exclu du projet de directive sur le travail détaché pour que les Etats membres puissent parvenir à un accord en octobre dernier.
La Grande-Bretagne veut décider seule de sa politique de pêche après le Brexit fin mars 2019, notamment pour ce qui est de l’accès de ses eaux territoriales aux bateaux des pays de l’Union européenne, selon un document rendu public aujourd’hui. «En tant qu’Etat côtier indépendant, et pour la première fois depuis plus de quarante ans, l’accès aux eaux britanniques ne dépendra que de nous, sera sous notre contrôle, dans l’intérêt des pêcheurs britanniques», a déclaré le ministre de l’Environnement et de l’Alimentation, Michael Gove.
Le Parlement européen a été incapable d’arrêter sa position aujourd’hui sur trois projets législatifs relatifs aux conditions de travail dans le transport routier, qui opposaient les pays de l’Est, défenseurs d’une libre concurrence, et ceux de l’Ouest, décidés à mettre fin au dumping social. A l’issue d’une bataille d’amendements qui a vu les deux camps marquer des points, les trois textes ont été rejetés et renvoyés en commission en vue de trouver un compromis.
Les commandes à l’industrie américaine ont augmenté de manière inattendue en mai alors que les dépenses d'équipement des entreprises ont montré des signes de ralentissement. Ces commandes ont progressé de 0,4% en mai, a annoncé hier le département du Commerce. La statistique d’avril a été révisée en hausse pour faire état d’une contraction de 0,4%, soit deux fois moins que la précédente estimation. Les économistes s’attendaient à une stabilité des commandes à l’industrie en mai, mois pour lequel elles affichent une progression annuelle de 8,7%.
Les commandes à l’industrie américaine ont augmenté de manière inattendue en mai alors que les dépenses d'équipement des entreprises ont montré des signes de ralentissement. Les commandes à l’industrie ont progressé de 0,4% en mai, a annoncé aujourd’hui le département du Commerce. La statistique d’avril a été révisée en hausse pour faire état d’une contraction de 0,4%, soit deux fois moins que la précédente estimation. Les économistes s’attendaient à une stabilité des commandes à l’industrie en mai, mois pour lequel elles affichent une progression annuelle de 8,7%.
Les Etats-Unis restent déterminés à réduire «à zéro» les exportations de pétrole iranien dans le cadre des sanctions économiques contre la République islamique, malgré la réticence de pays consommateurs, a indiqué hier le département d’Etat américain. Brian Hook, directeur politique du département d’Etat, a également confirmé la remise en place de sanctions américaines contre le secteur automobile, le commerce de l’or et autres métaux précieux le 6 août, et celles contre les transactions liées au pétrole et avec la banque centrale iranienne le 4 novembre.