Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur le commerce international, les échanges, les chaînes d’approvisionnement, les accords commerciaux, le protectionnisme, l’OMC.
Les dirigeants européens, réunis samedi 8 mai à Porto, et le Premier ministre indien, Narendra Modi, ont décidé par vidéoconférence de relancer des pourparlers à l’arrêt depuis 2013 en vue de la signature d’un accord commercial. Les deux parties se sont également engagées à lancer des négociations sur deux autres accords : le premier sur la protection des investissements et le second sur les indications géographiques.
Emova Group, le premier réseau français de fleuristes (Monceau Fleurs, Happy, Au Nom de la Rose), a annoncé l’acquisition de 16 magasins précédemment sous franchise, dont 14 exploitent la marque Monceau Fleurs. Deux de ces points de vente sont situés à Paris, les seize autres sont en région parisienne (Hauts de Seine, Essonne et Yvelines). Ces magasins ont réalisé un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros en 2019. Emova Group porte ainsi son nombre de magasins succursales à 50.
Les exportations allemandes ont augmenté en mars pour le onzième mois consécutif, malgré la crise due au coronavirus, et la production industrielle a rebondi plus que prévu au cours du même mois par rapport à février.
Emova Group, le premier réseau français de fleuristes (Monceau Fleurs, Happy, Au Nom de la Rose, Cœur de Fleurs et Bloom’s), a annoncé l’acquisition de 16 magasins précédemment sous franchise, dont 14 exploitent la marque Monceau Fleurs. Deux de ces points de vente sont situés à Paris, les seize autres sont en région parisienne (Hauts de Seine, Essonne et Yvelines). Ces magasins ont réalisé un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros en 2019. Emova Group porte ainsi son nombre de magasins succursales à 50.
A 660 voix pour, 5 contre et 32 abstentions, le Parlement européen (PE) a approuvé mardi soir l’accord de coopération et de commerce conclu in extremis fin décembre 2020, entre l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni. Le vote constituait l’ultime étape garantissant l’entrée en vigueur définitive de l’accord, qui s’appliquait déjà de manière provisoire depuis le 1er janvier. Nombre d’eurodéputés ont toutefois exprimé leurs inquiétudes sur sa mise en application et leur défiance vis-à-vis du gouvernement britannique. En particulier quant au non-respect du protocole nord-irlandais par le gouvernement britannique. Autre sujet de tension majeur, la pêche, le Royaume-Uni devant garantir un accès à sa zone de pêche exclusive aux navires européens.
A 660 voix pour, 5 contre et 32 abstentions, le Parlement européen (PE) a approuvé mardi soir l’accord de coopération et de commerce conclu in extremis fin décembre 2020, entre l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni. Le vote constituait l’ultime étape garantissant l’entrée en vigueur définitive de l’accord, qui s’appliquait déjà de manière provisoire depuis le 1er janvier. Les eurodéputés ont toutefois été très nombreux à exprimer leurs inquiétudes sur sa mise en application et leur défiance vis-à-vis du gouvernement britannique, qu’ils ont sommé, au sein de leur résolution commune, d’ «agir de bonne foi et [d’] appliquer pleinement et sans délai les termes des accords qu’il a signés».
Le Parlement européen se prononcera le 27 avril sur l’accord conclu entre l’Union et la Grande-Bretagne au sujet de leurs relations post-Brexit. Les eurodéputés devraient approuver à une large majorité cet accord en matière de commerce et de coopération, qui sera ainsi définitivement adopté, mais il n'était pas certain qu’ils le feraient avant la date butoir de fin avril. Les présidents de groupes sont finalement convenus jeudi d’organiser un vote mardi prochain en séance plénière. L’accord a déjà été adopté en commissions la semaine dernière par 108 voix contre une.
Le Parlement européen se prononcera mardi sur l’accord conclu entre l’Union et la Grande-Bretagne au sujet de leurs relations post-Brexit. Les eurodéputés devraient approuver à une large majorité cet accord en matière de commerce et de coopération, qui sera ainsi définitivement adopté, mais il n'était pas certain qu’ils le feraient avant la date butoir de fin avril.
L’Union européenne va rétablir des taxes douanières punitives sur les motos du groupe américain Harley-Davidson, qui parvenait jusqu’alors à échapper en partie à ces tarifs introduits depuis 2018 dans le cadre de la guerre commerciale avec les Etats-Unis. Selon le fabricant, les importations de ses motos dans l’UE seront désormais toutes taxées à hauteur de 56% dès le mois de juin, une décision contre laquelle il a l’intention de «déposer un recours juridique immédiat». Depuis 2019, l’entreprise alimentait donc le marché européen avec certaines motos produites hors des Etats-Unis, taxées à hauteur de seulement 6%, grâce à l’aval des autorités douanières belges.
L’Union européenne va rétablir des taxes douanières punitives sur les motos du groupe américain Harley-Davidson, qui parvenait jusqu’alors à échapper en partie à ces tarifs introduits depuis 2018 dans le cadre de la guerre commerciale avec les Etats-Unis. Selon le fabricant, les importations de ses motos dans l’UE seront désormais toutes taxées à hauteur de 56% dès le mois de juin, une décision contre laquelle il a l’intention de «déposer un recours juridique immédiat».
Essentiel à de nombreux secteurs, plat, et en pleine crise d’approvisionnement ? Perdu : il ne s’agit pas des semi-conducteurs. Mais de l’humble palette, sur laquelle repose assez littéralement une bonne partie du commerce mondial. Un indice calculé par le département du travail américain montre ainsi que les prix des composants d’une palette ont connu cette année leur plus forte hausse depuis 30 ans. La main d’œuvre qualifiée manque, et Pallet Enterprise, le magazine de référence, alerte que l’envolée des prix se poursuivra. De quoi faire trembler l’économie mondiale sur sa base ?
L’Union européenne (UE) a annoncé lundi l’instauration de droits de douane sur certaines importations d’aluminium en provenance de Chine, auxquelles elle reproche d'être vendues à des prix artificiellement bas en Europe. Les nouveaux droits de douane européens varieront entre 19,3% et 46,7% et s’appliqueront à des produits d’aluminium laminé plat. Ces droits provisoires, publiés au journal officiel de l’UE, ont été adoptés à la suite de plaintes déposées par des producteurs d’aluminium européens qui estimaient que les importations chinoises à bas prix risquaient de les mettre en faillite.
L’Union européenne (UE) a annoncé lundi l’instauration de droits de douane sur certaines importations d’aluminium en provenance de Chine, auxquelles elle reproche d'être vendues à des prix artificiellement bas en Europe. Les nouveaux droits de douane européens varieront entre 19,3% et 46,7% et s’appliqueront à des produits d’aluminium laminé plat. Ces droits provisoires, publiés au journal officiel de l’UE, ont été adoptés à la suite de plaintes déposées par des producteurs d’aluminium européens qui estimaient que les importations chinoises à bas prix risquaient de les mettre en faillite.
Le déficit commercial de la France s’est encore creusé en février, pour atteindre 4,8 milliards d’euros en moyenne mobile sur trois mois, ont annoncé jeudi les Douanes. Cette augmentation intervient «après une période de baisse ininterrompue de juillet à décembre 2020» et s’explique principalement par la «reprise marquée des importations énergétiques», autour de 2 milliards chaque mois depuis avril 2020, augmentés de 600 millions de plus en février. «Hors énergie, le déficit est relativement stable en raison de l’atonie globale des échanges» depuis le début de l’année, ajoute le communiqué. Concernant la balance des paiements, qui inclut les échanges de services, le déficit se creuse pour atteindre 2,6 milliards, après 2 milliards en janvier, selon la Banque de France.
Le déficit commercial de la France s’est encore creusé en février, pour atteindre 4,8 milliards d’euros en moyenne mobile sur trois mois, ont annoncé jeudi les Douanes. Cette augmentation intervient «après une période de baisse ininterrompue de juillet à décembre 2020» et s’explique principalement par la «reprise marquée des importations énergétiques», autour de 2 milliards chaque mois depuis avril 2020, augmentés de 600 millions de plus en février. «Hors énergie, le déficit est relativement stable en raison de l’atonie globale des échanges» depuis le début de l’année, ajoute le communiqué. Les importations totales se montent à 43,9 milliards en février (après 44,1 en janvier).