La production industrielle italienne a augmenté de 7,7% en août par rapport au mois précédent, selon les données Istat publiées vendredi. C’est un quatrième gain mensuel consécutif depuis la fin du confinement, et une surprise par rapport aux prévisionnistes qui anticipaient quatre fois moins après l’augmentation de 7% en juillet.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis n’ont que légèrement diminué lors de la semaine au 3 octobre, à 840.000 contre 849.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé hier le département du Travail, un chiffre qui confirme que le marché du travail peine à se redresser après le choc provoqué au printemps par la crise du coronavirus. Les économistes attendaient en moyenne un repli plus marqué à 820.000. La moyenne mobile sur quatre semaines a reculé à 857.000 contre 870.250 (révisé) la semaine précédente.
Les exportations allemandes ont progressé pour le quatrième mois consécutif en août, en hausse de 2,4% d’un mois sur l’autre, selon les statistiques publiées hier par Destatis. Ce chiffre, supérieur aux attentes, vient après une croissance de 4,7% en juillet. Les importations ont augmenté de 5,8% après une augmentation de 1,1% le mois précédent et l’excédent commercial s’est réduit, à 15,7 milliards d’euros.
L'économie française a rebondi de 16% au troisième trimestre, estime la Banque de France dans son dernier point de conjoncture. Elle avait plongé de 13,8% au deuxième sous l’effet des mesures de confinement. Depuis leur levée, l'économie a connu une embellie même si elle évoluait fin septembre à un niveau inférieur de 5% à celui qui était le sien avant la crise sanitaire. Ces estimations sont conformes à celles publiées par l’Insee cette semaine. L’institut s’attend à un tassement de la croissance au quatrième trimestreet à une contraction de l’économie française de 9% cette année, ce qui la laisserait 5% sous son niveau d’activité de fin 2019.
Le gouvernement français a décidé d'élargir le fonds de solidarité mis en place pour aider les entreprises exposées aux effets de la crise sanitaire, a annoncé hier le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire. Quelque 150.000 entreprises notamment dans l’hôtellerie-restauration bénéficiaient jusqu'à alors de ce dispositif. De nouveaux secteurs, comme les fleuristes, les bouquinistes, les graphistes ou bien encore les arts de la table, la blanchisserie, vont y être intégrés, soit 75.000 entreprises supplémentaires, avec effet rétroactif. Ce fonds, qui peut aller jusqu'à 10.000 euros d’aide par mois, pourra désormais s’appliquer aux entreprises ayant jusqu'à 50 salariés, contre un plafond actuel de 20 salariés. Pour en bénéficier, une entreprise devra soit faire l’objet d’une fermeture administrative, soit subir une perte de chiffre d’affaires allant jusqu'à 70%, alors que ce seuil était jusqu'à présent fixé à 80%.
Les exportations allemandes ont progressé pour le quatrième mois consécutif en août, en hausse de 2,4% d’un mois sur l’autre, selon Destatis. Ce chiffre, supérieur aux attentes, vient après une croissance de 4,7% en juillet. Les importations ont augmenté de 5,8% après une progression de 1,1% le mois précédent et l’excédent commercial s’est réduit, à 15,7 milliards d’euros.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis n’ont que légèrement diminué lors de la semaine au 3 octobre, à 840.000 contre 849.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé aujourd’hui le département du Travail, un chiffre qui confirme que le marché du travail peine à se redresser après le choc provoqué au printemps par la crise du coronavirus. Les économistes attendaient en moyenne un repli plus marqué à 820.000.
L'économie française a rebondi de 16% au troisième trimestre, estime la Banque de France dans son dernier point de conjoncture. Elle avait plongé de 13,8% au deuxième sous l’effet des mesures de confinement. Depuis leur levée, l'économie a connu une embellie même si elle évoluait fin septembre à un niveau inférieur de 5% à celui qui était le sien avant la crise sanitaire.
Les réformes de la fiscalité du capital mises en oeuvre après l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron ont entraîné une forte hausse des dividendes en 2018 (23 milliards d’euros, après 14 milliards en 2017), concentrés sur un plus petit nombre de foyers fiscaux très fortunés, selon un rapport de France Stratégie. Cette forte progression est comparable par son ampleur à la chute enregistrée en 2013, au moment où les revenus mobiliers ont été intégrés au barème progressif de l’impôt sur le revenu, relèvent ses auteurs qui notent que les 0,1% les plus aisés de 2018 sont un quart plus riches que les 0,1% les plus aisés en 2017. Pour les contribuables à hauts revenus, les réformes Macron ont globalement ramené la France dans la moyenne OCDE, avec un rendement des actifs avant impôt de l’ordre de 4,6%.
Vincent Bolloré, passé maître dans l’art de contrôler des sociétés sans y détenir de participation majoritaire, aurait sûrement de bons conseils à prodiguer au gouvernement. Lundi soir, Engie a décidé de vendre à Veolia son bloc de 29,9 % chez Suez malgré l’opposition des administrateurs de l’Etat. Avec plus de 23 % du capital de l’énergéticien, les pouvoirs publics avaient pourtant largement les moyens de s’opposer à une opération qui déchire depuis fin août les deux champions de la gestion de l’eau et des déchets. Le capitalisme français a déjà vécu des affrontements d’une telle violence ; mais rarement un tel revers pour le régalien, sans lequel aucune opération de cette envergure ne pouvait jusqu’à présent se faire.
Le déficit de la balance commerciale française a progressé de 10% à 7,7 milliards d’euros en août par rapport au mois précédent, selon la Direction générale des douanes. Les exportations sont ressorties à 35,4 milliards d’euros, après 35,6 milliards en juillet. Les importations ont de leur côté augmenté de 1,2%, passant de 42,6 milliards d’euros en juillet à 43,1 milliards en août.
Les derniers épisodes de forte inflation, les années 70, dont la hausse n’était pas uniquement due aux chocs pétroliers, partagent des similitudes avec la période actuelle.
La production industrielle en Allemagne s’est repliée de 0,2% en août par rapport au mois précédent, en données corrigées, a indiqué mercredi Destatis, l’agence fédérale de la statistique. Les économistes tablaient en moyenne sur une augmentation de 1,5% en août, après une hausse de 1,4% en juillet, en données révisées. Par rapport à août 2019, la production industrielle allemande a reculé de 9,6%, en tenant compte des effets calendaires, après un repli de 10% en juillet.
Après avoir atteint un niveau historiquement élevé, le bas de laine des particuliers va encore augmenter tant que l’incertitude persistera. Ce qui pèse sur la croissance.
La production industrielle en Allemagne s’est repliée de 0,2% en août par rapport au mois précédent, en données corrigées de l’inflation, des variations saisonnières et des effets calendaires, a indiqué ce matin Destatis, l’agence fédérale de la statistique. Les économistes tablaient en moyenne sur une augmentation de 1,5% en août, après une hausse de 1,4% en juillet, en données révisées. Par rapport à août 2019, la production industrielle allemande a reculé de 9,6%, en tenant compte des effets calendaires, après un repli de 10% en juillet.