Le déficit de la balance commerciale française a progressé de 10% à 7,7 milliards d’euros en août par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés ce matin par la Direction générale des douanes. Les exportations sont ressorties à 35,4 milliards d’euros, après 35,6 milliards en juillet. Les importations ont de leur côté augmenté de 1,2%, passant de 42,6 milliards d’euros en juillet à 43,1 milliards en août.
Les commandes à l’industrie allemande ont augmenté de 4,5% en août, selon les données publiées mardi par l’Office fédéral de la statistique, alimentant les espoirs d’un rebond solide au troisième trimestre après le choc lié à la crise du coronavirus. Cette hausse est supérieure à la progression de 2,6% attendue par le consensus. Les commandes domestiques ont augmenté de 1,7% pendant le mois d’août alors que celles provenant de l’étranger ont augmenté de 6,5%.
Le déficit de la balance commerciale des États-Unis a augmenté de 5,9% en août par rapport à juillet, pour ressortir à 67,1 milliards de dollars (57,0 milliards d’euros) en données corrigées, a annoncé mardi le département du Commerce. Les économistes s’attendaient à un déficit commercial de 66,2 milliards de dollars en août. Les exportations du pays ont progressé de 2,2% sur un mois, à 171,94 milliards de dollars, et ses importations ont crû de 3,2%, à 239,04 milliards. Les chiffres de juillet révisés font état d’un déficit commercial de 63,37 milliards de dollars, au lieu de 63,56 milliards attendus.
Dans sa note de conjoncture, l’Insee relève un net rebond de l’activité en France dans le sillage du déconfinement, sur la fin du deuxième trimestre et sur le troisième. Mais la crainte d’une deuxième vague de contagion a un impact négatif sur la confiance des ménages et des entreprises, engendrant une incertitude élevée sur le profil de croissance de l’économie d’ici à la fin de cette année. Dans un scénario où, au quatrième trimestre, les services les plus affectés (hôtellerie-restauration, services de transport, activités récréatives et de loisirs) reviendraient à leur niveau d’activité de juin et où l’investissement resterait à un niveau proche de celui du troisième trimestre, la croissance française serait nulle en fin d’année. Le PIB français resterait alors 5% en deçà de son niveau d’avant-crise. Sur l’ensemble de 2020, la prévision de contraction du PIB reste de l’ordre de -9%.
Dans sa note de conjoncture tout juste publiée, l’Insee relève que la fin du deuxième trimestre et le troisième ont été caractérisés par un net rebond de l’activité en France dans le sillage du déconfinement. Mais la crainte d’une deuxième vague de contagion due à l’absence de maîtrise de l’épidémie de Covid-19 a un impact négatif sur la confiance des ménages et des entreprises, engendrant une incertitude élevée sur le profil de croissance de l’économie d’ici à la fin de cette année.
Les commandes à l’industrie allemande ont augmenté de 4,5% en août, selon les données publiées ce mardi par l’Office fédéral de la statistique, alimentant les espoirs d’un rebond solide au troisième trimestre de la première économie d’Europe après le choc lié à la crise du coronavirus. Cette hausse est bien supérieure à la progression de 2,6% attendue par le consensus. Les données publiées montrent que les commandes domestiques ont augmenté de 1,7% pendant le mois d’août alors que celles provenant de l'étranger ont augmenté de 6,5%.
Le déficit de la balance commerciale des Etats-Unis a augmenté de 5,9% en août par rapport à juillet, pour ressortir à 67,1 milliards de dollars (57,0 milliards d’euros) en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé ce mardi le département du Commerce. Les économistes s’attendaient à un déficit commercial de 66,2 milliards de dollars en août. Les exportations du pays ont progressé de 2,2% sur un mois, à 171,94 milliards de dollars, et ses importations ont crû de 3,2%, à 239,04 milliards.
Le gouvernement français est prêt à redéfinir les seuils permettant aux entreprises d’accéder au fonds de solidarité et d’ouvrir à d’autres secteurs ce dispositif de soutien mis en place pour pallier les baisses de chiffres d’affaires, a annoncé le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, sur France Info. Il permet actuellement à une entreprise comptant jusqu'à 20 salariés de toucher jusqu'à 10.000 euros par mois et n’est accessible que si une entreprise est fermée ou subit une perte de 80% de son chiffre d’affaires. Ces modifications seront présentées dès la semaine prochaine par le Premier ministre Jean Castex à l’occasion d’un comité interministériel sur le tourisme.
La Banque centrale d’Australie (RBA) a laissé son principal taux directeur inchangé mais précise qu’elle continue à réfléchir à de nouvelles mesures d’assouplissement monétaire. Son taux directeur reste à son plus bas historique de 0,25%, comme attendu. La RBA a par ailleurs maintenu son objectif de taux à 3 ans dans le cadre de sa politique de contrôle de la courbe. Mais le taux élevé de chômage inquiète l’institution (à un plus haut de 22 ans à 7,5%). Les économistes s’attendent désormais à une nouvelle baisse de taux vers 0%.
L’activité dans le secteur des services aux Etats-Unis a accéléré en septembre, pour le quatrième mois consécutif, selon l’Institute for Supply Management (ISM). L’indice ISM des services a atteint 57,8 le mois dernier, contre 56,9 en août et 58,1 en juillet. Un indice supérieur à 50 est synonyme d’une croissance de l’activité dans ce secteur. L’enquête de septembre témoigne d’une nette amélioration des nouvelles commandes et des embauches dans le secteur, dont les indices respectifs ont progressé à 61,5 et 51,8. En outre, l’indice des directeurs des achats (PMI) calculé par IHS Markit a légèrement reculé en septembre, mais signale toujours une croissance de l’activité. L’indice s’est inscrit à 54,6, contre 55 en août.
L’activité du secteur privé de la zone euro a ralenti en septembre pour se maintenir d’extrême justesse en territoire de croissance, mais le secteur des services rechute face à la résurgence de la pandémie de coronavirus, selon l’enquête PMI réalisée par IHS Markit auprès des directeurs d’achat. L’indice composite est tombé à 50,4 en septembre contre 51,9 un mois plus tôt, malgré le soutien du secteur manufacturier. Les services ont encore pesé avec un indice tombé à 48,0 contre 50,5 en août. Ce secteur, qui représente les deux tiers du PIB de la zone euro, est repassé en territoire de contraction en France (47,5 contre 51,5) et s’est enfoncé encore plus en Espagne (42,4 contre 47,7) tout en se stabilisant sous 50 en Italie (48,8 contre 47,1). En Allemagne, il rechute également à 50,6 (contre 52,5).
L’activité dans le secteur des services s’est de nouveau contractée en septembre pour le huitième mois de suite au Japon, mais au rythme le plus lent constaté depuis le début de la pandémie de coronavirus, a montré l’enquête de Jibun Bank-IHS Markit auprès des directeurs d’achat publiée lundi. L’indice PMI services a atteint son plus haut niveau en huit mois, à 46,9 après 45,0 le mois précédent, et au-dessus de l’estimation préliminaire de 45,6. Les sous-indices du secteur sur les perspectives – ainsi que les suppressions d’emplois plus modestes que les six mois précédents – ont donné quelques signes d’optimisme. Le PMI composite (industrie et services) est passé à 46,6 en septembre, après 45,2 en août.
L'économie grecque devrait renouer avec une croissance de 7,5% l’an prochain après une contraction brutale cette année due à la pandémie de coronavirus, selon le scénario de référence du projet de budget 2021 soumis au Parlement lundi. Un scénario plus pessimiste table sur une croissance limitée à 4,5%-5% l’année prochaine. La Grèce s’attendait en 2020 à une forte reprise économique avant que la pandémie ne plonge le pays dans une profonde récession, avec un recul de la croissance estimé à 8,2% cette année. L'économie grecque s’est contractée de 14% au deuxième trimestre, soit la plus forte contraction trimestrielle depuis au moins 25 ans.
L’activité dans le secteur des services aux Etats-Unis a accéléré en septembre, augmentant pour le quatrième mois consécutif, selon les chiffres publiés lundi par l’Institute for Supply Management (ISM). L’indice ISM des services a atteint 57,8 le mois dernier, contre 56,9 en août et 58,1 en juillet. Les économistes interrogés par Dow Jones Newswires prévoyaient un niveau de 57 en septembre. Un indice supérieur à 50 est synonyme d’une croissance de l’activité dans ce secteur.
L’activité du secteur privé de la zone euro a ralenti en septembre pour se maintenir d’extrême justesse en territoire de croissance mais le secteur des services rechute face à la résurgence de la pandémie de coronavirus, selon l’enquête PMI réalisée par IHS Markit auprès des directeurs d’achat.
L’activité dans le secteur des services s’est de nouveau contractée en septembre pour le huitième mois de suite au Japon, mais au rythme le plus lent constaté depuis le début de la pandémie de coronavirus, a montré l’enquête de Jibun Bank-IHS Markit auprès des directeurs d’achat publiée lundi. L’indice PMI services a atteint son plus haut niveau en huit mois, à 46,9 après 45,0 le mois précédent, et au-dessus de l’estimation préliminaire de 45,6. Bien qu’au-dessous du niveau neutre de 50, «il y a dans l’ensemble des signes d’amélioration dans le secteur, mais la reprise est loin d'être assurée, a commenté Shreeya Patel, économiste chez IHS Markit. La demande à travers le pays reste modérée, les restrictions liées au tourisme et aux voyages empêchant des regains de nouveaux volumes dans les services.»
Le directeur de l’Institut Paul-Ehrlich, l’autorité allemande de régulation des vaccins, dit s’attendre à ce que les premiers vaccins contre le nouveau coronavirus soient approuvés en Europe début 2021. L’Allemagne a donné son feu vert à trois laboratoires pour mener des essais cliniques sur un vaccin expérimental contre le Covid-19. Plus de 150 candidats vaccins sont en cours de développement dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les marchés resteront attentifs la semaine prochaine aux répercussions économiques de la pandémie de coronavirus ainsi qu’aux discussions sur un nouveau plan de relance budgétaire aux Etats-Unis. Les investisseurs scruteront régulièrement le bulletin de santé de Donald Trump.
Le directeur de l’Institut Paul-Ehrlich, l’autorité allemande de régulation des vaccins, a déclaré aujourd’hui s’attendre à ce que les premiers vaccins contre le nouveau coronavirus soient approuvés en Europe début 2021. «Nous nous attendons, au regard des dernières études de l’Agence européenne des médicaments, à ce que les vaccins reçoivent une autorisation de mise sur le marché en Europe au début de l’année prochaine», a estimé Klaus Cichutek lors d’un point de presse. L’Allemagne a donné son feu vert à trois laboratoires pour mener des essais cliniques sur un vaccin expérimental contre le Covid-19.