Nos articles d'actualité et d'analyse sur les principales campagnes lancées par des actionnaires activistes (Elliott, Amber, Third Point, Trian Partners, Cevian, TCI etc.) sur des entreprises cotées en Bourse.
L’indice PMI composite s’est encore amélioré, grâce au secteur des services qui compense le ralentissement dans l’industrie, pour le troisième mois consécutif au-dessus de 50.
Actions et pétrole américains ont connu quatre séances chaotiques depuis la révision du PIB jeudi 30 mai. Ces publications auraient été accueillies positivement il y a quelques semaines.
Le consensus estime que l'institution de Francfort fera une pause dès juillet, et procédera ensuite à des baisses trimestrielles, à l’occasion de ses projections économiques.
Contrairement au moral des entreprises qui reste bas, l’indice de confiance des consommateurs allemands affiche un plus haut depuis 2022. Dans le même temps, la confiance des ménages français reste à un niveau inférieur à sa moyenne de long terme.
Les ventes au détail ont baissé nettement plus que prévu en avril outre, en raison d’une météo particulièrement mauvaise, mais la hausse des revenus réels devrait permettre un rebond.
Le secteur privé continue de se redresser, avec la poursuite de la croissance dans les services et une amélioration dans l’industrie manufacturière, en Allemagne notamment alors que la France marque le pas dans les services.
La BCE ne devrait pas procéder à une deuxième réduction dès juillet, selon un principe de prudence qu’elle a défendu vendredi. Les craintes d’une divergence avec la Fed ressortent davantage du débat d’idées que des données.
Le dollar-yen a fait le yoyo sur deux jours, de 156,41 à 153,68 puis 154,70. Et cette mauvaise publication liée au ralentissement de la consommation va retarder tout resserrement monétaire supplémentaire de la Banque du Japon (BoJ).
Aidé par la baisse de l’inflation, le pays semble enclencher un nouveau cycle même si son potentiel de croissance ne devrait pas forcément augmenter beaucoup à terme.
Des créations d’emplois décevantes, avec 175.000 unités en avril, ont renforcé l’hypothèse d’une baisse de taux en septembre plutôt qu’en novembre ou décembre.
Les gouverneurs devraient accréditer ce mercredi 1er mai l’idée de taux élevés plus longtemps. Mais ils pourraient annoncer une diminution du rythme de la réduction du bilan.