Nos articles d’actualité et d’analyse sur le crowdfunding, ou financement participatif, qui permet de financer des projets grâce à de nombreux investisseurs ou prêteurs.
Smart Lenders AM, société spécialisée dans la gestion institutionnelle de prêts originés par des plates-formes de crowdfunding, accueille la Matmut au sein de son actionnariat à hauteur de 5% du capital. La Matmut était depuis 2016 investisseur dans Moonstone Lending Fund, le principal véhicule géré par Smart Lenders AM, et apportera à la société de gestion fondée par Erich Bonnet son expérience du secteur de l’assurance. La société de gestion était l’une des premières à s’installer à Paris en janvier 2018 en provenance de Londres dans le cadre du Brexit.
Smart Lenders AM, société spécialisée dans la gestion institutionnelle de prêts originés par des plates-formes de crowdfunding, accueille la Matmut au sein de son actionnariat à hauteur de 5% du capital. La Matmut était depuis 2016 investisseur dans Moonstone Lending Fund, le principal véhicule géré par Smart Lenders AM, et apportera à la société de gestion fondée par Erich Bonnet son expérience du secteur de l’assurance. «Un tel actionnaire de prestige crédibilise notre approche, notre expertise et notre statut de leader dans notre industrie», a réagi ce dernier.
Affichant une croissance toujours plus forte chaque année, le crowdfunding s’est inscrit durablement dans le paysage du financement en France et surtout en Grande-Bretagne, pionnier du secteur. Mais ces derniers mois, toute la vie économique européenne a été bouleversée par la crise inédite liée à l’épidémie de coronavirus. Le financement participatif n’a pour autant pas dit son dernier mot.
Dans le cadre des successions, les investissements en crowdfunding ne sont pas centralisés dans des registres nationaux. C’est au notaire de les identifier pour en assurer la transmission aux héritiers.
Cette année sera résolument européenne pour les acteurs de financement participatif avec l’adoption prévue d’un règlement unique. Si le texte leur ouvrira les portes du marché européen, il imposera un abaissement du seuil pour les plateformes françaises et une protection accrue du consommateur.
Club deal, crowdfunding et cryptomonnaies sont autant de véhicules de diversification, Ils offrent à la fois une rentabilité attractive et un cadre fiscal favorable
Amigo n’est pas seulement un best-seller de la Française des Jeux. C’est aussi, au Royaume-Uni, un spécialiste du financement participatif qui offre à ses investisseurs une autre forme de paris à sensations fortes. Le 9 décembre, la société a dit « adios » à son président et sa directrice générale. Une reprise en main signée James Benamor, fondateur et ancien patron d’Amigo, toujours actionnaires à 60,7% du capital. Ce dernier avait pris du recul en 2015, mais a éprouvé le besoin de revenir siéger personnellement au conseil d’administration, face aux piètres performances boursières du groupe. Depuis sa cotation en juin 2018, l’entreprise a perdu les trois quarts de sa valeur, touchée de plein fouet, comme ses concurrents, par les difficultés du marché du crowdfunding.
Les montants d’investissement seront désormais plafonnés pour les nouveaux investisseurs particuliers ne bénéficiant pas de conseils financiers, a annoncé la FCA.
Le crowdfunding immobilier a explosé ces 4 dernières années passant de 30 millions d’euros collectés en 2015[1] à 185 millions fin 2018. Au total, à ce jour, ce sont plus de 900 projets de promotion immobilière qui ont pu être financés[2]. Cette tendance de croissance exponentielle du marché s’explique bien entendu par un nombre croissant d’investisseurs mais également par une prise de conscience des promoteurs de l’opportunité de cette solution de financement en fonds propres. Au départ utilisé quasiment exclusivement par les PME ou TPE, le crowdfunding immobilier intéresse désormais les leaders de la promotion immobilière qui y voit l’opportunité d’augmenter leur cadence de développement.
La plate-forme de financement participatif a annoncé lundi avoir franchi le cap des 10 millions d’euros collectés depuis 2016 dans le secteur des énergies renouvelables. Lendopolis vise les 15 millions pour 2019. Cela correspond à la nouvelle stratégie de croissance de la plate-forme qui a annoncé début mars l’abandon de son activité de financement des TPE-PMEpour se recentrer sur l’immobilier et les énergies renouvelables (ENR). En 2018, la fintech a, en effet, vu pour la première fois les montants collectés pour les projets dans les ENR (4,7 millions d’euros) dépasser ceux engrangés pour les TPE-PME (3,4 millions d’euros).
La plate-forme de financement participatif a annoncé ce lundi avoir franchi le cap des 10 millions d’euros collectés depuis 2016 dans le secteur des énergies renouvelables. Lendopolis a collecté près de 5 millions d’euros en 2018 et ambitionne de collecter 15 millions d’euros pour 2019 afin d’atteindre un bilan total de 25 millions d’euros sur ce segment. Cela correspond à la nouvelle stratégie de croissance de la plate-forme qui a annoncé début mars l’abandon de son activité de financement des TPE-PMEpour se recentrer sur l’immobilier et les énergies renouvelables (ENR).
Le producteur indépendant d’énergie renouvelable lance à partir du 2 avril Jpee Eco Épargnants une plate-forme de financement participatifdestinée à favoriser l’implication des riverains dans les projets de développement solaire et éolien.
La plate-forme de crowdfunding, devenue société de gestion, va lancer une offre d’investissement locatif. Elle veut doubler sa collecte pour atteindre 80 millions d’euros en 2019.