La chute du nombre de touristes internationaux due à la pandémie de coronavirus a entraîné une perte de 460 milliards de dollars (388 milliards d’euros) pour le secteur au premier semestre, a estimé mardi l’Organisation mondiale du tourisme (OMT). Au total, le nombre de touristes internationaux a plongé de 65% au premier semestre, marqué par la fermeture des frontières et les restrictions pour les voyageurs, entraînant pour le secteur des pertes qui «multiplient par cinq celles enregistrées durant la crise économique et financière de 2009», a détaillé cet organisme des Nations unies dans un communiqué
Le moral des investisseurs en Allemagne continue de s’améliorer avec un indice nettement supérieur aux attentes pour le mois en cours, montrent ce mardi les résultats de l’enquête de l’institut ZEW. Cet indice est monté à 77,4 contre 71,5 en août alors que les économistes et analystes prévoyaient en moyenne un recul à 69,8. Le sous-indice des conditions actuelles est également meilleur que prévu, à -66,2, contre un consensus de -72,0, après -81,3 en août.
La production manufacturière aux Etats-Unis a continué à progresser en août même si son rebond s’est atténué, montrent les statistiques officielles. La Réserve fédérale a fait état d’une hausse de 1,0% de la production manufacturière le mois dernier après celles de 3,9% en juillet et de 7,5% en juin. Sur un an, la production manufacturière américaine accuse encore une baisse de 6,9%. La production industrielle dans son ensemble, qui inclut aussi le secteur des services aux collectivités et le secteur minier, a augmenté de 0,4% après +3,5% en juillet. Les économistes prévoyaient une croissance de 1,0% de la production industrielle et de 1,2% de la production manufacturière.
La production manufacturière aux Etats-Unis a continué à progresser en août même si son rebond s’est atténué, montrent les statistiques officielles publiées aujourd’hui. La Réserve fédérale a fait état d’une hausse de 1,0% de la production manufacturière le mois dernier après celles de 3,9% en juillet et de 7,5% en juin. Sur un an, la production manufacturière américaine accuse encore une baisse de 6,9%.
Le moral des investisseurs en Allemagne continue de s’améliorer avec un indice nettement supérieur aux attentes pour le mois en cours, montrent ce mardi les résultats de l’enquête de l’institut ZEW. Cet indice est monté à 77,4 contre 71,5 en août alors que les économistes et analystes prévoyaient en moyenne un recul à 69,8. Le sous-indice des conditions actuelles est également meilleur que prévu, à -66,2 contre un consensus de -72,0, après -81,3 en août.
La production industrielle dans la zone euro a poursuivi son rebond en juillet, mais à un rythme moins marqué que lors des deux mois précédents. Selon les données Eurostat, l’agence européenne de la statistique, cet indicateur est ressorti en hausse de 4,1% en juillet par rapport à juin, mais en recul de 7,7% par rapport à juillet 2019. Les économistes tablaient sur une hausse de 3,8% sur un mois et une baisse de 8,5% sur un an en juillet. En juin, la production industrielle a augmenté de 9,5% sur un mois et s’est repliée de 12% sur un an, selon les données révisées d’Eurostat.
La Banque de France (BdF) table désormais sur une contraction de 8,7% du produit intérieur brut (PIB) pour 2020, contre un recul de 10,3% estimé en juin, alors que la reprise économique s’avère plus rapide que prévu grâce notamment à la résilience de la consommation domestique. L’Insee prévoyait pour sa part, la semaine dernière, une contraction de 9% sur l’année. En août, la perte d’activité par rapport à la normale est estimée à 5%, après -7% en juillet, et les perspectives économiques pour septembre suggèrent une stabilisation de l’activité, déclare la BdF. Au troisième trimestre, la croissance du PIB est attendue autour de 16% après une chute de 13,8% au deuxième trimestre. «Nous devrions retrouver en moyenne le niveau d’activité pré-Covid au premier trimestre 2022», déclare le gouverneur de la BdF, François Villeroy de Galhau, dans un entretien au Monde paru lundi. «Au mois de juin nous tablions plutôt sur mi-2022 : on gagne donc un à deux trimestres sur le rythme de la reprise», ajoute-t-il.
La troisième revue trimestrielle de la Banque des règlements internationaux (BIS/BRI) confirme que la reprise apparaît inégale, et que la faiblesse des perspectives et la détérioration des bilans des entreprises et du crédit la rendent «fragile». Et ce même si les marchés se sont largement remis des tensions du mois de mars grâce aux politiques monétaire et budgétaire et aux indicateurs économiques en hausse après la fin du confinement.
La Banque de France (BdF) table désormais sur une contraction de 8,7% du produit intérieur brut (PIB) pour 2020, contre un recul de 10,3% estimé en juin, alors que la reprise économique s’avère plus rapide que prévu grâce notamment à la résilience de la consommation domestique. L’Insee prévoyait pour sa part, la semaine dernière, une contraction de 9% sur l’année.
La production industrielle dans la zone euro a poursuivi son rebond en juillet, mais à un rythme moins marqué que lors des deux mois précédents. Selon les données publiées ce matin par Eurostat, l’agence européenne de la statistique, cet indicateur est ressorti en hausse de 4,1% en juillet par rapport à juin, mais en recul de 7,7% par rapport à juillet 2019. Les économistes tablaient en moyenne sur une hausse de 3,8% sur un mois et une baisse de 8,5% sur un an en juillet. En juin, la production industrielle a augmenté de 9,5% sur un mois et s’est repliée de 12% sur un an, selon les données révisées d’Eurostat.
En Norvège, le SSB, son institut statistique, prévoit désormais une récession moins grave cette année. L’économie devrait se contracter de 3,2% contre 3,9% attendu. Affectée par la crise sanitaire et par la chute des prix du pétrole, la Norvège affiche une performance supérieure à la moyenne des autres économies européennes. L’institut statistique anticipe en outre une hausse des taux par la Norges Bank dès mi-2021 au lieu de 2022. La baisse des taux directeurs à 0% par la banque centrale pour faire face à la crise a provoqué un rebond des prix de l’immobilier. Cela devrait accélérer la hausse des taux. La Norges Bank devrait communiquer ses nouvelles prévisions de croissance et d’inflation le 24 septembre.
Les prix à la consommation ont augmenté de 0,4% en août aux Etats-Unis par rapport au mois précédent, en données corrigées, a annoncé le département américain du Travail. L’inflation sous-jacente, qui exclut les prix de l’alimentation et de l'énergie, a également progressé de 0,4% par rapport à juillet. Ces données sont légèrement supérieures aux attentes des économistes qui anticipaient une inflation de 0,3% en août pour l’indice global comme pour l’indice de base. Par rapport à août 2019, l’indice global a augmenté de 1,3% le mois dernier, tandis que l’indice de base a crû de 1,7%.
La baisse des prix à la consommation en Allemagne est confirmée en août. L’indice IPCH a reculé de 0,2% par rapport à juillet et de 0,1% sur un an, selon Destatis, l’office fédéral de la statistique, conformément à une première estimation. C’est la première fois depuis plus de quatre ans que les prix baissent outre-Rhin, en raison de la crise provoquée par le coronavirus mais aussi de la diminution temporaire de la TVA de 19% à 16% depuis le 1er juillet dans le cadre du plan de relance lancé par le gouvernement d’Angela Merkel.
La banque centrale, qui se réunit jeudi, devra tenir compte des derniers indicateurs de PIB et du risque d’un essoufflement de la reprise et d’une hausse du chômage.
L’impact de la crise du coronavirus est réel sur les économies mais finalement moins pire qu’anticipé. C’est le cas en Norvège où le SSB, son institut statistique, prévoit désormais une récession moins grave cette année. L’économie devrait se contracter de 3,2% contre 3,9% attendu jusqu’à présent. Affectée par la crise sanitaire et par la chute des prix du pétrole, la Norvège affiche une performance supérieure à la moyenne des autres économies européennes. L’institut statistique anticipe en outre une hausse des taux par la Norges Bank dès mi-2021 au lieu de 2022. La baisse des taux directeurs à 0% par la banque centrale pour faire face à la crise a provoqué un rebond des prix de l’immobilier, constate le SSB. Cela devrait accélérer la hausse des taux. La Norges Bank se réunit le 24 septembre et devrait communiquer ses nouvelles prévisions de croissance et d’inflation à cette occasion.
Les banques centrales continueront à dominer l’actualité des marchés la semaine prochaine, dans un contexte toujours marqué par la pandémie de coronavirus et les divisions politiques aux Etats-Unis en vue de l'élection présidentielle américaine du 3 novembre. De nombreuses statistiques économiques sont également attendues de part et d’autre de l’Atlantique.
Les prix à la consommation ont augmenté de 0,4% en août aux Etats-Unis par rapport au mois précédent, en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé aujourd’hui le département américain du Travail. L’inflation sous-jacente, qui exclut les prix de l’alimentation et de l'énergie, a également progressé de 0,4% par rapport à juillet. Ces données sont légèrement supérieures aux attentes des économistes qui anticipaient une inflation de 0,3% en août pour l’indice global comme pour l’indice de base.